samedi 31 décembre 2022
vendredi 30 décembre 2022
Questions to AI: building a public health policy
Construire une politique de santé publique intelligente en réponse à une pandémie implique plusieurs éléments clés :
Détection et surveillance précoces : Il est important de disposer de systèmes pour détecter et surveiller les épidémies le plus tôt possible, afin que des mesures appropriées puissent être prises pour contenir la propagation de la maladie. Cela peut impliquer l'utilisation de systèmes de surveillance et d'autres outils de surveillance de la santé publique.
Évaluation des risques et communication : Il est important d'évaluer régulièrement le risque de la maladie pour la population et de communiquer cette information au public de manière claire et transparente. Cela permet de s'assurer que les gens sont conscients des risques et peuvent prendre les précautions appropriées pour se protéger.
Mesures de prévention et de contrôle : Les politiques de santé publique doivent inclure des mesures visant à prévenir la propagation de la maladie, telles que des programmes de vaccination et des mesures de quarantaine. Ils devraient également inclure des stratégies pour contrôler la propagation de la maladie une fois qu'elle est apparue, par exemple en identifiant et en isolant les personnes infectées et en mettant en œuvre des mesures de contrôle des infections dans les établissements de santé.
Soutien aux personnes et aux communautés touchées : les politiques de santé publique doivent également inclure des mesures pour soutenir les personnes et les communautés qui ont été touchées par la maladie, par exemple en leur donnant accès aux soins de santé, à une aide économique et à un soutien en santé mentale.
Flexibilité et adaptabilité : Il est important que les politiques de santé publique soient flexibles et adaptables, car la menace posée par une pandémie peut changer rapidement. Les politiques doivent pouvoir être modifiées ou mises à jour à mesure que de nouvelles informations deviennent disponibles.
ChatGPT
La médecine n'est pas en crise, c'est le monopole étatique qui administre son exercice qui est en ruine
La médecine n'est pas en crise, nous soignons beaucoup mieux et les résultats des traitements actuels sont prodigieux. En revanche le système Français de soins est devenu inefficient, très coûteux et bureaucratisé à l'extrême. Que se passe-t-il?
Le diagnostic médical du chaos des soins:
la demande générée par les besoins en situation de gratuité et d'autres évolutions dépasse le temps total disponible que génèrent les médecins cliniciens en fonction des incentives .La consultation de recours est devenu une consultation quasi-systématique pour tout état qui s'écarte de la "normalité" et ce à la convenance de temps, de lieu et de délai. Cette consommation étant mutualisée par les prélèvements obligatoires elle est devenue sans limite. Avec, bien sûr, une iatrogénie proportionnelle à l'usage inapproprié des soins et à la prescription automatique exigée. Les antibiotiques mais aussi les antalgiques en sont un exemple. C'est insoutenable.
L'offre s'est adaptée principalement par le stakhanovisme pour la génération qui part. Puis est arrivée la paupérisation et l'incapacité de recourir à l'emploi de collaborateurs. "les médecins en sont à répondre au téléphone, à remplir pendant des heures des formulaires de tous ordres, à rédiger des certificats abscons, à chercher l'information en l'absence de dossier médical électronique et à faire le ménage du cabinet au lieu de consulter".
Ce n'est pas une pénurie de médecins.
Le traitement rationnel avec un bon rapport bénéfice/risque de cette "évolution" est à l'opposé de ce que les politiques font depuis 40 ans:
1/ tournez doucement les boutons. La gratuité pour les maladies pas pour les convenances. Le remboursement pour les maladies pas pour les cures thermales, les taxis à vitres fumées les chaussures orthopédiques parce que j'y ai droit et mes boites de paracétamol au cas où.Le paiement pour tout le reste (Non pas celle là, la CB). Ainsi la demande inutile diminuera et les malades auront plus de créneaux de consultation.
2/ Consultations hors sécu.
À 25 euros on arrête à 18 h c'est déjà près de 50-60 heures par semaine. Avec la liberté de consulter à tarif libre, il y aura plus de créneaux pour le tarif sécu et en plus j'aurai une secrétaire à temps plein et même une IDE... Les Rosbifs sont bcp plus intelligents que les grenouilles (horresco referens). Ces consultations hors sécu permettront de consulter plus de patients. Car c'est l'objectif.
3/ Si vous êtes socialiste (LFI,PS,EM,LR,RN) délivrez des licences d'assurance maladie au premier euro aux assureurs non commerciaux (appelés mutuelles). Les administrateurs CGT, PS et autres chapelles des mutuelles vont gentiment expliquer à leurs "camarades" CFDT la gabegie qu'est la sécu. Ça ira mieux pour tout le monde.
4/ Si vous n'êtes pas socialiste (cas d'école in France), faites donc comme presque tous les pays de l'UE, laissez les assureurs qui ont des garanties financières offrir des contrats d'assurance maladie aux Français et à vos électeurs (qui vous élisent depuis un demi siècle malgré des résultats désastreux) le choix de s'assurer où ils veulent pourvu qu'ils souscrivent un contrat.
Il y a d'autres solutions mais avec celles là on rétablit la situation en moins d'un an.
Là avec le "en même temps" on y est jusqu'à la fin du quinquennat.