Mostly opposite sex: this is one of the most striking difference |
vendredi 22 novembre 2019
Flamanville, l'EPR qui ne sera jamais amorti?
https://uarga.org/downloads/Documentation/1505__rapport_flamanville_pdf.pdf
https://uarga.org/downloads/Documentation/resume_folz.pdf
Il faut d'urgence que l'état vende sa participation dans EDF.
https://uarga.org/downloads/Documentation/resume_folz.pdf
Hallucinant |
Complexe mais très éclairant |
Il faut d'urgence que l'état vende sa participation dans EDF.
"Culture générale" will not come back as an old lift of social ascension
https://www.lefigaro.fr/vox/societe/rehabiliter-la-culture-generale-est-essentiel-pour-la-democratie-20191120?fbclid=IwAR3V0T5wrmhYEK8wPvWygE3iCNPpmK0_5d32ymZPnNlvrKY7GA1xskDKOOk
French elites are obsessed by the past. It is a natural behaviour because French politicians are pushing the country toward more collectivism since 1789, and it is not a success. More, recently the deconstructivism aggravated the cohesion of the society. In this setting french conservatives look in the rearview mirror. Social ascension can not be constructed, it cannot be planned, it occurs without subsidies in a free society with enforced rules of law. In our times it is not "culture générale" à la Montaigne which boosts social ascension: it is innovation.
La "culture générale" ne reviendra pas comme un vieil ascenseur d'ascension sociale
Les élites françaises sont obsédées par le passé. C'est un comportement naturel car les politiciens français poussent le pays vers plus de collectivisme depuis 1789, et ce n'est pas un succès. Plus récemment, le déconstructivisme a aggravé la cohésion de la société. Dans ce contexte, les conservateurs français regardent dans le rétroviseur. L'ascension sociale ne peut pas être construite, elle ne peut être planifiée, elle se produit sans subventions dans une société libre avec des règles de droit appliquées. De nos jours, ce n’est pas la "culture générale" à la Montaigne qui favorise l’ascension sociale: c’est l’innovation.
Il y a des perles dans cet article:
"La politique d’ailleurs est la science reine dit Platon, celle qui embrasse toutes les autres, c’est le savoir des généralistes."
"La culture générale est l’ombre portée de la démocratie sur un plan culturel. S’opposer à sa diffusion, la délégitimer, c’est indirectement s’en prendre au peuple et à l’égalité."
Une obsession de l'égalité, une vision erronée de la démocratie, et une définition de la culture totalement fantasmée.
Il y a aussi des constattions intéressantes qui ne sont pas analysées en terme civilisationnel:
"Dans le monde anglo-saxon, certains savants osent encore écrire, à la manière du prix Nobel d’économie, Paul Samuelson, un manuel destiné à mettre à la portée de sa concierge toute la science économique, y compris les théories les plus récentes.".
Ensuite c'est un véritable délire où se mêle parisianisme et grandiloquence datée:
"Un siècle plus tard, Sciences Po qui fut sans conteste le temple de la culture générale dans notre pays, supprime l’épreuve tant redoutée de la dissertation de culture générale tandis que le chef de l’État - qui se dit impressionné par le système Richard Descoings - serait, dit-on, favorable à l’utilisation d’algorithmes pour sélectionner les hauts fonctionnaires dans la future école destinée à remplacer l’ENA."
Franchement non.
L'auteur s'écoute parler et le Figaro publie des sornettes:
"Aussi la culture générale est-elle une arme contre la discrimination sociale massive."
On hésite entre du Michéa, du Taubira ou bien du Obono.
French elites are obsessed by the past. It is a natural behaviour because French politicians are pushing the country toward more collectivism since 1789, and it is not a success. More, recently the deconstructivism aggravated the cohesion of the society. In this setting french conservatives look in the rearview mirror. Social ascension can not be constructed, it cannot be planned, it occurs without subsidies in a free society with enforced rules of law. In our times it is not "culture générale" à la Montaigne which boosts social ascension: it is innovation.
La "culture générale" ne reviendra pas comme un vieil ascenseur d'ascension sociale
Les élites françaises sont obsédées par le passé. C'est un comportement naturel car les politiciens français poussent le pays vers plus de collectivisme depuis 1789, et ce n'est pas un succès. Plus récemment, le déconstructivisme a aggravé la cohésion de la société. Dans ce contexte, les conservateurs français regardent dans le rétroviseur. L'ascension sociale ne peut pas être construite, elle ne peut être planifiée, elle se produit sans subventions dans une société libre avec des règles de droit appliquées. De nos jours, ce n’est pas la "culture générale" à la Montaigne qui favorise l’ascension sociale: c’est l’innovation.
