« Ils veulent qu’en quelques décennies, de notre propre gré, nous donnions notre pays à d’autres. Des étrangers venus d’autres coins du monde qui ne parlent pas notre langue, ne respectent pas notre culture, nos lois et nos modes de vie. Qui veulent remplacer les nôtres par les leurs. Ils veulent qu’à l’avenir, ce ne soit plus nous et nos descendants qui vivions ici, mais d’autres. Et il n’y a aucune exagération [dans mes propos], » a déclaré le Premier ministre hongrois, expliquant par la suite la situation de l’Ouest de l’Europe et le présentant comme un contre-exemple.
Comme l'a dit Hollande chez nous c'est déjà le cas et cela s'appelle la partition du pays.
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