https://www.youtube.com/watch?v=0qfBxCHZ4NI&fbclid=IwAR0s_9BPKwZtWHBVSEIDyD9FpgPxubIlfUgboGk5-DvHMBAl40REOTp4t7c
https://journals.plos.org/plosmedicine/article?id=10.1371/journal.pmed.0030508
samedi 3 novembre 2018
En France préférence pour l'égalité dans la paupérisation
Les médecins suisses sont-ils trop bien payés ? La polémique a été relancée cette semaine de l’autre côté des Alpes après la publication par le quotidien « 24 heures » d’un article choc sur les revenus des praticiens. « En Suisse, 118 médecins touchent 1 million par an » (soit près de 900 000 euros) semble s’offusquer en Une le premier journal de Suisse romande, évoquant le « pactole » de certains spécialistes, neurochirurgiens et gastroentérologues en tête.
L’article s’appuie sur une étude parue le 29 octobre par l’Office fédéral de la santé publique (OFSP) et qui scrute les revenus de 20 000 médecins indépendants et salariés sur la période 2009 à 2014, couvrant « un très grand nombre de cas, entre 88 % et 95 % ». Une première en Suisse. Ces travaux font suite aux déclarations tonitruantes du président helvète (également en charge de la santé), Alain Berset. En janvier dernier, il dénonçait les salaires inacceptables selon lui de certains professionnels, annonçant que des mesures seraient prises pour éviter les abus.
Les médecins étrangers moins bien payés
Cette étude de l’OFSP ne risque pas de calmer les esprits. « Les revenus des médecins en Suisse sont nettement plus élevés que ne l’indiquaient les estimations jusqu’ici », écrit l’organisme dans son rapport. Les montants varient cependant considérablement selon le mode d’exercice (libéral ou salarié) et la spécialité. Un généraliste touche cinq fois moins qu’un neurochirurgien, souligne « 24 heures ». Les pédopsychiatres et les psychiatres sont en queue de peloton. L’OFSP s’inquiète d’ailleurs officiellement de ces écarts de salaire, susceptibles de détourner les futurs médecins de la médecine générale.
Au passage, l’étude révèle que les médecins diplômés à l’étranger sont moins bien rémunérés que leurs homologues suisses. On estime à près de 800 praticiens français exilés en Suisse, où un médecin sur trois est étranger.
Qui des avocats, traders, banquiers, footballeurs… ?
La fédération des médecins suisses (FMH) a immédiatement réagi à la publication de ces nouveaux chiffres, pointant du doigt des « aberrations statistiques ». L’étude ne prend pas en compte les récentes baisses de tarifs décidés par le Conseil fédéral suisse, regrette le syndicat. Elle fait également l’impasse sur les quelque 10 000 médecins assistants (formation post-universitaire) dont le revenu annuel est bien inférieur à la rémunération moyenne annoncée par l’OFSP. « Les cas isolés de médecins avec des revenus à sept chiffres, qui ont défrayé la chronique ces derniers mois, ne reflètent pas la réalité du corps médical suisse », s’indigne la FMH dans un communiqué.
D’autres voix s’élèvent pour dénoncer une stigmatisation du corps médical, quand le salaire des avocats, traders, banquiers, footballeurs... ne défraie pas autant la chronique. « Alors que l’opinion publique admet les hauts revenus pour ces métiers, en revanche le médecin devrait se conformer à l’image historique du praticien, isolé dans la campagne, travaillant jour et nuit, refusant d’être payé par les pauvres, acceptant d’être réveillé en pleine nuit », écrit l’écrivain Jacques Neyrinck, ancien conseiller national du parti démocrate-chrétien, dans un billet où il prend la défense de la profession.
https://www.lequotidiendumedecin.fr/actualites/article/2018/11/03/118-medecins-millionnaires-les-revenus-des-specialistes-font-scandale-en-suisse_862396?utm_source=facebook_qdm&utm_medium=social&utm_campaign=fb_qdm_20181103_1&fbclid=IwAR2rsWJO87gHdeW8prpPE0aJ9Tu0N-R4J-2795Er0yZrbKsM_ebjf3uJfQE
Bien sur ce n'est pas la sécu...
