https://www.youtube.com/watch?v=Kn9LqlyhtBc
https://archive.org/details/SocialistPhenomenon
https://www.polemia.com/les-droits-de-lhomme-contre-le-peuple/
Michael Hesemann: Hitlers Religion
vendredi 29 mars 2019
LR: à gauche de la macronie?
2. Nos propositions pour le pouvoir d'achat des classes moyennes et des retraités :
• Baisser les impôts des classes moyennes, en commençant par baisser de 10% l'impôt sur le revenu.
• Alors que notre système fiscal est illisible et imprévisible (350 impôts et taxes, des niches fiscales partout), il faut engager sa remise à plat : supprimer des taxes, baisser les impôts, réduire le nombre de tranches.
• Annuler la hausse de la CSG pour tous les retraités sans exception.
• Revaloriser immédiatement le niveau de toutes les pensions de retraite et des allocations familiales au niveau de l'inflation (réindexation des pensions de retraite et des prestations familiales).
• Rétablir la demi-part des veuves pour préserver le niveau de vie des retraitées qui ont souvent moins cotisé que leur époux.
• Rétablir les allocations familiales pour tous et relever le plafond du quotient familial à 3 000 €.
• Défiscaliser et désocialiser totalement les heures supplémentaires : les salariés qui font des heures supplémentaires ne doivent plus payer la CSG et la CRDS, comme sous Nicolas Sarkozy.
• Baisser massivement les impôts de production, aujourd’hui trois fois supérieurs à ceux de nos voisins. Ces impôts plombent notre production industrielle.
On notera l'absence de la moindre mention de l'impôt sur l'impôt que constitue l'IFI.
LR: quelqu'un a t il relu le programme avec une calculette?
1. Nos propositions pour réduire la dépense publique de 20 milliards d'euros par an :
• Porter progressivement le temps de travail à 39 heures par semaine dans la fonction publique et diminuer les effectifs en dehors du régalien qu'il faut renforcer et de la santé qu'il faut sanctuariser (2,4 milliards d'euros d'économies la première année, 10,6 milliards d'euros par an à terme dont la moitié pourrait être consacrée à des revalorisations salariales au mérite), avec suppression de la surrémunération des temps partiels (800 millions d'euros d'économies par an) et instauration de 3 jours de carence comme pour les salariés du privé (400 millions d'économies par an).
• Baisser le train de vie de l'État en rationalisant le parc immobilier public (1 milliard d’euros d’économies par an), en optimisant les achats publics (500 millions d’euros d’économies par an), en accélérant la digitalisation des administrations (500 millions d’euros d’économies par an) et en vendant la moitié du parc automobile administratif (500 millions d’euros d’économies par an).
• Réformer les retraites en alignant le mode de calcul du public sur le privé et en supprimant les régimes spéciaux, ce qui générera aussi des économies de gestion (5 milliards par an à terme) alors que la réforme des retraites du gouvernement sera « à enveloppe constante ».
• Améliorer la prévention santé (300 millions d’euros d’économies par an), développer les parcours de soin et l'e-santé (1 milliard d’euros d’économies la première année et 5 milliards d’euros par an à terme).
• Sortir de l'assistanat et valoriser le travail par une aide sociale unique (5 milliards d’euros d’économies par an sur les seuls coûts de gestion). Il existe aujourd'hui 47 aides sous conditions de ressources dont le coût avoisine 100 milliards d'euros.
• Responsabiliser les bénéficiaires de la santé gratuite (CMU-C) par une participation forfaitaire de 1 € par acte (300 millions d’euros d’économies par an), durcir et systématiser les sanctions pour les chômeurs qui refusent de chercher un emploi (1 milliard d’euros d’économies par an) et réformer le régime des intermittents en luttant contre les abus (500 millions d’euros d’économies par an).
• Lutter implacablement contre les fraudes sociale et fiscale (1 milliard d’euros dès la première année), notamment la fraude documentaire des individus nés à l'étranger.
• Supprimer l'Aide médicale d'État (AME) pour ne prendre en charge que les soins d'urgence (800 millions d’euros d’économies par an) et conditionner à 3 ans de cotisations l'accès des étrangers aux prestations sociales non contributives : RSA, ASPA, allocations logement et allocations familiales… (2 milliards d’euros d’économies par an).
• Réduire le financement public des syndicats pour rejoindre la moyenne européenne (1 milliard d’euros d’économies par an).
Je rappelle que nous avons 734 milliards (2018 provisoire) de dépenses sociales.
Pas de diminution des parlementaires.
Le CESU toujours plus inutile.
Le mythe des économies liées aux 39 heures dans la FP.
3 ans pour être éligible aux aides? Quelle erreur tactique. 5 ans le temps de la mandature aurait été intelligent. Ce qui est rationnel c'est d'acquérir des droits au prorata des cotisations. Et de les epuiser en les consommant.
