mardi 15 octobre 2019

En moyenne 38,30% des mariages en Algérie sont consanguins

Toutes les maladies génétiques augmentent avec la consanguinité.
"La prévalence de l’albinisme dans le monde est d’une naissance sur 20 000. En Afrique, cette prévalence passe de un sur 4000, et même 1 sur 1000 en Tanzanie, au Burundi et au Niger. Cette hausse spectaculaire du risque d’albinisme s’explique par la consanguinité, dans les villages les plus excentrées : des membres de la même familles, même éloignés, peuvent être porteurs de gènes très anciens et favoriser l’albinisme. Dans un brassage plus large, le risque que deux personnes portent les gènes de l’albinisme est considérablement réduit. Des recherches menées au Cameroun ont montré que sans lien de consanguinité, le risque d’avoir un enfant albinos est de 1 sur 20 000. Si deux cousins ont un enfant, le risque passe à 1 sur 2240, soit presque 10 fois plus élevé. De plus, comme les albinos sont rejetés par la société, ils ont tendance à se regrouper et à s’unir entre eux. Les enfants qui naissent de ces unions ne peuvent qu’être albinos, eux-aussi."


C'est un excellent exemple de fertilité dysgénique. En effet les albinos sont particulièrement en difficulté dans des pays à forte insolation et la consanguinité multiplie par 4 la prévalence. Le conseil génétique est simple si il y a un albinos dans la famille large il faut surtout éviter toute consanguinité.
Plus généralement cet article est courageux.


Les commentaires bien résumés:
"Article dans la lignée de ce que je qualifie de harkisme intellectuel. C’est-à-dire cette propension qu’ont certains Algériens, quelque soit leur niveau d’étude ou conviction philosophique ou religieuse, à donner crédit, voire à promouvoir, n’importe quelle étude ou statistique qui dénigre, dévalorise, insulte le peuple Algérien dans ce qu’il fait ou, comme ici, dans ce qu’il est.
Nous sommes donc cette fois ci des « tarés » au QI moyen de 82, parmi les plus bas du monde (sic)!!, et comme cette étude n’a de scientifique que le nom, elle nous promet comme celles de son acabit, que dis-je, nous annonce l’apocalypse pour le peuple Algérien en effet l’article nous affirme que « La consanguinité est un danger grave qui nous menace dans notre existence même en tant que peuple libre, indépendant et prospère…[..] c’est une question de vie ou de mort! (re-sic) ». Cela fait des siècles que notre culture accepte le mariage entre cousins, mais cette fois-ci messieurs dames c’est sûr, l’apocalypse c’est maintenant!.
Enfin la pépite argumentative selon moi étant…. »Qui d’entre nous oserait nier la recrudescence des crimes de tous genres, assassinats d’enfants et d’adultes, viols, vols, infractions en tous genres dont les graves infractions au code de la route, corruption, trafic de drogue, violence dans les stades, paresse physique et intellectuelle ». N’osez pas nous contre-dire dans les conclusions que nous faisons de l’origine de tel ou tel phénomène de société, semble dire l’auteur de cette thèse!
Vous espérez que ce « travail » soit repris « par la majorité des Algériens », peu de chance selon moi. L’écrasante majorité du peuple Algérien est musulmane et les textes coraniques, en matière de mariage est assez clair, les limites de parentés à partir desquelles il est possible de contracter le mariage commence aux cousins germains. (wa Allahou A3lem)"

In cauda venenum autrement dit fermez le ban c'est écrit.