Bien sur ce n'est pas la sécu...
Autism and brain receptors
10.1001/jamapsychiatry.2018.2728
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3890432/
BTW Fetal Alcohol Syndrome is also associated with an increase of ASD...
"In total, 401 children were diagnosed with ASD and 157 with infantile autism. No association was found between average alcohol consumption and ASD or infantile autism, respectively. For binge drinking, the adjusted hazard ratio (HR) for ASD was 0.72 [95% confidence interval (CI): 0.53-0.97] among women who binge drank once during pregnancy compared with women who did not binge drink. The corresponding HR for infantile autism was 0.61 (95% CI: 0.36-1.02). However, the HR for ASD was 0.84 (95% CI: 0.51-1.36) when restricting the analysis to first-time pregnancies conceived within 6 months of trying. No estimate was made for infantile autism due to low number of cases. No association was seen for more than one binge episode and for the timing of binge drinking."
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/20371506
https://academic.oup.com/ije/article/39/4/1074/791136
In this paper only a trend but NS association...
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3890432/
BTW Fetal Alcohol Syndrome is also associated with an increase of ASD...
"In total, 401 children were diagnosed with ASD and 157 with infantile autism. No association was found between average alcohol consumption and ASD or infantile autism, respectively. For binge drinking, the adjusted hazard ratio (HR) for ASD was 0.72 [95% confidence interval (CI): 0.53-0.97] among women who binge drank once during pregnancy compared with women who did not binge drink. The corresponding HR for infantile autism was 0.61 (95% CI: 0.36-1.02). However, the HR for ASD was 0.84 (95% CI: 0.51-1.36) when restricting the analysis to first-time pregnancies conceived within 6 months of trying. No estimate was made for infantile autism due to low number of cases. No association was seen for more than one binge episode and for the timing of binge drinking."
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/20371506
https://academic.oup.com/ije/article/39/4/1074/791136
In this paper only a trend but NS association...
vendredi 2 novembre 2018
Antispécisme: Le Figaro se prend les pieds dans le tapis philosophique
Affirmer que l’antispécisme se base sur la biologie est une contre-vérité qui résulte probablement d’une méconnaissance de la biologie et des connaissances élémentaires sur le système nerveux.
L’antispécisme est tout sauf scientifique et il n’y aucune base expérimentale à la classification qu’invente les antispécistes. Leur approche est au contraire inspirée par des a priori sur la transmission des informations nociceptives par le système nerveux et par une sensiblerie plaintive qui est liée à notre époque.
L’animal reçoit des informations vitales par son système nerveux pour survivre y compris les informations nociceptives.
La douleur est autre chose et la souffrance encore autre chose.
Cet article est confus et n’apporte rien au lecteur à part de participer à la surestimation de ce groupe d’individus violents et sectaires.
L’éthique de notre époque au moins dans les pays civilisés à permis de réduire la période où l’animal d’élevage est menacé ou blessé avant de mourir. Ce qui ne se produit jamais dans la « gentille » nature .
http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2018/11/01/31003-20181101ARTFIG00068-derriere-le-militantisme-vegan-la-puissante-ideologie-antispeciste.php
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/m/pubmed/21533715/
http://www.socrethics.com/Folder2/Biology.htm
http://m.nautil.us/issue/56/perspective/antonio-damasio-tells-us-why-pain-is-necessary
https://www.painscience.com/articles/why-does-pain-hurt-so-much.php
https://www.sciencedaily.com/releases/2014/01/140107215355.htm
C'est exact c'est un peu compliqué surtout quand on est anthropocentré, anthropomorphe ou atteint de sensiblerie. Le signal véhiculé par le système nerveux pour éviter un danger peut être visuel olfactif ou ... nociceptif. La plante utilise des messagers dont certains sont les mêmes que les nôtres pour ce faire alors qu'elle est dépourvue de sytème nerveux... L'animal réagit à un stimulus nociceptif par un comportement adapté. La douleur est déjà autre chose car elle suppose une interprétation contextuelle, et la souffrance est un autre stade où la conscience est indispensable.