Il y a des perles dans cet article:
"La politique d’ailleurs est la science reine dit Platon, celle qui embrasse toutes les autres, c’est le savoir des généralistes."
"La culture générale est l’ombre portée de la démocratie sur un plan culturel. S’opposer à sa diffusion, la délégitimer, c’est indirectement s’en prendre au peuple et à l’égalité."
Une obsession de l'égalité, une vision erronée de la démocratie, et une définition de la culture totalement fantasmée.
Il y a aussi des constattions intéressantes qui ne sont pas analysées en terme civilisationnel:
"Dans le monde anglo-saxon, certains savants osent encore écrire, à la manière du prix Nobel d’économie, Paul Samuelson, un manuel destiné à mettre à la portée de sa concierge toute la science économique, y compris les théories les plus récentes.".
Ensuite c'est un véritable délire où se mêle parisianisme et grandiloquence datée:
"Un siècle plus tard, Sciences Po qui fut sans conteste le temple de la culture générale dans notre pays, supprime l’épreuve tant redoutée de la dissertation de culture générale tandis que le chef de l’État - qui se dit impressionné par le système Richard Descoings - serait, dit-on, favorable à l’utilisation d’algorithmes pour sélectionner les hauts fonctionnaires dans la future école destinée à remplacer l’ENA."
Franchement non.
L'auteur s'écoute parler et le Figaro publie des sornettes:
"Aussi la culture générale est-elle une arme contre la discrimination sociale massive."
On hésite entre du Michéa, du Taubira ou bien du Obono.
mardi 19 novembre 2019
Hôpitaux: l'état, les ARS et les syndicats empêchent la gestion de l'entreprise
J’ai toujours une boussole en poche quand la gogoche veut nous imposer sa conception de la crise permanente du capitalisme qui bien sûr va aboutir au paradis du Venezuela. Cette boussole s’appelle Benchmark. Elle n'indique pas le nord magnétique mais la direction à prendre pour solutionner un problème structurel récurrent. Elle consiste à me déplacer en Europe comme si nous étions une fédération européenne et qu’à l’instar de nos amis américains nous allions de Boston à Seattle et de Seattle à San Francisco pour voir comment les autres gèrent leurs problèmes. Quand je ne me déplace pas je regarde dans la petite lucarne ce qui se passe en Allemagne, en Angleterre, en Hollande, en Italie, au Moyen-Orient.
Je remplace alors le mot burnout part trop étatisé.
Le mot dette par irresponsabilité.
Le mot directeur par gestionnaire sous contrat, comme tous les autres employés cadres et autres.
Le mot règlement par la suppression des 36000 de l'hôpital public et l'application des lois et règles en cours pour les entreprises
Le mot moyens par organisation et le mot emplois par diminution de la bureaucratie du back office
Le Point publie un interview de propagande constructiviste et scientiste: un entre soi journalistique parisien
Tout commence par ce qui est classique en France depuis quelques décennies: le cocorico auto-congratulant:
"Il est l'un des meilleurs journalistes scientifiques français. « L'honneur de votre profession », nous confiait récemment l'académicien des sciences Yves Bréchet. "
dit le journaliste qui interview. Après cela on a bien le sentiment de lire un Prix Nobel. Ce texte travaillé est truffé d'arguments d'autorité. Dans d'autres pays un journaliste qui interview un scientifique l'introduit par ses recherches phares et à la fin en codicille est inscrit: XY a reçu le Prix Nobel de ... en 201X.
D'abord le journaliste répondant Sylvestre Huet qui a un blog "hébergé" par le fact checker en chef j'ai nommé "le monde" répond à des questions convenues sur la vérité scientifique sans jamais citer Popper...
"En science, la « dissidence » n'existe pas."
Que voilà une formule journalistique mais pas scientifique. C'est creux et incohérent. Mais surtout c'est d'une arrogance sans limite qui annonce la science d'état dont le journaliste est la vigie vacillante et c'est le cas sur son blog:
https://www.lemonde.fr/blog/huet/2019/07/25/le-climat-du-xxe-siecle-sans-precedent-depuis-jesus-christ/#comment-5315
Pas de débat, comme dans cet ITW, une vérité (contrairement à toute l'épistémologie moderne, et circulez. Suit une autre formule:
"Ce qui fait qu'un résultat scientifique est considéré comme vrai ou faux, ce n'est pas un vote, c'est son devenir."
Ce qui constitue une grossière confusion entre les faits expérimentaux et les théories ou les explications de ces faits. Un résultat à moins d'être frauduleux est un résultat. Il n'est pas vrai ou faux. C'est une erreur classique de ceux qui n'ont jamais fait de science expérimentale.
