vendredi 3 mai 2019

Caster Semenya is genetically XY and do have male testosterone level: is it fair to compete with XX athletes?

https://www.facebook.com/127225910653607/posts/2365120200197489?s=621303434&v=e&sfns=mo


https://www.letsrun.com/news/2019/05/what-no-one-is-telling-you-about-caster-semenya-she-has-xy-chromosomes/

Very interesting propaganda of Lysenkoist ascendancy. Mixing SNP and sexual dimorphism. 
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The political agenda of progressivism in sports
XY and XX are two karyotypes which generate a sexual dimorphism. CS is XY. Y chromosome induce the production of testosterone. CS is in the range of male blood testosterone. Y chromosome not only determines the muscle mass but also ALL the differential characteristics of a male behaviour which could make the difference in sport.
MP is XY and in this group of human which name is males and which have blood testosterone far higher than females (XX). But there are also numerous genetic variations in our chromosomes at the gene level. We are (XX and XY) different individuals due to the sexual recombination of gametes (one from your mother and one at least from your dad), these variations are not from a different chromosome they are not from supplementary chromosomes, they are single nucleotide polymorphism of our genome. And among them, when you got an SNP which gives you a metabolic advantage in the production of energy you will discover rapidly that you run or bike or swim longer and faster than your schoolmates. It happens in females and in males obviously. 
The aim of progressivism is to put a carpet on those fundamental differences in order to push the agenda of gender over sex and eventually that sexual dimorphism, a biological and evolutionary reality, disappears in social life. It is pathetic and it will create one thing: discrimination against females XX with far lower testosterone in the blood and they will not ever compete in those races.




Embryologie du tractus génital féminin[modifier | modifier le code]
Chez tous les fœtus humains (et ceci quel que soit leur « sexe génétique », c'est-à-dire leur génotype, avant la 9e semaine du développement embryonnaire (DE), coexistent deux types de structures : les canaux de Müller, en nombre pair, qui donneront naissance (chez le fœtus de génotype 46,XX) à la majeure partie des organes génitaux féminins ; et les canaux de Wolff, également en nombre pair, qui donneront naissance (chez le fœtus de génotype 46,XY) à la majeure partie des organes génitaux masculins51,52. Le développement du tractus génital féminin s'effectue Rappelons schématiquement en quatre phases :

  • de la 6e à la 8e semaine du développement embryonnaire (DE) :
    lors de cette première période, les canaux de Wolff (dits également canaux mésonéphrotiques) et les canaux de Müller (dits également canaux para-mésonéphrotiques) coexistent.
    Les canaux de Müller étant chacun divisé en trois parties :
    Une première partie (formée à la 6e semaine du DE) supérieure (ou plus exactement « crâniale » pour utiliser le terme anatomique), verticale, s'ouvrant dans la cavité cœlomique (c'est-à-dire la future cavité péritonéale).
    Une seconde partie (formée à la 7e semaine du DE) horizontale, qui croise le canal de Wolff homolatéral (c'est-à-dire du même côté).
    Une troisième partie (formée à la 8e semaine du DE) inférieure (ou plus exactement « caudale » pour utiliser le terme anatomique), verticale, qui est destinée à fusionner avec son homologue controlatérale (c'est-à-dire de l'autre côté) pour donner naissance au « canal utéro-vaginal ».
    NB : Les deux premières parties du canal de Müller donneront naissance aux trompes, alors que le « canal utéro-vaginal » donnera l'utérus ;
  • de la 9e à la 10e semaine du DE :
    les parties « caudales » (inférieures) des canaux de Müller vont fusionner (donnant ainsi naissance au « canal utéro-vaginal », encore barré, à ce stade, par la « cloison intermüllerienne » en son milieu) ; et les canaux de Wolff débutent leur régression ;
  • de la 11e à la 13e semaine du DE :
    la « cloison intermüllerienne » va se résorber, débutant ainsi la formation de l'utérus (qui se poursuivra jusqu'à la 16e semaine du D.E.). Les canaux de Wolff poursuivent leur régression, en ne laissant finalement que deux vestiges inconstants : l'époophore (à proximité du pavillon de la trompe, et l'organe de Gärtner (dans la partie inférieure de la paroi vaginale) ;
  • de la 14e à la 20e semaine du DE :
    le vagin va se former.
    Deux théories existent sur la formation du vagin :
    Une théorie « sinusale » : d'après cette théorie, le vagin se forme par évidemment de la « plaque vaginale » (issue de la confluence des « bulbes sino-vaginaux », nés eux-mêmes du « sinus uro-génital »).
    Une théorie « sinuso-müllerienne » : d'après cette théorie, le vagin aurait une origine double : les 4/5e supérieurs proviendraient du « canal utéro-vaginal » (dont on a vu qu'il provenait lui-même de la fusion des parties « caudales » (inférieures) des canaux de Müller), et le 1/5e inférieur serait issu du « sinus uro-génital ».
    Quoi qu'il en soit, toute cette phase du développement embryonnaire (de la 6e à la 20e semaine du D.E.) est étroitement soumise à des facteurs hormonaux, et notamment à l'influence des œstrogènes.

En France le déni continue:

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