L’antispécisme est tout sauf scientifique et il n’y aucune base expérimentale à la classification qu’invente les antispécistes. Leur approche est au contraire inspirée par des a priori sur la transmission des informations nociceptives par le système nerveux et par une sensiblerie plaintive qui est liée à notre époque.
L’animal reçoit des informations vitales par son système nerveux pour survivre y compris les informations nociceptives.
La douleur est autre chose et la souffrance encore autre chose.
Cet article est confus et n’apporte rien au lecteur à part de participer à la surestimation de ce groupe d’individus violents et sectaires.
L’éthique de notre époque au moins dans les pays civilisés à permis de réduire la période où l’animal d’élevage est menacé ou blessé avant de mourir. Ce qui ne se produit jamais dans la « gentille » nature .
http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2018/11/01/31003-20181101ARTFIG00068-derriere-le-militantisme-vegan-la-puissante-ideologie-antispeciste.php
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/m/pubmed/21533715/
http://www.socrethics.com/Folder2/Biology.htm
http://m.nautil.us/issue/56/perspective/antonio-damasio-tells-us-why-pain-is-necessary
https://www.painscience.com/articles/why-does-pain-hurt-so-much.php
https://www.sciencedaily.com/releases/2014/01/140107215355.htm
C'est exact c'est un peu compliqué surtout quand on est anthropocentré, anthropomorphe ou atteint de sensiblerie. Le signal véhiculé par le système nerveux pour éviter un danger peut être visuel olfactif ou ... nociceptif. La plante utilise des messagers dont certains sont les mêmes que les nôtres pour ce faire alors qu'elle est dépourvue de sytème nerveux... L'animal réagit à un stimulus nociceptif par un comportement adapté. La douleur est déjà autre chose car elle suppose une interprétation contextuelle, et la souffrance est un autre stade où la conscience est indispensable.
jeudi 1 novembre 2018
Les associations qui favorisent l’entrée d'étrangers en France
http://www.forumrefugies.org/presentation/nos-bailleurs-de-fonds où on apprend que les ARS financent les associations ...
file:///C:/Users/Secr%C3%A9tariat/Downloads/Plaquette+FRC+2014.PDF
Double langage des régions comme Rhône Alpes...
https://www.bfmtv.com/politique/le-budget-2016-de-la-region-auvergne-rhone-alpes-annule-revers-pour-wauquiez-1452748.html
file:///C:/Users/Secr%C3%A9tariat/Downloads/Plaquette+FRC+2014.PDF
Double langage des régions comme Rhône Alpes...
https://www.bfmtv.com/politique/le-budget-2016-de-la-region-auvergne-rhone-alpes-annule-revers-pour-wauquiez-1452748.html
Heuristic of disruptive therapy: a chat with JP Allison NP
Oct 17, 2018 3:55 PM
Guy-Andre P.
Oct 17, 2018 5:33 PM
Dr. Jim Allison
The road to developing immune checkpoint blockade as a cancer treatment began for me with a fundamental desire to understand how T cells work. This basic science research led to discovery of the protein structure of the T cell receptor, the T cell ignition switch, during my first academic appointment at MD Anderson in the early 1980s. Later, at the University of California, we identified the co-stimulatory molecule CD28 and its role as the gas pedal of immune response. Then we, and others, established that CTLA-4 acted as the brakes on T cells.
I’ve talked before about the impact of cancer on my family. My mother died of lymphoma when I was 10. Two uncles also died of cancer. In the back of my mind, I was on the lookout to do something about cancer, but I have to emphasize that the driving force of my efforts was to learn all that I could about T cells.
