You cannot have independence and low salaries. You cannot have "free" education.
The amount of money that pharmaceutical companies spent was also incentives to buy their products. It is a shame for a large economy to rely on drug companies for continuous education of physicians and to blame them for increasing prescriptions or advertising outside the lines.
In the same time conditions of replacement in ambulatory medicine were stiffened and the result is more shortages and less education. Private universities are key to bypass all those hurdles.
Vous ne pouvez pas avoir l'indépendance et les bas salaires. Vous ne pouvez pas avoir une éducation "gratuite".
Les sommes dépensées par les sociétés pharmaceutiques constituaient également une incitation à acheter leurs produits. C'est une honte pour une grande économie de compter sur les sociétés pharmaceutiques pour la formation continue des médecins et de leur reprocher d'augmenter les ordonnances ou de faire de la publicité en dehors des lignes.
Dans le même temps, les conditions de remplacement en médecine ambulatoire se sont durcies, ce qui a entraîné davantage de pénuries et moins d'éducation. Les universités privées sont la clé pour contourner tous ces obstacles.
"cela m’amuse, car il y a 10 chez XXX, nous appliquions déjà cette pratique avec les internes.
Pour une raison simple, comme les plus internes n’ont pas été biberonnés par la pharma, ils se montrent plus distants et souvent refusaient de recevoir (déjà) les Labos. Nous avions donc pris le parti de ne plus participer à leur prise en charge aucune, ni congrès, ni pot de thèse, ou impression…..
Les chefs de service m’appelaient régulièrement pour me faire flancher, ne voulant pas comprendre que c’était une stratégie d’entreprise.
Que personne ne se méprenne, à chaque euro dépensé pour un médecin, un interne, ….ou une ide, c’est 2 euros minimum qui doivent rentrer. C’est un investissement, pas une action de générosité.
Les actionnaires veillent à continuer à s’enrichir quelqu’en soit l’impact sur le terrain
On n’a jamais perdu 1 euro avec cette décision."
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