Vos commentaires, même sur un ton fantaisiste, soulèvent des questions pertinentes et je tiens à préciser certaines choses : 1)seul un fou incompétent avancerait que notre QI moyen de 82 est dû à la consanguinité et ce n’est pas ce qui est écrit dans le texte ; je parle de conséquence et une conséquence peut résulter de plusieurs causes ; un faible QI n’est pas dû à la seule consanguinité; le consanguinité est un facteur aggravant, comme vous le dites. Ma contribution a perdu beaucoup de sa cohérence en raison de suppression par AP de plusieurs chapitres ; je joins ici une des parties supprimées, cela lèvera peut être certaines incompréhensions. J’espère que AP laissera passer cette mise au point :
« La consanguinité dans le monde :
Certaines cultures, conscientes des dangers de la consanguinité sur l’essor de leurs sociétés ont carrément interdit les mariages consanguins ; c’est le cas des religions juive et chrétienne qui ont banni les mariages consanguins, y compris entre cousins. La religion musulmane est par contre très permissive à ce sujet d’où le fort taux de mariages consanguins dans le monde musulman. De nombreux écrits montrent que la sphère géographique arabo-musulmane est celle où la prévalence des mariages consanguins est, de loin, la plus forte (voir la carte ci-jointe) ; la dépression de consanguinité y est ravageuse et les statistiques font froid dans le dos :
• Près de la moitié des musulmans dans le monde sont consanguins ;
• La majorité des mariages consanguins impliquent des cousins germains, la forme d’union consanguine non-incestueuse la plus dommageable (en y incluant les mariages entre cousins plus ou moins lointains, les statistiques sont encore plus effarantes, 100% dans certaines communautés) ;
• Plus de 80% de mariages consanguins en Nubie (Sud de l’Egypte), plus de 70% au Pakistan ; plus de 60% en Afghanistan, en Arabie Saoudite, en Irak, au Koweït, en Jordanie, au Soudan ; plus de 50 % au Qatar, aux Emirats Arabes Unis ; plus de 40% en Libye, en Mauritanie, en Syrie, au Liban, à Bahreïn, au Yémen ; 30% et plus en Algérie, en Tunisie, en Egypte en Turquie, en Iran ; près de 20% au Maroc.
• Selon la BBC, les Pakistanais, en Grande Bretagne, ont une probabilité de procréer des enfants avec des désordres génétiques récessifs 13 fois supérieure à la moyenne. Bien qu’ils ne représentent que 3% des naissances au Royaume-Uni, les nouveau-nés Pakistanais souffrant de tares génétiques y constituent 33% du total des enfants avec des problèmes génétiques à la naissance ;
• Selon le psychologue danois, Nicolaï Sennels, les enfants musulmans nés de mariages consanguins perdent de 10 à 16 points de QI ;
• Le nombre de livres traduits dans les monde arabe ne dépasse pas 330 livres par année, soit 20% de ce que traduit la seule Grèce ;
• Le nombre de Prix Nobel d’origine musulmane est de 9, dont 5 reçus au titre de Prix Nobel de La Paix ;
• Selon la revue scientifique Nature, les pays musulmans produisent 10% seulement de toute la production de la recherche scientifique mondiale mesurée par article de revue scientifique et par million d’habitants ;
• Au Danemark, les statistiques indiquent que 64% des enfants de familles musulmanes consanguines sont toujours illettrés après 10 ans de scolarité dans le système danois et que le taux d’abandon dès le Lycée est 2 fois plus élevé que celui des autochtones ;
Une étude, en Inde, sur les « Les effets de la consanguinité sur le comportement cognitif et social des enfants chez les musulmans Ansari de Bhalgapur, Bihar, Inde (Indian National Science Academy, 1983: Consanguinity Effects on Intelligence Quotient and Neonatal Behaviours of Ansari Muslim Children) révèle les résultats suivants :
• Le QI est de 69 en milieu rural et 79 en banlieue pour les enfants de couples consanguins alors qu’il est de 79 et 95, respectivement, pour les enfants de couples non-consanguins de même âge ;
• L’acquisition de caractères d’intégration sociaux comme la fixation visuelle, le sourire, la compréhension des sons, de l’expression orale et de la saisie d’un objet est considérablement retardée chez les bébés consanguins ;
Un article de la revue Behaviour Genetics (Effects of Inbreeding on Raven Matrices, 1984) a conclu que :
• Des écoliers Indiens musulmans de parents cousins germains, âgés de 13 à 15 ans, ont obtenu un taux de réussite moyen à un test non-verbal d’intelligence (Raven Progressive Matrices) statistiquement plus faible que celui leurs camarades non-consanguins ;
• Les différences entre les deux groupes d’enfants (consanguins et non-consanguins) étaient également statistiquement significatives aussi bien pour les scores bruts que pour les scores ajustés à l’âge et au statut socio-économique ;
Une autre étude (Proceedings of the National Academy of Science, 1978: Effect of inbreeding on IQ and mental retardation) a montré que :
• Le risque d’avoir un QI inférieur à 70 était accru de plus de 400% pour les enfants consanguins, ce risque passant de 1.2%, chez les enfants de parents non-apparentés, à 6.2%, chez les enfants nés de cousins germains ;
• Les risques d’apparition de tumeurs malignes, d’anomalies congénitales, de retard mental et de handicap physiques étaient, aussi, significativement plus élevés dans le groupe d’enfants consanguins;
Des études en Norvège (Jyllands-Posten, 2009 : More stillbirths among Immigrants, 2009 et BMJ, 1994: Infant death and consanguineous marriage) révèlent des résultats extrêmement alarmants :
• Le risque de mortalité périnatale (décès de l’enfant qui précède ou suit immédiatement la naissance, entre le 28è jour de la gestation et le 7è jour après la naissance) double, par rapport aux enfants Norvégiens, chez les enfants Pakistanais dont les parents sont cousins germains ;
• Les décès dus à des maladies génétiques autosomiques récessives étaient 18 fois plus fréquents chez les enfants Pakistanais ;
• Les décès dus à diverses malformations, dont la preuve génétique n’a pas été indiscutablement établie, étaient, en outre, 10 fois plus élevés chez les enfants consanguins Pakistanais comparés aux autochtones Norvégiens
.