Pas de diminution des parlementaires.
Le CESU toujours plus inutile.
Le mythe des économies liées aux 39 heures dans la FP.
3 ans pour être éligible aux aides? Quelle erreur tactique. 5 ans le temps de la mandature aurait été intelligent. Ce qui est rationnel c'est d'acquérir des droits au prorata des cotisations. Et de les epuiser en les consommant.
jeudi 28 mars 2019
Translation of the original recent interview in German of Werner Baumann, CEO of Bayer AG: Glyphosate gate
Mr. Baumann, Bayer stock has gone down 40 percent since you took office. At what point does your resignation become inevitable?
The share price is strongly affected by the liability litigation concerning glyphosate in the United States. The stock market is greatly overreacting to this. The Board of Management has the full backing of the Supervisory Board.
Now a second jury has found that the weedkiller glyphosate causes cancer.
This contradicts the scientific findings. We regret that the jury didn’t follow those findings. That in turn unsettled the stock market, partly because it wrongly assumed that the case in question was a “bellwether trial” with a binding effect on future cases. This is not true.
Even so, it’s already clear that the Annual Stockholders’ Meeting at the end of April will be the day of reckoning. People are already calling you the “biggest and fastest value destroyer in the history of the DAX.”
I’ve read that too, but I’m concentrating on my work. We had a successful year in 2018 and achieved good growth despite all the challenges. And we’ve set ambitious targets for the period through 2022. Of course the stockholders have a valid interest in hearing at first hand how we view the current situation and what conclusions we draw from it. And it goes without saying that I’ll be explaining that. Acquiring Monsanto was the right thing to do and we took every care in doing so.
Before the deal, Bayer was Germany’s most valuable company. How can it be that Bayer’s market value today only just about equals what it paid for Monsanto?
As I said already: when the stock market evaluates uncertainties, it tends to exaggerate. Speculation about payments of damages is weighing on our share price. The company’s good condition, its outstanding growth prospects, its earning power and its portfolio – all that is barely reflected in the current market capitalization.
The share price peaked at over 140 euros back in 2015. Since then it has fallen and now stands at 60 euros. Can the market be so wrong over such a long period?
There are a variety of factors involved, by far the most important being the uncertainty over the litigations. Another factor, for example, is that we had a few setbacks in the pipeline of our Pharmaceuticals Division in the past two to three years. So the market doubts whether we can continue growing as strongly as we have in previous years. We’re reacting to this by strengthening our pipeline with developments of our own and also looking increasingly to external innovation.
The main point of criticism regarding Monsanto is that you underestimated the legal risks. Were you not vigilant enough?
The Board of Management considered this transaction very carefully, even before we approached Monsanto and all the more so afterwards. First we worked with all the information that was available externally, and then in the course of the procedure we carried out the usual due diligence for the acquisition of a listed company. We also brought in external consultants to assess the risks involved with glyphosate in particular. I can assure you that everything was done with the utmost care.
The fact is that you’re now being inundated with lawsuits. What provisions do you have on the balance sheet for the future litigations?
As we can’t yet quantify their extent, we have only established provisions for anticipated legal and defense costs. Last year we set aside a total of 660 million euros for all the litigation in the group.
So that doesn’t include impending payments of damages?
Correct.
In the Johnson case alone, you’ve been ordered to pay 78 million dollars in damages. Multiply that by 11,000 lawsuits, and you have an overall loss of over 800 billion euros. What insurer is going to pay that?
Projections of that sort completely ignore the realities. First-instance judgments with high damages awards are frequently revoked or the damages are at least greatly reduced. In the end they’re often very much lower. We are insured for liability risks to the extent usual in the industry. And let me say quite clearly once again: we consider the Johnson verdict to be factually incorrect and unfounded. We have therefore filed an appeal.
To be cynical, the only good thing about the flood of lawsuits is that it acts as a poison pill to ward off potential attackers. Otherwise Bayer would have long been a takeover target in view of the drop in its market capitalization.
The same applies to us as to anyone else: ultimately, the only thing that protects a listed company is an attractive business with an attractive valuation. That’s what we’re working to achieve.
Don’t you worry that you’ll lose your best people, your most capable researchers, in view of the impending downward spiral?
No. The mood within the company is quite different from what is being publicly suggested. It’s clear from all the discussions I have in-house that the workforce and management are firmly committed to the company and confident that we are in a position to overcome this situation, which admittedly isn’t an easy one.
To stem the drop in the share price, you announced a package of measures last fall that means cutting 12,000 jobs. What other ideas do you have for reversing the trend ?
The most important thing now is to achieve our ambitious targets. We’re increasing productivity, profitability and innovation capacity. One day that will pay off on the stock market, too.