That knowledge led me to ask if blocking the brakes might free the immune system to attack cancer. I didn’t set out to study cancer, and if I had, I believe that focusing on the tumor would have caused me to miss the details that added up to checkpoint blockade.
Tax against Amazon: LR (a French political party) is becoming more and more socialist
Taxer d'un euro chacun de vos achats sur internet que vous vous faites livrer à domicile. C'est ce que souhaite David Lisnard, maire de Cannes et vice-président de l'Association des maires de France (AMF), révèlent Les Echos, mardi 30 octobre 2018. Ce dernier a déposé un amendement en ce sens dans le projet de loi de finances.
Avec cette nouvelle taxe, l'élu du parti Les Républicains entend financer un allégement de charges pour les petits commerçants, qu'il dit lésé par les entreprises de vente en ligne. "Le commerce de proximité subit par la faute de la contribution foncière des entreprises et des taxes foncières un niveau de charge injuste par rapport aux livraisons à domicile du commerce électronique", avait-il expliqué aux Echos en août.
Dans les faits, David Lisnard propose d'instaurer un abattement automatique de 10% de la taxe foncière des commerces inférieur à 400 m2. Cette réduction fiscale, estimée à 335 millions d'euros, serait comblée par cette nouvelle taxe sur les livraisons. Elle serait reversée à l'Etat puis aux collectivités, qui en seraient les bénéficiaires, précise BFMTV.
Une taxe approuvée par la majorité ?
Cette taxe serait uniquement applicable aux colis livrés à domicile. "Pas question de taxer les livraisons dans les commerces physiques ou dans les points relais, ce mode de livraison qui représente un tiers des 500 millions de livraisons annuelles, leur apporte un peu de rentabilité", explique David Lisnard.
En plus de l'AMF, le maire de Cannes est soutenu par plusieurs députés comme Charles de Courson (UDI), Bruno Retailleau (Les Républicains) et Benoît Potterie (La République en marche). Ce dernier assure d'ailleurs que d'autres députés de la majorité vont se rallier derrière l'amendement ou y apporter une légère nuance.
Sickle cell syndrome aka drepanocytosis and pediatric stroke
Approximativement 80 % des cas de drépanocytose se concentreraient en Afrique subsaharienne3. La maladie est également assez fréquente dans certaines régions de l'Inde, de la péninsule arabique et parmi les populations d'origine africaine dispersées de par le monde. Elle a entraîné la mort de 114 000 personnes en 20154.
France[modifier | modifier le code]
Les premiers cas de drépanocytose ont été rapportés en métropole dans les années 194077. Jusqu'aux années 1950, ces cas concernaient presque uniquement des personnes d'origine antillaise73. Le premier mouvement migratoire fin xixe siècle - début xxe siècle en provenance d'Europe du Sud n'a pu être dépisté.
Après la décolonisation des années 1950-1960 survint un deuxième mouvement migratoire provenant d'Afrique et d'Asie du Sud-Est. Des études ponctuelles de dépistage furent alors menées à partir des années 1970 dans plusieurs régions. Entre autres, en 1977, un dépistage systématique de la population scolaire de la région marseillaise sur plus de 35 000 élèves, a permis d'établir que 0,22 % étaient porteurs du trait drépanocytaire, tous issus de familles originaires de pays à risques, certains Italiens du sud vivant en France depuis cinq générations77.