De nombreuses autres études publiées dans diverses revues scientifiques ont communiqué des résultats éloquents. Citons parmi les plus spectaculaires :
• Des observations cliniques ont montré que les personnes consanguines sont significativement plus sujettes à la dépression nerveuse (Indian Journal of Psychiatry, 2009: Relationship between consanguinity and depression in a south Indian population);
• Plus les parents sont liés par le sang, plus la probabilité qu’ils aient des enfants atteints de schizophrénie est forte. (American Psychiatric Press, 1982 The role of genetic factors in the ethiology of the schizophrenic disorders);
• Une étude de l’université de Londres, rassemblant des données de 72 pays, a établi une corrélation significative entre les mauvais résultats de l’éducation évalués par le test international PISA (Program for International Sudent Assessement) et le pourcentage de mariages consanguins dans le pays étudiés (M. Woodley, Intelligence, 37, 2009, Inbreeding depression and IQ in a study of 72 countries).

En guise de conclusion de ce chapitre :
« Durant un programme de transition avec des KV-107 et des C-130 avec Lockheed, nous avons découvert que la plupart des stagiaires saoudiens avaient une vision nocturne très limitée, même lors des nuits de pleine lune les plus éclairées. Leur [les pilotes saoudiens, ndlr] capacité absorption des données était minimale, à l’instar des personnels de maintenance. Certains avaient de faibles mémoires et devaient se faire rappeler constamment des choses qui leur avaient été dites le jour précédent. Un Américain, un Britannique ou n’importe quel autre instructeur occidental s’épuise rapidement. Il a fallu des années aux pilotes musulmans de C-130 avant qu’ils puissent voler dans le noir en toute sécurité et ils demeuraient rétifs à s’éloigner des lumières d’une ville. Demandez à n’importe quel Marine, personnel de l’US Air Force ou de l’US Army qui a du entraîner des irakiens, et tout spécialement des Afghans.
D’après l’écrit d’un employé de la firme US Lockheed Martin en activité au Moyen-Orient. »


aussi cela:
Mariage divorce adoption
Consanguinité musulmane: Impacts sur l’intelligence, la santé mentale, la santé et sur la société
Voici une étude fort intéressante qui peut expliquer le fort décalage qui existe entre les pays occidentaux et les pays arabo-musulmans en général, certains l’appelleront le choc des civilisations…. voyons les faits…
La consanguinité massive dans la culture musulmane au cours des 1.400 dernières années peut avoir causé des dégâts catastrophiques au patrimoine génétique des musulmans. Les conséquences de mariages entre cousins germains ont souvent des conséquences graves sur l’intelligence, la santé mentale, la santé de leur enfants et dans leur environnement
L’exemple le plus célèbre de la consanguinité se passe en Égypte antique, où plusieurs dynasties pharaoniques se sont effondrées après une centaine d’années de règne. Afin de maintenir la richesse et le pouvoir au sein de la famille, les Pharaons, souvent, se mariaient à leur propre soeur ou demi-soeur, Après une poignée de générations, les descendants étaient mentalement et physiquement inaptes à gouverner. Un autre exemple historique se passe au sein des maisons royales d’Europe où les familles royales se mariaient également entre elless parce que la tradition ne leur permettait pas de se marier avec gens de classe autre que royale.
Le nombre élevé des arriérés mentaux et des handicapés tout au long de l’histoire européenne montre les conséquences malsaines de cette pratique. Heureusement, les familles royales permettent, de nos jours, de se marier par amour et non plus seulement pour le statut.