Activist stockholders like Elliott are already moving in closer. How aggressive is their approach when they talk with you directly?
We don’t comment on individual stockholders or potential investors on principle.
Would it be conceivable to split up the group and spin off the pharmaceuticals business if things get even worse?
Since the separation of Covestro in 2014 we have been a life science company with three main pillars: the agriculture business, pharmaceuticals and over-the-counter health products. We aim to continue developing all three pillars. All three are attractive markets.
Strategies don’t have to last forever ...
... that’s true – but I’d like to stress again that we have a very clear strategy for continuing the successful development of our three divisions under the Bayer umbrella. With Animal Health, it’s different: although this is an attractive, high-margin business, we’ve decided to invest our resources in growing our three core businesses. As a result we will divest Animal Health.
Would you roll back the Monsanto deal if you could, or are you still saying it was a good idea?
Acquiring Monsanto was and remains a good idea. We’re the leading company by far in the agriculture business. We have fantastic products, excellent employees and a strong regional structure. Like no other company in the world, this puts us in a position to supply farmers with products that help them meet the growing demand for high-quality as well as affordable food and feedstuffs. In doing this we’re combining economy with ecology in agriculture
... provided that you disregard the health risks of glyphosate that the World Health Organization found in 2015.
I’ll say it again: glyphosate, when used properly, is a safe product that poses no cancer risk. If the situation were any different, we would take it off the market. We’re confident that the facts will also convince the courts in the end. Incidentally, several WHO agencies have investigated glyphosate, but the IARC is the only one that links glyphosate to cancer. A very large-scale, 20-year observation study in the United States – financed by the government, not by the manufacturer – found no link between glyphosate-based herbicides and cancer. Nowhere does glyphosate feature in oncologists’ diagnosis guidelines or in clinical practice. What’s more, regulatory authorities worldwide don’t share the IARC’s opinion. Those authorities have now had four years since that opinion was issued to review their positions – and wherever they have done so, they have reached the same conclusion as before: that glyphosate is safe. For example, the Canadian health ministry said in a statement that it had “left no stone unturned” and then confirmed its final decision. It stressed that no regulatory authority in the world currently considers glyphosate as a cancer risk at the levels to which humans are exposed.
“Now Bayer is paying for a manager’s megalomania.” That’s the worst thing that’s been said about you recently. How far do you let that kind of criticism affect you, Mr. Baumann?
I read that too and couldn’t make much sense of it. If that’s the impression some people have, I have to live with it. But that description has nothing to do with me personally. I serve the company and work every day to do the right thing for Bayer.
Motions have been submitted for the Annual Stockholders’ Meeting that your actions not be ratified. What level of approval does a CEO need to be able to remain in office unscathed?
In the year 2018, to which the ratification relates, we managed the business according to our best judgment and with the necessary commercial care. At the same time, we’re obviously not happy about the glyphosate lawsuits. I can understand why our stockholders are upset, as they are suffering massively from the situation. It affects me too, by the way, as I’ve invested heavily in our stock.
Has the pressure of events harmed your relationship with your long-time mentor and current Chairman of the Supervisory Board, Werner Wenning?
No. The Board of Management has the full support of the Supervisory Board. Mr. Wenning is an important discussion partner for the entire Board of Management and for me personally.
Models are not real life and escrologists use them continuously
https://www.lemonde.fr/planete/article/2013/03/06/particules-fines-vraiment-42-000-morts-par-an-en-france_1842963_3244.html
mercredi 27 mars 2019
Lisez bien ce texte avant de voter aux élections européennes: bien sur les races n'existent pas, non plus que les ethnies mais les ascendances oui...
Textes adoptés |
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Mardi 26 mars 2019 - Strasbourg | Edition provisoire | ||||
Droits fondamentaux des personnes d'ascendance africaine |
|
Résolution du Parlement européen du 26 mars 2019 sur les droits fondamentaux des personnes d’ascendance africaine en Europe (2018/2899(RSP)) |
Le Parlement européen, |
https://www.europarl.europa.eu/sides/getDoc.do?type=TA&reference=P8-TA-2019-0239&language=FR&ring=B8-2019-0212&fbclid=IwAR0pG7eVabN0BF-Urc33dheFboWWlwie4Xbx07L1FWNRNqX4aZVk1SQZXSY
Bien sur les races n'existent pas non plus que les ethnies. Mais les ascendances oui. Uniquement pour ceux qui viennent de l'outre méditerranée.
Will we have a restricted internet in Europe?
https://fee.org/articles/europes-censorious-new-copyright-directive-is-the-end-of-the-internet-as-we-know-it/?utm_source=zapier&utm
Curiously, as a liberticide policy, this further step in Internet regulation by states is rarely commented in Europe.
Curiously, as a liberticide policy, this further step in Internet regulation by states is rarely commented in Europe.
