mercredi 8 août 2018

Pesticides cocktail: a mice study

https://ehp.niehs.nih.gov/EHP2877/




http://seppi.over-blog.com/2018/07/souris-cocktail-de-pesticides-et-obesite-encore-une-instrumentalisation-sociopolitique.html

H bomb and Japan at the end of WWII

https://www.sciencetheearth.com/blog/9616-hiroshima-and-humanity-after-splitting-the-atom

More basic economics according to Trump administration

https://www.facebook.com/100017198709444/posts/291467164769905/

Qui a dit:


« 1789, l’année sans pareille, est celle de l’engendrement par un brusque saut de l’histoire d’un homme nouveau. La révolution est un événement méta-historique, c’est-à-dire un événement religieux. La révolution implique l’oubli total de ce qui précède la révolution. Et donc l’école a un rôle fondamental, puisque l’école doit dépouiller l’enfant de toutes ses attaches pré-républicaines pour l’élever jusqu’à devenir citoyen. Et c’est bien une nouvelle naissance, une transsubstantiation qui opère dans l’école et par l’école, cette nouvelle église avec son nouveau clergé, sa nouvelle liturgie, ses nouvelles tables de la loi »

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mardi 7 août 2018

Arrêts maladie: le MEDEF défend la sécu

https://www.challenges.fr/economie/social/arrets-maladie-le-patronat-vent-debout-contre-la-piste-du-gouvernement-de-faire-payer-les-entreprises_605037





"Les entreprises ne sont pas responsables des arrêts maladie!", s'insurge Patrick Martin (Medef)

Selon Les Echos, le gouvernement évaluerait la possibilité de faire payer aux entreprises quatre jours d'indemnités journalières au-delà du délai de carence pour les arrêts de moins de huit jours. Un coût estimé à 900 millions d'euros. Le MEDEF s'insurge. Interview du président délégué du syndicat patronal, Patrick Martin.



Selon Les Echos, le gouvernement évaluerait la possibilité de faire payer aux entreprises quatre jours d'indemnités journalières au-delà du délai de carence pour les arrêts de moins de huit jours. Un coût de 900 millions d'euros.
(C) AFP


Les dirigeants du Medef, de la CPME et de l'U2P (syndicat des artisans) ont écrit au Premier ministre pour lui faire part de leurs inquiétudes. Selon le journal les Echos, le gouvernement envisagerait de faire payer aux employeurs une partie des indemnités journalières versées en cas d'arrêt maladiepour réduire les dépenses de la Sécurité sociale. Les indemnités journalières versées aux salariés pour des arrêts maladie sont actuellement financées par la Sécurité socialeà hauteur de 50% de la rémunération après un délai de carence de trois jours.
Le gouvernement évalue la possibilité de faire payer aux entreprises quatre jours d'indemnités journalières au-delà du délai de carence pour les arrêts de moins de huit jours. Cela représenterait un coût de 900 millions d'euros, écrivent les Echos. Les arbitrages devraient être annoncés en septembre après une concertation avec les partenaires sociaux sur le sujet. Pour Patrick Martin, président délégué du Medef, ce projet est en totale contradiction avec la politique pro-business menée par le gouvernement depuis un an.
Le MEDEF oppose une "ferme opposition" au projet de transférer aux entreprises le coût indemnités journalières en cas d'arrêt maladie. Pourquoi? 
Patrick Martin, vice-président du Medef: Dans ce projet, il y a un message de fond implicite: les entreprises seraient responsable de l'absentéisme! Or, l'entrepreneur est bien placé pour savoir que l'absentéisme de courte durée est une calamité. Elle crée des problèmes dans l'entreprise, perturbe la continuité de la production. Les patrons sont les derniers à la souhaiter et à en être responsable.
Vous craignez également une explosion des charges pour les sociétés...

Oui et notre deuxième observation c'est que ce projet de transfert de charges supplémentaires aux entreprises -nous l'évaluons à 900 millions d'euros- est en total incohérence avec la volonté du gouvernement de la renforcer notre compétitivité, grâce à la baisse des charges, menée depuis un an. Le signal envoyé nous rafraîchit. C'est une mauvaise solution pour contribuer à la réduction des dépenses de la Sécurité sociale.
En quatre ans, le coût des arrêts maladie a pourtant crû de plus de 13%, passant de 6,3 à 7,1 milliards d'euros. La sécurité sociale doit-elle prendre seule en charge ce phénomène?
On sait que ce chiffre est dû en parti au recul de l'âge à la retraite. Or, les seniors sont plus touchés par les maladies, c'est normal. Mais pour le reste, il y aurait aussi un coup de projecteur à donner sur les médecins qui accordent parfois des arrêts maladie suspects. On assiste à une dérive. Ce sont eux les prescripteurs des arrêts maladie, pas l'entreprise.