La culture musulmane pratique toujours les mariages entre personnes d’une même famille et ce depuis plus longtemps que toute les dynasties égyptiennes. Cette pratique concerne aussi la plus ancienne monarchie du monde (les danois) par 300 ans de règne.
Une estimation grossière montre que près de la moitié de tous les musulmans dans le monde sont consanguins: Au Pakistan, 70% de tous les mariages se font entre cousins germains (consanguinité) et en Turquie, le chiffre se situe entre 25% et 30% (Jyllands-Posten, 27/2 2009 More stillbirths among immigrants)
Les statistiques pour les pays arabes montrent : qu’il y a jusqu’à 34% de mariages consanguins à Alger, 46% à Bahreïn, 33% en Egypte, 80% en Nubie (région du sud de l’Egypte), 60% en Irak, 64% en Jordanie, 64% au Koweït, 42% au Liban, 48% en Libye, 47% en Mauritanie, 54% au Qatar, 67 % en Arabie saoudite, 63% au Soudan, 40% en Syrie, 39% en Tunisie, 54% dans le Emirats Arabes Unis et 45% au Yémen Reproductive Health Journal, 2009 Consanguinity and reproductive health among Arabs).
Une grande partie des musulmans consanguins sont nés de parents qui sont eux-mêmes nés de parents consanguins – Ce qui augmentent considérablement les risques et les conséquences physiques et mentaux.
Le taux des mariages connexes de sang est plus faible chez les immigrants musulmans vivant en Occident. Parmi les Pakistanais vivant au Danemark, le taux est tombé à 40% et 15% chez les immigrants turcs (Jyllands-Posten, 27/2 2009 More stillbirths among immigrants »).
Plus de la moitié des immigrés pakistanais vivant en Grande-Bretagne sont mariés:
La recherche, menée par la BBC et diffusée à choqué les téléspectateurs. Ils ont pu constater qu’au moins 55% de la communauté était mariée à un cousin germain. Ceci laisse à penser que le risque, pour une famille pakistanaise britannique, est 13 fois plus important d’avoir des enfants qui présentent des troubles génétiques récessifs. Times of India, 17/11 2005 Ban UK Pakistanis from marrying cousins).
En Occident, Les pourcentages sont plus faibles peut-être parce qu’il y a moins de chance de se marier avec une personne de la même famille ou parce que l’éducation pour la santé est meilleure.
Faible intelligence:
Plusieurs études montrent que les enfants issus de mariages consanguins ont une intelligence inférieure aux enfants de parents non apparentés. Les recherches montrent que le QI est de 10 à 16 points de moins chez les enfants nés de parents connexes, et que les capacités liées au comportement social se développe plus lentement chez les bébés consanguins:
«Les effets de la consanguinité des parents sur le comportement cognitif et social des enfants ont été étudiés chez les musulmans auprès de the Ansari Muslims of Bhalgapur, Bihar.
Le QI chez les enfants consanguins (8-12 ans) est jugé inférieur (69 en milieu rural et 79 dans les populations de banlieue) que celle des enfants à faible consanguinité (79 et 95 respectivement). L’apparition de différents profils sociaux comme la fixation visuelle, le sourire, la compréhension des sons, de l’expression orale et de la saisie d’un objet sont considérablement retardés chez les bébés consanguins nouveau-nés. (Indian National Science Academy, 1983 Consanguinity Effects on Intelligence Quotient and Neonatal Behaviours of nsari Muslim Children »).
L’article du « Effects of inbreeding on Raven Matrices » conclut que :
«des écoliers indiens musulmans, âgés de 13 à 15 ans, dont les parents sont cousins germains, ont été comparés avec leurs camarades dont les parents sont génétiquement indépendants sur le Raven Progressive Matrices, un test non verbal d’intelligence. Le groupe consanguin a marqué significativement le taux de réussite le plus faible et avait significativement plus de différences que le groupe non-consanguins, à la fois sur les scores bruts et les scores statistiquement ajustés par âge et le statut socio-économique. (Behaviour Genetics, 1984).