Ensuite, c'est assez "unfair" mais et il se lance dans une diatribe contre un ... un homme disparu. RIP Allègre.
"Lui donner la parole sur le climat, pour un journaliste scientifique, est aussi stupide que d'aller consulter un gastro-entérologue pour un cancer du cerveau."
Alors là c'est le gros biais de l'argument d'autorité, rien ne prouve que le gastro-entérologue ne puisse être un spécialiste translationnel...
Mais là où culmine la stupidité de l'aveuglement euphorique c'est maintenant:
"Allègre ne s'est vraiment lâché sur le climat qu'une fois sa carrière politique détruite par sa mauvaise gestion du ministère de l'Éducation nationale. "
C'est tellement faux! Car qui avant ou après a "géré" l'ed nat? Personne elle est administrée, de temps en temps et tenue opérationnellement en permanence par les syndicats...
Mais là où notre journaliste se lâche c'est sur l'homéopathie. Il confond tout, la science expérimentale, l'effet placebo, la médecine, la liberté, la sécu, le remboursement:
"Il n'y a évidemment aucune étude qui compare quatre élevages de milles vaches, chacun ayant les mêmes problèmes sanitaires, et testant l'un les antibiotiques, l'autre l'homéopathie, le troisième l'absence de traitement et le quatrième la tisane, le tout en double aveugle. La science, c'est ça."
En double aveugle? Vraiment chez les vaches? Ah, ah.
Mais cela va plus loin:
"La décroissance des consommations de matières premières et d'énergie, comme d'espaces naturels, est une nécessité absolue à l'échelle planétaire si l'on veut que nos civilisations durent." Et les preuves sont où monsieur le journaliste scientifique?
Bien sur les dogmes égalitaristes n'ont besoin d'aucune preuve puisque ce sont des croyances:
"Quant aux sociétés à fortes consommations, aucune force politique n'est en mesure de les convaincre d'opter pour la sobriété sans une réduction drastique des inégalités de revenus et de patrimoines, ont déjà démontré des économistes. S'il est vrai que sans réformes économiques, sociales et culturelles d'envergure aucune politique n'est susceptible d'atteindre les objectifs de la Convention Climat, pour ne parler que de ce dossier majeur, l'idée que l'on puisse y arriver à technologies constantes est absurde."
Vient ensuite le glyphosate:
"(la logique agronomique voudrait que la France produise moins de blé à exporter et plus de protéines pour ses élevages)".
Bref tout est du même tonneau de l'économie administrée.
Mais les questions relèvent aussi de la magie constructiviste:
"Que faire ?
"Il est l'un des meilleurs journalistes scientifiques français. « L'honneur de votre profession », nous confiait récemment l'académicien des sciences Yves Bréchet. "
dit le journaliste qui interview. Après cela on a bien le sentiment de lire un Prix Nobel. Ce texte travaillé est truffé d'arguments d'autorité. Dans d'autres pays un journaliste qui interview un scientifique l'introduit par ses recherches phares et à la fin en codicille est inscrit: XY a reçu le Prix Nobel de ... en 201X.
D'abord le journaliste répondant Sylvestre Huet qui a un blog "hébergé" par le fact checker en chef j'ai nommé "le monde" répond à des questions convenues sur la vérité scientifique sans jamais citer Popper...
"En science, la « dissidence » n'existe pas."
Que voilà une formule journalistique mais pas scientifique. C'est creux et incohérent. Mais surtout c'est d'une arrogance sans limite qui annonce la science d'état dont le journaliste est la vigie vacillante et c'est le cas sur son blog:
https://www.lemonde.fr/blog/huet/2019/07/25/le-climat-du-xxe-siecle-sans-precedent-depuis-jesus-christ/#comment-5315
Pas de débat, comme dans cet ITW, une vérité (contrairement à toute l'épistémologie moderne, et circulez. Suit une autre formule:
"Ce qui fait qu'un résultat scientifique est considéré comme vrai ou faux, ce n'est pas un vote, c'est son devenir."
Ce qui constitue une grossière confusion entre les faits expérimentaux et les théories ou les explications de ces faits. Un résultat à moins d'être frauduleux est un résultat. Il n'est pas vrai ou faux. C'est une erreur classique de ceux qui n'ont jamais fait de science expérimentale.
Ensuite, c'est assez "unfair" mais et il se lance dans une diatribe contre un ... un homme disparu. RIP Allègre.
"Lui donner la parole sur le climat, pour un journaliste scientifique, est aussi stupide que d'aller consulter un gastro-entérologue pour un cancer du cerveau."