En l'absence de registre national sur la drépanocytose en France — comme d'ailleurs dans les autres pays développés ayant mis en place un dépistage néonatal systématique, tels que le Royaume-Uni et les États-Unis — on ignore la prévalence de cette maladie dans la population de ces pays. Selon une évaluation de 2004, la France comptait quelque 6 000 patients drépanocytaires, c'est-à-dire homozygotes SS et hétérozygotes composites avec l'hémoglobine C ou la thalassémie β à hémoglobine E78. C'est la plus fréquente des maladies génétiques repérées par dépistage néonatal : en 2016, 356 nouveau-nés ont été confirmés positifs à la drépanocytose en France métropolitaine, contre 315 casd'hypothyroïdie congénitale et 130 cas de mucoviscidose, par exemple79.
https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2014/09/12/drepanocytose-la-maladie-genetique-qui-excite-l-extreme-droite_4486737_4355770.html
Cerebral ischemia explained |
Les juifs et la civilisation: loin des clichés des antiracistes institutionnels, les racines du mal
"Au vu de leurs contributions objectives à la civilisation, qu’il s’agisse de leurs contributions pionnières à la théorie quantique, leurs découvertes en science nucléaire et en informatique, leurs inventions en bio-ingénierie, ou leurs conceptions de micro-puces, il est difficile de prendre au sérieux la dénonciation du parasitisme juif. Comme le formule de manière avisée George Gilder, auteur acclamé de The Israel Test : « En cette ère de l’information, où les acquis de l’esprit ont largement surpassé le pouvoir des masses et de la force matérielle, les Juifs ont forgé une grande partie de la science et de la richesse de l’époque. » Par contraste, ceux qui aiment à penser que la culture juive serait fondamentalement une culture du parasitisme, ne rejettent pas seulement ce qu’ils doivent au génie juif, ils s’imaginent menacés par le Talmud qu’ils prétendent être un manuel raciste (ou suprématiste)." G. C.
https://www.rabbinicalassembly.org/sites/default/files/public/halakhah/teshuvot/2011-2020/Hammer%20Teshuvah%20Final.pdf
https://www.amazon.com/Israel-Test-Besieged-Freedom-Economy/dp/1594036128
https://www.rabbinicalassembly.org/sites/default/files/public/halakhah/teshuvot/2011-2020/Hammer%20Teshuvah%20Final.pdf
https://www.amazon.com/Israel-Test-Besieged-Freedom-Economy/dp/1594036128
mercredi 31 octobre 2018
Time
Why We Will Probably Never Have a Perfect Clock
By Daniel Brown
October 27, 2018
The time has come again when many of us switch our clocks from summer or daylight-saving time back to winter time. And the usual confusion sets in, is it an hour forwards or back? Why do we need to change the time at all? Indeed, EU member states have been asked if they would like to simply skip daylight saving time.
Historically, the sun has helped us tell time – but we’ve always had to make corrections to our readings for it to be effective. The reason we have daylight saving time, for example, is that the amount of daylight time isn’t consistent throughout the year – it is different in the winter from what it is in the summer – and doesn’t always match our working days. But how has time-telling progressed throughout history and how good can it get?
Throughout the year, the length of the days changes, as do the locations where the sun rises and sets on the horizon. There are also variations in the location and height of the sun during a day, with its peak height indicating that it’s midday. Knowledge about these markers helped humans create the first sundials to tell time (by tracking shadows on the dial) thousands of years ago.
But time comes in many definitions. Using a sundial, you determine the local solar time at your geographical location. This varies a lot given that the Earth is a sphere. If it is midday in London, the sun is highest in the sky, but, simultaneously in New York it is much further to the west. As a result, longitude becomes important when comparing such times. Even in the United Kingdom this difference amounts to 40 minutes when comparing the furthest locations east to west.
The politics of time
The longitudinal variation in solar time was used for navigation but it also caused a huge number of problems when establishing a rail network in 19th-century UK. To ensure you knew when to expect a train, timetables needed to refer to a single time. At this point, a unified time was created to ensure all of the UK used what would become Greenwich Mean Time (GMT). This idea developed further to create the now well-established time zones.
But the time zones seem to have been drawn up rather randomly in some parts of the world. This results mostly from the idea of unifying times in common trading and political regions. For example, most of the European states use central European time, even though they cover easily three theoretical time zones. Spain adopted the central European time during World War II under Franco’s regime to align the country closer to Germany. This remains today, despite the fact that the country covers exactly the same longitudes as the UK.