Une autre étude montre que le risque d’avoir un QI inférieur à 70 est de 400%. Passant de 1,2% chez les enfants de parents normaux à 6,2% chez les enfants consanguins: «Les données indiquent que le risque de retard mental pour les enfants issues d’un couple aléatoire de 0,012 et de 0,062 si la filiation se fait avec un cousin germain au 1er degrès ». (Proceedings of the National Academy of Science, 1978 Effect of inbreeding on IQ and mental retardation »). L’étude montre des effets délétères possibles de consanguinité et sont la cause de « d’apparition de tumeurs malignes, anomalies congénitales, un retard mental et un handicap physique et étaient significativement plus élevés chez les enfants de consanguins que pour les mariages non consanguins « .
Les maladies mentales et la mort :
Le risque de mortalité infantile double quand les parents sont cousins germains (Jyllands-Posten, 27/2 2009 More stillbirths among immigrants). Une étude a analysé le risque de mortalité périnatale (décès de l’enfant au cours de sa propre naissance), la mort du nourrisson et les maladies autosomiques récessives (maladies génétiques graves et souvent mortelles telles que la fibrose kystique et l’atrophie musculaire spinale):
La mortalité périnatale chez les enfants pakistanais était 1,5 fois plus élevé que chez les enfants norvégiens, et la mortalité infantile chez les enfants pakistanais a plus que doublé que chez les enfants norvégiens. Les décès dus à des maladies autosomiques récessives sont 18 fois plus fréquents chez les enfants pakistanais. De même, les décès dus à des malformations multiples, qui peuvent faire partie de la non reconnaissance des syndromes autosomiques récessifs, étaient 10 fois plus communs. (BMJ, 1994 Infant death and consanguineous marriage).
Il y a aussi des preuves suggérant que les personnes consanguines ont un risque plus élevé de développer des troubles mentaux: «Les observations cliniques ont indiquées que la dépression est très élevée dans certaines communautés où la consanguinité des mariages est également élevée. » (Indian Journal of Psychiatry, 2009 « Relationship between consanguinity and depression in a south Indian population »).
Une autre étude a porté sur la relation entre les mariages mixtes et la schizophrénie: « Plus les parents sont liés par le sang, plus il y a de probabilité qu’ils aient des enfants atteints de schizophrénie. » (American Psychiatric Press, 1982 The role of genetic factors in the ethiology of the schizophrenic disorders).
Le risque accru de démence chez les enfants issus de mariages entre cousins germains pourrait expliquer pourquoi les patients immigrants sont, souligne le système psychiatrique, fortement sureprésentés parmi les aliénés criminels: «Dans Sct Hans Hospital, possède le plus grand nombre de criminels cliniquement fous au Danemark. 40% des patients ont une origine étrangère. « (Kristeligt Dagblad, 26/6 2007 Ethnic minorities overrepresented among the criminal insane).
Implications pour l’Occident et le monde musulman:
Les conséquences pour les descendants de mariages consanguins sont malheureusement : la mort, une faible intelligence ou un retard mental, un handicap et des maladies conduisant souvent à une mort lente et douloureuse. D’autres conséquences peuvent, également, être constatées :
Compétences limitées socialement et intellectuellement, capacité limitée face à l’enseignement et au travail, et des traitements douloureux. Les conséquences cognitives négatives influencent également les fonctions exécutives. La dépréciation de la concentration et le contrôle émotionnel conduit le plus souvent à un comportement anti-social.
Les coûts économiques et les conséquences pour la société du à la consanguinité sont évidemment secondaires en comparaison à la réalité de la souffrance humaine.
Cependant, la consanguinité chez les musulmans a des conséquences graves tant pour les sociétés occidentales que pour le monde musulman.
Les dépenses liées aux immigrés musulmans handicapés mentaux et physiques drainent de lourds budgets pour les services publics: «Quand les cousins ont des enfants ensemble, ils sont deux fois plus susceptibles d’avoir un enfant handicapé –
Les enfants d’immigrants coûtent beaucoup d’argent pour les municipalités danoises. Et cela se compte en millions. Meredith Lefelt a contacté 330 familles ayant des enfants handicapés à Copenhague. Elle estime qu’un tiers de leurs patients ont un bagage culturel étranger ». (BT, 10/11 2003 Immigrants consanguinité coûte un million. BT, 10/11 2003 Immigrants inbreeding costing one million).
Au-dessus viennent les dépenses pour les immigrants musulmans qui – en raison de différentes conséquences d’être né de parents, associés au sang – ne sont pas à la hauteur des défis de notre marché du travail en occident: les immigrés musulmans et leurs descendants en Europe ont un taux très élevé de chômage.
