D'aucuns croient avoir trouvé le graal lorsqu'ils invoquent l'argument randien à l'encontre du racisme scientifique : en substance, un individu intelligent est un individu intelligent, qu'il soit blanc ou noir de peau, et réciproquement, un individu idiot est un individu idiot, peu importe sa couleur de peau (ou sa morphologie). La subtilité échappant aux tenants de cet argument est que les QI raciaux sont des QI moyens, et que — n'en déplaise à la naïveté randienne de croire que le groupe ne compte pas vraiment, et que l'individu déterminé et responsable est le seul moteur de l'Histoire — ce sont ces QI moyens qui sont (conjointement avec ce que l'on pourrait appeler le Quotient de Créativité, et le Quotient de Vitalité) la force efficiente et qui détermineront le niveau de civilisation atteint par le peuple d'une race donnée.
La courbe de Gauss affichée par la distribution du QI afro-américain nous laisse certes entrevoir 800 000 afro-américains avec un QI supérieur à 115, cela ne change rien au fait que la moyenne du QI afro-américain se situe à 85... et que la moyenne a le dernier mot dans la détermination des moeurs et des accomplissements culturels d'une race donnée. « Les caucasiens ont, en moyenne, un degré de préférence temporelle significativement inférieur à celui des négroïdes », écrit le lucide Hans Hermann Hoppe ; et le non moins lucide Frederick Douglass de compléter (un siècle plus tôt) en ces termes : « La condition de notre race a été améliorée par notre situation en tant qu’esclaves, dans la mesure où elle nous a mis en contact avec un peuple supérieur, et nous a offert des facilités pour nous instruire. »
G.C.
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