The sun was also long used to set clocks. To do that, only a single instance in time was needed to be marked: the middle of the day. This was achieved through meridian sundials, which have a small opening and a line exactly oriented north-south, the meridian. If the line is crossed, it is local solar noon.
However, even this ingenious method needed correction. The sun does not appear to move at a constant speed across the sky. Both the elliptical orbit of the Earth around the sun and the tilt of the Earth’s axis against the orbital plane lead to the sun running over or under its average position throughout the year. The time we actually use on our clocks assumes a smooth and mean position of the sun, so we refer to it as the “mean solar time”. The offset between these two times is captured by what is termed the equation of time.
Later on we started to set our clocks by visual cues, signals via telegraph and later broadcasting of time signals via radio. Today we can use GPS to do it.
Atomic clocks
After realising all this complexity of deriving the correct time from the sun’s position, the definition of time based on atomic clocks (International Atomic Time - IAT) seems perfect. These are based on the near perfectly repeating signal that electrons in atoms emit when they change energy levels – allowing us to avoid relying on the sun’s variable position.
As a result, we should have solved our problems of what the correct time is – we could use an atomic clock instead of Greenwich Mean Time and just add on the time zones. But since 1972 we have included what is known as the leap second to maximise sunlight by accounting for small irregularities and slowing of the Earth’s rotation when we measure Greenwich mean solar time. This marks a slow mismatch between the time measured by atomic clocks and the mean solar time at Greenwich.
Leap seconds are introduced either at the end of June or December as they are needed. This checking of the clocks is carried out by The International Earth Rotation and Reference Systems Service. The agency uses radio telescopes linked together over extremely large distances observing very distant objects known as quasars to measure the exact position and orientation of the Earth. Since 1972, we have already added a total of 37 seconds at irregular intervals, which is quite a lot. This means relying purely on atomic clocks isn’t sustainable. We would be ending up half an hour wrong in 700-800 years – ultimately affecting when we want darkness to set in.
So after all our efforts in finding the right time, checking the sun and creating atomic clocks, we still rely on the sky. Rather than using the sun, we use distant radio sources in our universe that astronomers observe to inform us how much our time differs from the perfect construct measured by the atomic clocks.
In the end, we still have to make sure that the time we define matches our everyday experience of day and night and the rhythms defined by the sun seen on Earth. And perhaps it’s good to continue thinking of time as relative. If we want to live on Mars and beyond, we’ll have to create a time that accounts for the days and years being different.
(c) Daniel Brown, Lecturer in Astronomy, Nottingham Trent University
By Daniel Brown
October 27, 2018
The time has come again when many of us switch our clocks from summer or daylight-saving time back to winter time. And the usual confusion sets in, is it an hour forwards or back? Why do we need to change the time at all? Indeed, EU member states have been asked if they would like to simply skip daylight saving time.
Historically, the sun has helped us tell time – but we’ve always had to make corrections to our readings for it to be effective. The reason we have daylight saving time, for example, is that the amount of daylight time isn’t consistent throughout the year – it is different in the winter from what it is in the summer – and doesn’t always match our working days. But how has time-telling progressed throughout history and how good can it get?
Throughout the year, the length of the days changes, as do the locations where the sun rises and sets on the horizon. There are also variations in the location and height of the sun during a day, with its peak height indicating that it’s midday. Knowledge about these markers helped humans create the first sundials to tell time (by tracking shadows on the dial) thousands of years ago.
But time comes in many definitions. Using a sundial, you determine the local solar time at your geographical location. This varies a lot given that the Earth is a sphere. If it is midday in London, the sun is highest in the sky, but, simultaneously in New York it is much further to the west. As a result, longitude becomes important when comparing such times. Even in the United Kingdom this difference amounts to 40 minutes when comparing the furthest locations east to west.