La même chose vaut pour les musulmans aux Etats-Unis, où l’institut Gallup a réalisé une étude portant sur 300.000 personnes. Au final « La majorité des musulmans aux Etats-Unis ont un revenu très bas, sont moins éduqués et ont des emplois pire que la population dans son ensemble. » (Berlingske Tidende, d. 3. marts 2009: Muslims thrive in USA).
Les conséquences cognitives de consanguinité au sein des musulmans pourraient expliquer pourquoi les immigrants non-occidentaux sont plus de 300% plus susceptibles d’échouer au test d’intelligence de l’Armée danoise par rapport aux Danois de souche: « 19,3% des immigrants non-occidentaux ne sont pas en mesure de passer le test d’intelligence de l’Armée danoise. En comparaison, seulement 4,7% des demandeurs danois ne le réussissent pas. « (TV 2 Nyhederne, 13/6 2007 Immigrants flunk army test).
Cela explique probablement aussi – au moins en partie – pourquoi les deux tiers de tous les enfants immigrés à l’école ayant des antécédents arabes sont analphabètes après 10 ans dans le système scolaire danois: «Ceux qui parlent l’arabe avec leurs parents ont une tendance extrême à l’absence des capacités de lecture – 64% sont analphabètes …. Peu importe s’il s’agit de capacités de lecture, en mathématiques ou en sciences, le schéma est le même. Les compétences bilingues (à majorité musulmane) des immigrants sont extrêmement pauvres par rapport à leurs camarades danois « (Rockwool Foundation Research Unit, May 2007: Ethnic students does not make Danish children worse).
Les dépenses élevées en matière d’éducation spécialisée pour les élèves lents utilise un tiers du budget pour les écoles danoises. « Les enfants d’immigrants sont clairement surreprésentés dans les écoles de Copenhague pour enfants handicapés et enfants souffrant d’handicaps physiques. … 51% des enfants des trois écoles de Copenhague pour les enfants souffrant de handicaps physique et mental sont des enfants d’immigrant et sur l’une des écoles le montant est de 70%. …
Les nombreux enfants handicapés sont une preuve claire qu’il y a beaucoup de parents qui se sont mariés au sein de leur propre famille. « (Jydske Vestkysten, 4/4 2009 Tosprogede i overtal på handicapskoler).
Notre haut niveau d’éducation peut également rendre plus difficile pour les étudiants consanguins à suivre et à terminer leurs études: «Les jeunes issus des minorités ont un taux de décrochage beaucoup plus élevé dans les écoles secondaires que les jeunes danois pour les études de commerce. Le taux de décrochage chez les immigrants est de 60%, soit deux fois plus élevé que chez les adolescents danois ….
Il y a une grande variation dans les résultats scolaires par rapport à l’origine nationale. Par exemple, le décrochage chez les jeunes issus du Liban ou d’Iran est beaucoup plus élevé que chez les personnes d’origine vietnamienne. « (Centre de connaissances sur l’intégration à Randers, mai 2005« La jeunesse, l’éducation et l’intégration »).« Parmi les enfants d’immigrés qui sont nés et ont grandi au Danemark, plus d’un tiers n’a pas d’éducation. Chez les Danois de souche elle est inférieure à un cinquième qui ne reçoivent pas une éducation (Statistique Danemark:. ». Indvandrere i 2007».
Les conséquences négatives de la consanguinité sont aussi grandes pour le monde musulman. La consanguinité peut donc expliquer pourquoi seulement 9 musulmans ont réussi à recevoir le prestigieux prix Nobel (5 d’entre eux ont remporté le « Prix de la Paix » – pour la paix qui s’est avérée ne pas durer très longtemps).
La capacité limitée de comprendre, d’apprécier et de produire des connaissances suite à un QI limité est probablement une des raisons pour lesquelles les pays musulmans ne produisent qu’ 1/10ème de la moyenne mondiale quand il s’agit de la recherche scientifique:
«En 2003, la moyenne du monde pour la production d’articles par million d’habitants était de 137. Aucun des 47 pays de l’OCI pour lesquels les données étaient au-dessus de 107 par million d’habitants. La moyenne de l’OCI n’avait que 13 ans. « (Nature 444, p 26-27, 1 Novembre 2006. ». Islam et la science: L’écart entre les données ».
