Des "professeurs" de médecine français ont réussi l'exploit de parler de la contraception sans parler du tabac, de l'obésité et sans citer le % d'accidents veineux ou artériels liés à la pilule.
On comprend devant cette omerta que les femmes consultent pour changer de moyens contraceptifs mais peut être pourraient elles aussi éviter ces "professeurs"?
http://www.lemonde.fr/idees/article/2013/01/15/les-contraceptifs-hormonaux-exigent-plus-de-prevention_1817188_3232.html
vendredi 1 février 2013
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