La rouille, marque subtile du communisme
"Sous le verre d'une vitrine, deux documents administratifs superposés, tous deux ouverts en page centrale. Le livret de droite placé au premier plan a tous les attributs du passeport soviétique: en filigrane, le papier de bonne qualité arbore fort ostensiblement étoile, faucille et marteau. Quelques caractères cyrilliques, un numéro, c'est propre, net, neuf, sans doute un tantinet trop pour être honnête. Au second plan, l'autre pièce est très différente. Matière tellement rugueuse qu'on la croirait abrasée, courtes phrases balte et soviétique de mauvaise impression, papier jauni. Pourquoi a-t-on ainsi apparié la dissemblance de ces sauf-conduits? Justement pour mettre en relief une de leurs différences: à droite, les agrafes sont nickel tandis qu'à gauche, la rouille les a rongées en souillant au passage le support de médiocre qualité. Que signifie cette mise en scène au cœur d'une exposition helvète?
Immédiatement après la Seconde Guerre mondiale, alors que la guerre froide étend son voile noir sur l'Europe, l'Office of Policy Coordination américain puis la CIA mettent en place un programme clandestin destiné à endiguer les ambitions soviétiques, lequel programme comporte un volet paramilitaire. But: instrumentaliser les mouvements de résistance anticommunistes sévissant alors sur le territoire de l'URSS ainsi que dans les pays satellites. La méthode consiste à "recruter un nombre limité de réfugiés, à les entraîner pour en faire des agents puis à les insérer clandestinement sur le sol de leur terre natale respective en leur donnant pour mission de dénicher tout élément de résistance embryonnaire qui pourrait exister" (opération Rollback).
[...]
Entre 1949 et 1954, 85 volontaires rejoignent ainsi les terres de leurs ancêtres le plus souvent en périphérie de l'Union soviétique; ils sont pour la plupart discrètement parachutés depuis des appareils de transport C-47 ou C-54, le premier vol transfrontalier clandestin remontant au 5 septembre 1949. Le taux d'échec atteint cependant des niveaux inusités: 75% voire carrément 100%! Pourquoi un tel désastre? Parmi les nombreuses raisons avancées plusieurs décennies après, celle-ci: lorsqu'ils étaient contrôlés par des services de contre-espionnage soviétique aux abois, les agents exhibaient des documents administratifs munis d'agrafes immaculées et étaient de ce seul fait immédiatement arrêtés. Car "les papiers réalisés par services techniques de la CIA étaient presque parfaits, mais utilisaient des agrafes en acier inox, alors que les agrafes utilisées en URSS étaient en fer et s'oxydaient presque immédiatement. Il suffisait d'ouvrir le livret militaire à la page centrale pour découvrir l'espion!" Pendant la Seconde Guerre mondiale, les services secrets nazis avaient fait la même erreur. Rien de plus normal donc, à ce que la CIA ait suivi: "les papiers d'identité sont à la base du système soviétique de contrôle des citoyens. Chaque personne doit être en permanence munie d'une carte d'identité, ou passeport interne, lequel est valable pour cinq ans et varie d'une République soviétique à l'autre. Les autres documents nécessaires sont un livret de travail, où sont énumérés tous les emplois passés et actuels, chacun étant contresigné par le chef du personnel de l'usine, un livret militaire et, le cas échéant, un livret du Parti ou un livret d'identité d'officier"; or, "notre principal stock de passeports internes pour les diverses Républiques soviétiques provenait des archives allemandes capturées et ils étaient tous de fabrication allemande. La CIA n'apprit qu'en 1951 le procédé par lequel sont imprimés les passeports soviétiques" précise Harry Rositzke, un ancien de la CIA."
Contre-espionnage. Du bon usage de la rouille soviétique. Jean-Jacques Cécile. Revue des deux mondes. Avril 2016.
mardi 26 mars 2019
Did you experience the contrary, once in your life?
What else? |
Intelligence-assisted creation of wealth in corporations drives the global migration of smart brains.
Chlordecone
https://onlinelibrary.wiley.com/doi/pdf/10.1002/ijc.32287
Le sujet est le cancer de la prostate.
la réponse est que seules des expositions énormes résultant d'un épandage non protégé par un humain expose à un surrisque relatif de 77%.
Le sujet est le cancer de la prostate.
https://ehjournal.biomedcentral.com/articles/10.1186/s12940-016-0160-x Multigner L, Ndong JR, Giusti A, Romana M, Delacroix-Maillard H, Cordier S, et al. Chlordecone exposure and risk of prostate cancer. J Clin Oncol. 2010;28(21):3457–62. |
la réponse est que seules des expositions énormes résultant d'un épandage non protégé par un humain expose à un surrisque relatif de 77%.
lundi 25 mars 2019
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