Alors là c'est le gros biais de l'argument d'autorité, rien ne prouve que le gastro-entérologue ne puisse être un spécialiste translationnel...
Mais là où culmine la stupidité de l'aveuglement euphorique c'est maintenant:
"Allègre ne s'est vraiment lâché sur le climat qu'une fois sa carrière politique détruite par sa mauvaise gestion du ministère de l'Éducation nationale. "
C'est tellement faux! Car qui avant ou après a "géré" l'ed nat? Personne elle est administrée, de temps en temps et tenue opérationnellement en permanence par les syndicats...
Mais là où notre journaliste se lâche c'est sur l'homéopathie. Il confond tout, la science expérimentale, l'effet placebo, la médecine, la liberté, la sécu, le remboursement:
"Il n'y a évidemment aucune étude qui compare quatre élevages de milles vaches, chacun ayant les mêmes problèmes sanitaires, et testant l'un les antibiotiques, l'autre l'homéopathie, le troisième l'absence de traitement et le quatrième la tisane, le tout en double aveugle. La science, c'est ça."
En double aveugle? Vraiment chez les vaches? Ah, ah.
Mais cela va plus loin:
"La décroissance des consommations de matières premières et d'énergie, comme d'espaces naturels, est une nécessité absolue à l'échelle planétaire si l'on veut que nos civilisations durent." Et les preuves sont où monsieur le journaliste scientifique?
Bien sur les dogmes égalitaristes n'ont besoin d'aucune preuve puisque ce sont des croyances:
"Quant aux sociétés à fortes consommations, aucune force politique n'est en mesure de les convaincre d'opter pour la sobriété sans une réduction drastique des inégalités de revenus et de patrimoines, ont déjà démontré des économistes. S'il est vrai que sans réformes économiques, sociales et culturelles d'envergure aucune politique n'est susceptible d'atteindre les objectifs de la Convention Climat, pour ne parler que de ce dossier majeur, l'idée que l'on puisse y arriver à technologies constantes est absurde."
Vient ensuite le glyphosate:
"(la logique agronomique voudrait que la France produise moins de blé à exporter et plus de protéines pour ses élevages)".
Bref tout est du même tonneau de l'économie administrée.
Mais les questions relèvent aussi de la magie constructiviste:
"Que faire ?
On ne peut pas transformer chaque citoyen en scientifique. On ne va pas faire lire les dossiers d'homologation utilisés en agriculture par soixante millions de citoyens ! Mais il faut que la société utilise mieux les savoirs constitués et correctement expertisés, à l'image de ce que font des structures comme l'Anses ou le Giec. Le devoir des responsables politiques est de les créer, les organiser, de nommer à leur tête des personnes digne de confiance et de leur donner les moyens de travailler. Puis, de s'y référer pour leurs décisions, en expliquant aux citoyens que ces structures se sont vues garantir une indépendance vis-à-vis des pouvoirs économiques et politiques. Et lorsque ces structures défaillent, ils doivent les réformer. Mais pour que la société dans son ensemble puisse participer aux discussions qui découlent de ce travail d'expertise, nous avons aussi besoin de plus de journalistes formés aux matières scientifiques, et de plus de directions de rédactions sensibles à cela. Parce que la démocratie, ce n'est pas seulement que les citoyens décident, mais surtout que les citoyens décident en connaissance de cause."
Il est extravagant aujourd'hui d'écrire que quand ces structures (l'ANSES, le GIEC mais bien sur toutes les autres agences étatiques qui nous coûtent un pognon de dingue...) défaillent (sic) le pouvoir politique omniscient en chef doit les réformer.
Dans un ITW comme celui-là qui a été conduit avec la plus extrême complaisance de l'entre soi ne pas poser la question de l'économie de marché et des externalités négatives a un nom: c'est un débat entre constructivistes socialistes qui se servent d'un vernis scientiste. D'ailleurs pour dissiper toute ambiguité notamment en raison de quelques piques contre les zécolos vache sacrée de la gauche Thomas Mahler l'interviewer a convenu avec le journaliste interviewé de mettre noir sur blanc le mot, le sésame de du PC :
Dans un ITW comme celui-là qui a été conduit avec la plus extrême complaisance de l'entre soi ne pas poser la question de l'économie de marché et des externalités négatives a un nom: c'est un débat entre constructivistes socialistes qui se servent d'un vernis scientiste. D'ailleurs pour dissiper toute ambiguité notamment en raison de quelques piques contre les zécolos vache sacrée de la gauche Thomas Mahler l'interviewer a convenu avec le journaliste interviewé de mettre noir sur blanc le mot, le sésame de du PC :
"S'il ferraille contre les climatosceptiques, l'homme, de gauche, s'engage aussi clairement pour le nucléaire "
C'est tellement convenu et connivent, un vrai papier de la presse française que finalement peu de gens lisent mais que beaucoup subventionnent. Le lecteur comprend que la rédaction du Point a répudié l'héritage, le rationalisme critique de JFR.