The politics of time
The longitudinal variation in solar time was used for navigation but it also caused a huge number of problems when establishing a rail network in 19th-century UK. To ensure you knew when to expect a train, timetables needed to refer to a single time. At this point, a unified time was created to ensure all of the UK used what would become Greenwich Mean Time (GMT). This idea developed further to create the now well-established time zones.
But the time zones seem to have been drawn up rather randomly in some parts of the world. This results mostly from the idea of unifying times in common trading and political regions. For example, most of the European states use central European time, even though they cover easily three theoretical time zones. Spain adopted the central European time during World War II under Franco’s regime to align the country closer to Germany. This remains today, despite the fact that the country covers exactly the same longitudes as the UK.
The sun was also long used to set clocks. To do that, only a single instance in time was needed to be marked: the middle of the day. This was achieved through meridian sundials, which have a small opening and a line exactly oriented north-south, the meridian. If the line is crossed, it is local solar noon.
However, even this ingenious method needed correction. The sun does not appear to move at a constant speed across the sky. Both the elliptical orbit of the Earth around the sun and the tilt of the Earth’s axis against the orbital plane lead to the sun running over or under its average position throughout the year. The time we actually use on our clocks assumes a smooth and mean position of the sun, so we refer to it as the “mean solar time”. The offset between these two times is captured by what is termed the equation of time.
Later on we started to set our clocks by visual cues, signals via telegraph and later broadcasting of time signals via radio. Today we can use GPS to do it.
Atomic clocks
After realising all this complexity of deriving the correct time from the sun’s position, the definition of time based on atomic clocks (International Atomic Time - IAT) seems perfect. These are based on the near perfectly repeating signal that electrons in atoms emit when they change energy levels – allowing us to avoid relying on the sun’s variable position.
As a result, we should have solved our problems of what the correct time is – we could use an atomic clock instead of Greenwich Mean Time and just add on the time zones. But since 1972 we have included what is known as the leap second to maximise sunlight by accounting for small irregularities and slowing of the Earth’s rotation when we measure Greenwich mean solar time. This marks a slow mismatch between the time measured by atomic clocks and the mean solar time at Greenwich.
Leap seconds are introduced either at the end of June or December as they are needed. This checking of the clocks is carried out by The International Earth Rotation and Reference Systems Service. The agency uses radio telescopes linked together over extremely large distances observing very distant objects known as quasars to measure the exact position and orientation of the Earth. Since 1972, we have already added a total of 37 seconds at irregular intervals, which is quite a lot. This means relying purely on atomic clocks isn’t sustainable. We would be ending up half an hour wrong in 700-800 years – ultimately affecting when we want darkness to set in.
So after all our efforts in finding the right time, checking the sun and creating atomic clocks, we still rely on the sky. Rather than using the sun, we use distant radio sources in our universe that astronomers observe to inform us how much our time differs from the perfect construct measured by the atomic clocks.
In the end, we still have to make sure that the time we define matches our everyday experience of day and night and the rhythms defined by the sun seen on Earth. And perhaps it’s good to continue thinking of time as relative. If we want to live on Mars and beyond, we’ll have to create a time that accounts for the days and years being different.
(c) Daniel Brown, Lecturer in Astronomy, Nottingham Trent University
Trends of Cancers in US: a decreased incidence and mortality since 2000
Trends in Cancer Incidence (1975 to 2013) and Death Rates (1975 to 2014) by Sex, United States.
Rates are age-adjusted to the 2000 US standard population. Incidence rates also are adjusted for delays in reporting. https://onlinelibrary.wiley.com/doi/full/10.3322/caac.21387?fbclid=IwAR3DGXcCwuIcOAbz9qNHJ-ezhnuCiRezLN17KfKmqb9BfQBZ9jY5Zvg4Nzk&
|
mardi 30 octobre 2018
Enhanced reality and interventional procedures
America: western people were there far before we previously thought it
dimanche 28 octobre 2018
Inscription à :
Articles (Atom)