Summary
Jeremy Siegel wrote for the inaugural conference of the INET a paper on efficient market hypothesis and the crisis.
1/ The paper is centered on housing and the evalution of risks.
2/ the main purpose of the paper is to compare autoregulation of risk by the financial firms versus external regulation of risks by the regulators and the FED.
The fact that regulators and the FED were inefficient in the appreciation of risks in the years which preceded the present recession is obvious but oftenly ignored by pros external regulation.
On the other hand autoregulation by firms as A Greenspan advocated it was also inefficient. Siegel proposed an explanation for the failing of autoregulation as firms are no longer the property of partners. Top mamagement of financial firms earn substantial salaries and shares. So they expose less their wealth in risky or borderline operations. One of the roots of the moral hasard is this lessener exposure of the wealth management to risk and the second is the too big to fail theory which is at least partyally false as Lehman and Bear Stern and more than 100 other american banks showed us recently.
Il est reconnu que les banques, et d'une manière générale une grande partie du système financier était trop endetté avant la crise ce qui représentait un risque trop élevé, les dettes étant trop importantes par rapport aux fonds propres et aux actifs.
Dès que le prix de l'immobilier a chuté et que les défauts de paiement sont devenus significatifs les fimres financières ont du vendre des actifs pour couvrir leurs dettes mais c'était mission impossible. On connaît la suite même si dan sle cas de Lehman petit à petit on voit poindre des opérations frauduleuses en prime comme le repo105 et des véhicules spéciaux fantômes pour évacuer les dettes du bilan.
Tout d'abord est ce une preuve de l'impossibilité pour le marché d'être efficient? (Efficient Market Hypothesis)
J Siegel est très clair dans son analyse. A aucun moment l'EMH ne fait du marché le fixateur du prix exact Simplement le prix du marché est celui où pour d'excellentes raisons le prix doit se trouver à cet instant. Cela ne signifie ni que le prix n'est pas surévalué ni qu'il n'est pas sous évalué. Simplement les différentes forces à l'achat et à la vente à ce moment là ont trouvé ce point d'équilibre. Ainsi la surévaluation des prix de l'immobilier n'est en aucune manière une faillite des mécanismes d'un marché efficient. Cette surévaluation est plutôt la conséquence directe de taux longs bas et de mécanismes incitatifs gouvernementaux qui ont stimulé la demande pour une offre limitée par les plans d'occupation des sols et les capacités de construction. La hausse des prix s'est ainsi accélérée de manière extrêmement rapide depuis 2000.
Ensuite J Siegel analyse l'attitude des régulateurs et de la FED.
mardi 13 avril 2010
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