https://www.lepoint.fr/sciences-nature/climat-nucleaire-homeopathie-pourquoi-nous-maltraitons-la-science-09-11-2019-2346206_1924.php#xtor=CS2-238
https://www.lepoint.fr/sciences-nature/climat-nucleaire-homeopathie-pourquoi-nous-maltraitons-la-science-09-11-2019-2346206_1924.php#xtor=CS2-238
lundi 18 novembre 2019
L'illégitimité des signatures des politiciens français depuis 1974
Dette en OAT, engagements hors bilan, tout cela pour achter des voix. |
Sept exercices pour travailler ses appuis et avoir un meilleur équilibre
En running, les appuis sont très importants. (Hans Christiansson / Shutterst/D.R)
Dans la vie de tous les jours, les appuis sont importants. Dans le monde du sport, c'est encore plus vrai. Voici quelques exercices pour progresser et gagner en stabilité.
mis à jour le 2 février 2018 à 11h00
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Quand vous faîtes deux petits pas pour éviter de tomber dans le métro, ou quand Zidane marque de la tête en finale de la coupe du monde, un même aspect est sollicité : les appuis. Ils permettent de rester stable et d'éviter une éventuelle chute. Dans la vie quotidienne jusqu'au sport de haut-niveau, cette faculté est utile.
Travailler ses appuis permet d'être plus stable, mais pas seulement. En plaçant bien ses pieds, la détente ou la vitesse progressent. Et des blessures comme le syndrome de l'essuie-glace ou des tendinites peuvent être évitées. Voici certains exercices pour avoir de meilleurs appuis à faire chez vous ou à la salle de sport.
Cloche-pied
En temps normal, vous avez deux appuis au sol. Supprimez-en un et le deuxième va devoir travailler encore plus pour remplir le travail. Marchez donc à cloche-pied puis alternez le mouvement pour avoir des appuis deux fois plus efficaces.
Corde à sauter
La corde à sauter est l'allié de nombreuses facultés de votre corps. Muscles, cardio et équilibre travaillent avec cet accessoire. Enchainez les séries de saut à la corde pour habituer vos pieds à reprendre appui brièvement. Vous pouvez également réaliser cet exercice sur une jambe pour hausser la difficulté.
La corde à sauter travaille le cardio, les muscles des membres inférieurs et les appuis. (Shutterstock/D.R)
Gainage ou fentes avec perturbations
Mettez-vous en position de gainage ou de fentes. Demandez à quelqu'un de vous pousser légèrement à différents endroits et dans différentes directions. Vous allez devoir préserver votre équilibre malgré ce facteur extérieur.
Petits bonds
Accroupi, avancez en réalisant des petits bonds. Vous pouvez varier la longueur de ces sauts.
Squat sur une jambe
Vous travaillerez les muscles de vos jambes et votre équilibre. Grâce à cet exercice, vous allez corriger de vous-même votre centre de gravité et le placement de votre pied pour rester debout. Pour ne pas vous blesser et réaliser l'exercice parfaitement, veillez à bien rester droit.
Avoir qu'un seul appui permet de le faire travailler de manière plus intense. (Shutterstock/D.R)
Un pied derrière l'autre
Collez vos pieds l'un derrière l'autre et avancez comme cela, comme si vous étiez un funambule sur une ligne imaginaire. Si cela est trop simple, vous pouvez le réaliser à reculons.
Exercices avec échelle d'agilité
Avec une échelle d'agilité, travaillez la vitesse de vos appuis. Les possibilités sont multiples avec cet accessoire. Un pied à gauche, un pied dedans, un pied à droite dans le sens de la longueur, ou en largeur rentrer puis sortir les pieds. L'objectif est de réaliser ces exercices avec beaucoup de vitesse.
L'échelle d'agilité permet de travailler la vitesse des appuis. (Shutterstock/D.R)
Demande de manne redistributive
Assistanat à vie: une demande illégitime |
"Demande d'assistanat: "Un "salaire étudiant" qui leur permettrait de passer 10 ans à étudier la sociologie à Nanterre avec la garantie d'un poste au CNRS dans la même discipline qui consiste à gloser sur ces salauds de riches qui payent des impôts pour financer l'ensemble du dispositif." Merci JLW
dimanche 17 novembre 2019
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