Le manque d’intérêt pour la science et le développement humain dans le monde musulman est également évident dans les Rapports sur le développement humain arabe des Nations Unies (AHDR). AHDR conclut qu’il y a eu moins de livres traduits en arabe dans les mille dernières années que le nombre de livres traduits en Espagne chaque année:
« Les traductions de livres, dans le monde arabe, s’élève à environ 330 livres par an soit un cinquième du nombre de livres qui se traduisent en Grèce. Le total cumulé des livres traduits depuis [sic] le temps du calife Maa’moun (IXe siècle) est d’environ 100.000, presque la moyenne de livres traduit par l’Espagne en un an. « (Eugene Rogan « Les livres arabes et le développement humain ». Indice de la censure, vol. 33, numéro 2 Avril 2004, p. 152-157). « 70% des citoyens turcs n’ont jamais lu les livres.» (APA, le 23 Février 2009 »).
Conclusion:
Il ne fait aucun doute que la grande tradition de propagation de premiers mariages entre cousins parmi les musulmans a nui à l’ensemble des gènes chez les musulmans. Parce que les croyances religieuses des musulmans interdisent d’épouser des non-musulmans et les empêche ainsi d’ajouter du matériel génétique frais et plus hétéroclite à leur population. Les dommages génétiques causés à leur patrimoine génétique depuis leur prophète a permis les premiers mariages entre cousins il y a 1400 ans et sont les plus répandus. Les conséquences humaines et sociales directes et indirectes accablantes ont été expliquées ci-dessus.
La compassion pour la santé des générations futures devrait être suffisante pour interdire les mariages entre cousins germains. Les conséquences économiques et sociales sont réelles aussi. Il faudrait également réduire l’immigration musulmane en Occident parce que les familles musulmanes aimeraient être en mesure de poursuivre leur pratique de mariages mixtes afin de respecter les traditions culturelles et religieuses et de garder la richesse et la puissance à l’intérieur de leur famille.
Une interdiction législative sur les mariages entre cousins est un impératif, logique et de compassion tant pour le monde musulman, pour l’Union européenne que nos gouvernements nationaux occidentaux

ou bien 
    C’est une question de probabilités. Quelle est la probabilité pour que le père suédois rencontre et se marie avec la mère béninoise ? Peut être moins d’une chance sur 3,72 milliards (le nombre de femmes sur Terre) car il faut considérer le facteur géographique en plus de nombreux autres facteurs tels, la compatibilité des caractères, l’attirance, etc. Supposons, maintenant, que votre cousin Cha3vane, le taré (il est certainement homozygote pour l’allèle de la tare) épouse votre cousine Dhrifa, la saine d’esprit ; la probabilité de rencontre entre Cha3vane et Dhrifa est très grande (au contraire de votre hypothétique couple suédois/béninois) car il sont de la même famille et, peut être, vivant dans le même village. La probabilité que votre cousine Dhrifa porte l’allèle de la tare à l’état hétérozygote est d’au moins 1/2*1/2*1/2//1/2 = 1/16 (plus si l’un ou l’autre de vos grands-parents sont consanguins et encore plus s’ils sont tous deux consanguins). Supposons qu’elle le porte (une porteuse sains en quelque sorte, car la tare ne se manifeste qu’à l’état homozygote), la probabilité pour chacun des enfants du couple d’être taré (il récupère un allèle de son père et l’autre de sa mère) est égale à 50 % ! Une chance sur deux pour que chaque enfant porte la tare à l’état homozygote (A supposer que le locus est autosomique, ce qui est, généralement, le cas pour les maladies génétiques héréditaires). L’hérédité liée au sexe est un autre problème, et dans beaucoup de cas, elles sont transmises par les pères. Il y a des maladies génétiques qui ne sont pas héréditaires, celles qui touche la fonction reproductive (stérilité) et celles dites létales ne permettant pas à l’enfant de survivre ou de vivre jusqu’à l’âge de la reproduction. c’est le cas, par exemple de la trisomie 21 ; c’est une aberration chromosomique accidentelle survenant à la méïose, il s’agit un ovule (ou d’un spermatozoïde) qui n’aura pas subi une méïose normale, ayant gardé 2 exemplaires du choromsome 21 ; cet ovule une fois fécondé par un spermatozoïde normal (haploïde, bien sûr), donnera un oeuf à 47 chromosomes, dont 3 à la paire 21. La trisomie 21, maladie génétique par excellence, n’est pas héréditaire car le