jeudi 11 juillet 2019

Algérie: déjà les juges

AMNISTIE OBLIGE !

En réponse à nos violentes protestations au maintien en poste à l’Université de Toulouse Mirail de Danièle-Djamila Amrane-Minne, terroriste F.L.N. notoire, poseuse de bombes meurtrières condamnée par la Justice française ainsi qu’a sa prochaine affection à Montpellier, Monsieur Jacques Chirac, Président de la République Française, nous fait adresser le courrier suivant :

« Soyez assurés que Monsieur Jacques Chirac, qui connaît cette situation, comprend l’émoi des rapatriés.

Toutefois, Madame Minne ayant été amnistiée, il n’est pas possible de la priver d’exercer, aujourd’hui, des activités universitaires. »

Une terroriste F.L.N., responsable des attentats à la bombe à Alger au MILK BAR le 30 septembre 1956 et à l’OTOMATIC le 26 janvier 1957, enseigne actuellement dans une université française, certainement pour la plus grande gloire de la France, l’Histoire de la décolonisation !

Si nous examinions en détail le passé héroïque de celle à laquelle le Ministère de l’Éducation Nationale confie la formation de notre studieuse jeunesses, nous apprendrions qu’au MILK BAR, fréquenté principalement par des mères de familles qui y amenaient leurs enfants, le trophée a été de 5 morts, 60 blessés dont trois mourants, 12 amputés d’un bras ou une jambe.

A l’OTOMATIC, le succès de Madame Djamila Amrane Minne fut moins important, on dénombra seulement 4 morts et 40 blessés, éventrés, mutilés à vie.

Mais la France sait être reconnaissante à de telles actions d’éclat. Il n’est pas possible de priver cette criminelle d’exercer des activités universitaires parce qu’elle est amnistiée !

Des patriotes tels que Roger DEGUELDRE, Jean BASTIEN-TIRY, Albert DOVECAR et Claude PIEGTS n’ont eu d’autre amnistie que douze balles dans la peau, JOUHAUD a passé de longs mois dans l’antichambre de la mort, SALAN et CHALLE et ZELLER n’ont jamais retrouvé leurs prestigieuses fonctions, mais Djamila-Danièle Amrane Minne développe chez nos jeunes l’hostilité envers leur patrie, parce qu’elle est amnistiée !

Sans plaisanter, Monsieur le Président de la République Française, quand on confie de telles responsabilités à une meurtrière ayant tant de morts sur la conscience, ce n’est plus une amnistie mais une réhabilitation, celle du crime !

Pourquoi a-t-on pendu Keitel et Goering, après le procès de Nuremberg ? On aurait dû, bien au contraire, leur confier l’éducation et l’avenir de nos enfants.

Peut-être auraient-ils eu la pudeur et la honte de faire silence sur leur passé et de ne pas, comme Djamila-Danièle Amrane Minne, constituer un club à la gloire des actions sanguinaires dont ils étaient responsables.

Parce que, non contente de se faire payer par l’Etat français pour désinformer, dénaturer l’Histoire de France, inverser les valeurs, cette illustre enseignante a fondé un club, très fréquenté, le club « Simone » en référence probable à une femme de lettres célèbre, féministe à l’extrême mais aussi porteuse d’idées subversives et de valises...

A l’heure actuelle, Djamila-Danièle exerce toujours ses activités séditieuses à l’Université de Toulouse Mirail et, pour avoir discuté avec quelques uns de ses élèves, je puis vous affirmer qu’elle n’a pas son pareil pour culpabiliser la France sur son passé colonial.

Tels sont les faits. La haine de la France et des Français se drape, de nos jours et avec la bénédiction de nos gouvernants, de respectabilité, de patriotisme et de liberté !

Allons, avouons que nous, Pieds-Noirs, sommes dans l’erreur. Les bourreaux, en Algérie, n’étaient pas ceux qui tenaient entre leurs doigts ces engins de mort qui allaient déchaîner, à leur commande, des cataclysmes, pas du tout.

Les bourreaux, c’étaient ces enfants qui, avec un sourire radieux, contemplaient leurs coupes débordantes de chantilly, c’étaient ces innocents de cinq ans, huit ans, vingt ans, dont les corps tendres, à l’instant suivant, devaient être laminés par les éclats en lames de rasoir des vitres et des glaces.

Mais Djamila-Danièle Amrane Minne, membre de l’Education Nationale Française, qui ne s’est jamais soucié de ces infirmes et ces morts, est amnistiée !
En réponse à la reconnaissance, par l’Assemblée Nationale, du génocide arménien, la Turquie menace de déposer plainte contre la France pour les massacres commis en Algérie.

Si cela pouvait enfin crever l’abcès, permettre au monde entier de découvrir le vrai visage de la barbarie qui s’est déchaînée contre notre pays, si tous les enfants éventrées, toutes les femmes égorgées, tous les soldats français émasculés, tous les Harkis mis à mort dans les tortures les plus atroces, n’avaient pas subi pour rien, dans le plus total mépris de la souffrance humaine, les innommables sévices infligés, alors oui, une telle initiative deviendrait utile à notre cause.

Ne serait-ce que pour remettre un peu de bon sens dans l’esprit de nos dirigeants qui marchent sur la tête et persistent, de façon suicidaire, à dérouler le tapis aux terroristes, aux assassins, aux criminels qui n’en finissent pas d’anéantir la France !

   Alain AVELIN
  CDFA-VERITAS

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