Hygiène, santé, la nécessité de vivre avec des bactéries

L'hygiène et la santé dépendent de flores synbiotiques équilibrées et non d'une asepsie rigoureuse. La prolifération dominante de flores unibactériennes caractérise le défaut d'hygiène c'est à dire l'accumulation de déchets, la contamination par promiscuité, la manuportation ou la boisson d'eau souillée. 
En revanche l'asepsie est cruciale dès lors que des interventions humaines demandent pour soigner de franchir les barrières naturelles de l'organisme qui rappellons le sont des barrières bactériennes saprophytes plus que des barrières physiques ou chimiques.
Plus particulièrement il convient de distinguer l'hygiène microbienne communautaire de l'hygiène microbienne hospitalière, car il est pertinent de distinguer les conditions cycliques d'un environnement sans intervention de molécules antibiotiques qui favorisent les clones résistants, d'un environnement contraint où de nombreuses molécules sont administrées à des humains porteurs de bactéries.
L'hôpital est en effet une niche microbiennne ou on élève (en partie malgré nous mais en partie seulement...) des bactéries en programme de survie qui activent tous les mécanismes génétiques de résistance...
Les fermes d'élevage où les traitemenst antibiotiques sont fréquents, non discriminés et peu adaptés jouent le même rôle.

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