trisomique en peut se reproduire. La nature crée des obstacles et empêche les tares de se multiplier dans une espèce. Les effets de la consanguinité ne sont pas une vue de l’esprit, aussi bien chez les animaux que chez les plantes (allogames); et, pour cela, nous devons nous départir de tout laxisme à ce sujet ; les conséquences n’en seront que plus néfastes. Il m’a été donné d’observer un taux élevé de déficients chlorophylliens (la déficience chlorophyllienne est une mutation létale conduisant à la mort des plants homozygotes) à la suite de l’élevage de plants issus de graines récoltées dans certaines populations algériennes de pin d’’Alep de faible taille ; la taille est un facteur important dans la détermination du mode de reproduction d’une population, en ce sens que les individus n’ont pas un choix important de partenaires. Les populations de petite taille, où la base génétique est généralement restreinte, sont toujours celles où la consanguinité est plus élevée chez les arbres forestiers et où les caractéristiques morphologiques et physiologiques sont les moins performantes. Chez le pin maritime, une plantation expérimentale comparant la survie et la croissance de plants consanguins issus d’autofécondations forcées et de plants issus de croisements non-consanguins a montré la supériorité de ces derniers aussi bien pour le taux de survie que pour la croissance en plantation. Au bout de quelques années, les pins non-consanguins mesuraient, en moyenne, plus de 10 m de haut et ont survécu à 100% tandis que les sujets consanguins ayant survécu (moins de 40%) ne dépassaient pas un mètre de haut et étaient dépérissants.
    Amicalement,
     5
     3
      XY
      28 août 2018 - 18 h 00 min
      je ne sais pas si vous voulez me contredire ou me confirmer en disant que c’est une question de probabilité. En plus vous confondez la probabilité qu’ils se rencontrent et la probabilité qu’ils transmette l maladie.
      Je ne nie pas que la consanguinité est un facteur de risque. Je dis qu’il y a des biais. D’abord pour qu’elle puisse me convaincre il faut qu’elle soit comparative verticalement et horizontalement. Et des groupes témoins, comme pour vos pins. En Plus pour démontrer que c’est la consanguinité qui est la cause de la faiblesse du QI, il faut éliminer les autres causes tel l’hérédité. A supposer qu’un enfant soit taré, il faut éliminer les facteurs héréditaires et environnementaux.
      En clair, je pense que la faiblesse du QI est dû plus à des causes culturelles qui ont bouleversé notre société qu’à la consanguinité , même si celle-ci est un facteur de risque. Car ce bouleversement culturel est bien réel.
      Cordialement.
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        XX
        28 août 2018 - 21 h 40 min
        Vous avez dû mal me lire, je n’ai pas calculé la probabilité de rencontre de vos deux cousins , celle-ci est techniquement impossible à calculer. Ce que j’ai calculé est le coefficient de parenté entre les deux cousins qui est de 2*((1+Fi)/2)puissance(2+2+1) = 2(1/2)puissance 5 = (1/2)puissance 4 = 1/16 (en supposant que les grands-parents ne sont pas consanguins, donc Fi = 0) ; ce coefficient de parenté est égal, par ailleurs, au coefficient de consanguinité de leurs enfants, coefficient qui n’est pas la probabilité pour eux de transmettre la tare à leurs enfants. Celle-ci sera différente selon que la cousine, qui n’est pas malade, ait hérité ou pas de l’allèle ‘’tare’’ ; si elle l’a hérité, elle sera hétérozygote Tt (T, pour l’allèle normal et t, pour l’allèle de la tare, récessif) ; si elle ne l’a pas hérité, elle sera TT, le cousin étant tt, puisqu’il exprime la tare (homozygote). Dans le premier cas, la probabilité que chacun de leurs enfants soit atteint de la tare est de 0.5, dans le deuxième, elle sera égale à 0. Vous pouvez construire l’échiquier en considérant les deux génotypes en présence : tt (homozygote taré), pour le père et Tt (Hétérozygote porteuse) pour la mère ; dans ce cas, le père ne produira qu’un seul type d’allèle, l’allèle t, tandis que la mère en produira deux, T, pour moitié et t, pour moitié ; Ils auront donc deux types d’enfants, des enfants Tt, porteurs comme leur mère mais sains, et des enfants tt, tarés comme leurs père. E à chaque grossesse la probabilité est de 0.5 pour l’un ou l’autre de ce type d’enfants.
        Cordialement

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