1/ le multilat an'a jamais empéché les guerres
2/ SDN/ONU/CEDH sont en réaité les acteurs d'ne vaste opération de migration internationale
3/ patriotisme sans identité sans civilisation sans nation c'est l'échec assuré et la France en est déjà un exemple
4/ L'allemagne n'est plus Merkel donc regardant au delaà de la chancelière
5/ la Turquie et l'attitude d'Erdogan
6/ Si vis pacem para bellum
On accueille nos alliés comme ça? |
et surtout:
http://madame.lefigaro.fr/celebrites/au-royaume-uni-la-famille-royale-celebre-le-centenaire-de-larmist-111118-151705?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR2Mo85CKHkbZWuiwwDFxNcMRkYhwlUGC8-XtUTe3vXUw4VSUrptmWu2xNc#Echobox=1541954228
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11-Novembre : incident diplomatique sous l'Arc de Triomphe
Indignation. Le président serbe a eu du mal à digérer le fait que son homologue kosovar figure parmi les invités d’honneur du président Macron, contrairement à lui.
C’est un détail qui pèse lourd aux yeux d’Aleksandar Vučić. Au lendemain des commémorations du centenaire de l’armistice du 11 novembre 1914, qui se sont déroulées à Paris en présence de plus de 70 chefs d’État et de gouvernement étrangers, le président serbe a, une fois rentré au pays, fait part aux médias locaux de son amère déception. Pour cause, lors de la cérémonie d’hommage sur la tombe du Soldat inconnu, sous l’Arc de Triomphe, Aleksandar Vučić a eu la désagréable surprise de ne pas avoir été placé parmi les invités d’honneur d’Emmanuel Macron, mais dans une autre tribune, à l’inverse de son homologue kosovar, Hashim Thaçi, rapporte Le Huffington Post ce lundi 12 novembre.
« Qui a fait cette répartition ? »
Ce seul souci de placement n’aurait pas fait grand bruit si les deux pays d’ex-Yougoslavie n’étaient pas en de si mauvais termes, vingt ans après la guerre qui aura fait plus de 13 000 morts et une décennie après la proclamation d’indépendance du Kosovo. Le chef État kosovar, installé derrière Vladimir Poutine et Donald Trump, et Aleksandar Vučić, derrière le couple princier de Monaco, se sont donc fait face durant l’entièreté de la cérémonie. « Vous pouvez imaginer comment je me sentais », a déclaré le chef d’État serbe, expliquant avoir eu « la gorge serrée » tout au long de l’événement. « Il me semble que je regardais tout le temps le sol et l'écran, ne croyant pas ce que j'étais en train de voir devant moi, et sachant le sacrifice payé par le peuple serbe dans la Première Guerre mondiale », a-t-il également ajouté, en référence aux 130 000 soldats tombés au front.
« J'ai dû prendre la décision en un instant : faire quelque chose ou ne rien faire, rester sur place, se taire, pour pouvoir serrer la main de Trump, de Poutine » et « pour parler de la Serbie », a-t-il expliqué, estimant avoir pris « la bonne décision ». « Qui a fait cette répartition? Je ne sais vraiment pas. Faire un scandale là-bas [...] n'avait pas grand sens », a-t-il également lâché. Vexé, mais pas rancunier, le président serbe a promis un accueil « grandiose » à Emmanuel Macron, qui devrait se rendre en Serbie début décembre. « Je vais inviter des milliers de nos gens pour le saluer, lui montrer ce que c'est l'hospitalité serbe et comment nous voyons l'amitié », a-t-il annoncé.
Tensions diplomatiques
La dernière rencontre entre Aleksandar Vučić et son homologue kosovar, Hashim Thaçi, la semaine passée à Bruxelles, s’était déroulée dans une ambiance tendue, relate Le Huffington Post. La Serbie a condamné la décision de son voisin de relever de 10% ses droits de douane sur ses produits et s’est indignée du projet d’Hashim Thaçi de doter le pays d’une armée. Soutenue par la Russie et la Chine, Belgrade ne reconnaît quant à elle pas l’indépendance de son ancienne province, majoritairement peuplée d’Albanais et où vivent toujours environ 120 000 Serbes.
COMMENTAIRES
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Les collabos d'aujourd'hui font des grands coups de com en célébrant la résistance et le patriotisme d'hier ... et en même temps ... soutiennent toutes les invasions récentes ou actuelles (soutien aux musulmans en Bosnie, aux musulmans albanais au Kosovo et en République de Macédoine, aux musulmans en France!).