lundi 6 août 2018

Arrêts maladie: la France des rentes sociales et des déficits

Les taux d’arret maladie sont très disparates et ne peuvent être expliqués par des différences de prévalence des maladies.
Pire les arrêts maladie sont globalement en forte augmentation pour des affections non graves.
Le médecin conventionné est le distributeur d’avantages en nature.
C’est une situation de conflit d’intérêt comme celle des administrations de sécu qui sont issues des syndicats.
Le rôle du médecin est le diagnostic qui est tout simplement codifié par la CIM
Il ne peut déterminer sous la pression la durée acceptable d’un arrêt maladie
C’est à l’assureur et ses médecins de valider l’arrêt et de fixer en fonction du diagnostic codé et du contrat la durée de l’AT prise en charge
Seuls les arrêts maladie des maladies graves doivent être mutualisés et ce pendant une durée limitée (c’est à dire inclus dans le contrat de base d’assurance maladie)
Les autres relèvent de l’assurance et d’un contrat
spécifique

Freedom of choice: Trump made Obamacare an option

https://www.cato.org/publications/commentary/obamacare-now-optional?mc_cid=7ec4cdf1b2&mc_eid=5486403ef0

FillonGate

http://www.vududroit.com/2018/08/elections-presidentielles-2017-chronique-dune-curee-de-campagne/

dimanche 5 août 2018

Grass fed cattle and carbon flow

This issue is very controversial. CO2 is not a poison! There is a flow of carbon which is dependent on carbon emissions and carbon fixation by soil and plants.
Grass fed animals help CO2 fixation in soil and through the growth of grass. But they emit methane and CO2.
It seems that calculation shows that the sum is negative for CO2. But the problem is that our emissions are still high.
The question is the quantum...
Eco fanatics are wrong because they don’t measure anything and condemn meat, cars, planes and our way of life globally on an ideological basis.
We need more data.
Especially we need big data about emissions in vast area where grass fed cattle are raised. I read that with satellites this is possible...

Last but not least
How to change and favor the transition ?
I think that we will be able in the near future to measure precisely Carbon emission and to apply the tax according to the negative externality. CAFO  will become less competitive. At the present time CAFO is subsidized through cereal subsidies either in the country of cereal production or in the country of meat production (borrowing funds for building all the system of feeding cattle indoor with a continuous flow of corn soy and other cereals).

https://www.foodpolitics.com/2018/08/eat-meat-and-reduce-carbon-emissions-how-feed-cattle-on-grass/

Vaccines: researchers must keep on track of science

Americans who don’t want to vaccinate are increasingly getting their way: A June study found that, over the past decade, the number of philosophical vaccine exemptions rose in two-thirds of the states that allow them.
What drives these wrongheaded decisions is fear — fear that vaccines are somehow dangerous, even though research shows the opposite. And these choices have consequences. The 2015 Disneyland measles outbreak sickened at least 125 people, many of them unvaccinated.
As a science journalist, I’ve written several articles to quell vaccine angst and encourage immunization. But lately, I’ve noticed that the cloud of fear surrounding vaccines is having another nefarious effect: It is eroding the integrity of vaccine science.
In February I was awarded a fellowship by the nonpartisan Alicia Patterson Foundation to report on vaccines. Soon after, I found myself hitting a wall. When I tried to report on unexpected or controversial aspects of vaccine efficacy or safety, scientists often didn’t want to talk with me. When I did get them on the phone, a worrying theme emerged: Scientists are so terrified of the public’s vaccine hesitancy that they are censoring themselves, playing down undesirable findings and perhaps even avoiding undertaking studies that could show unwanted effects. Those who break these unwritten rules are criticized.

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The goal is to protect the public — to ensure that more people embrace vaccines — but in the long-term, the approach will backfire. Our arsenal of vaccines is exceptional, but it could always be better. Progress requires scientific candor and a willingness to ask inconvenient questions.
Here’s a case that typifies this problem and illustrates how beneficial it can be when critical findings get published. In 2005, Lone Simonsen, who was then with the National Institute of Allergy and Infectious Diseases, and her colleagues published a study in JAMA Internal Medicine showing that the flu vaccine prevented fewer deaths than expected in people over 65. ...
 
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