http://www.delsolavocats.fr/sdv/les-deputes-affinent-la-notion-dinteret-public-dans-le-contexte-des-donnees-de-sante/
http://www.indsante.fr/wa_files/rapport%20dexpertise%20juridique%20sur%20l%20evaluation%20de%20linteret%20public.pdf
L'état français s'est arrogé le monopole du bien public et de l'intérêt public. C'est jacobin, profondément faux et cela s'avère une voie certaine vers la servitude. la sécu monopole étaticosyndical détient une banque de données qui pourrait être utilement exploitée par des universités en recherche et des stsrt ups en business. Que nenni, les statistiques restent la propriété de la sécu alors qu'elles appartiennent aux français... Ces derniers ne peuvent même pas choisir de n'être pas répertoriés dedans...
C'est aussi l'occasion de rappeler que l'open big data et la disruption translationnelle sont les deux mamelles des GAFA. La programmation n'étant que la force de travail.
En Europe nous avons comme en Inde des travailleurs (désormais à distance en télétravail) mais pas de GAFA.
1/ notre étatisme envahissant a tué le big data notamment en santé et ce au motif de "protéger".
2/ nos universités sont profondément conventionnelles et donc opposées à la disruption et au translationnel car leur organisation figée par les statuts est à l'exact opposé de l'innovation.
Enfin il est toujours aussi désolant de constater que les syndicats de médecins sont les propres fossoyeurs de la profession.
En effet en acceptant conventionnelllemnt d'être les ordonnateurs de la dépense de soins et des avantages en nature les médecins français se sont tirés une balle dans le pied. Il faut bien sur coder la pathologie dans les arrêts de travail car il ne peut y avoir de redistribution d'avantages en nature sans controle total ce qui est possible avec la numérisation.
http://www.fmfpro.org/le-delit-statistique.html
https://www.lenouveleconomiste.fr/20-a-30-de-depenses-inutiles-sante-62439/
https://www.frenchweb.fr/ia-et-ethique-le-contresens-navrant-de-cedric-villani/321805
jeudi 15 février 2018
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