Et bien sur ces braves gens socialistes de "droite" compte sur la sécu pour financer les agapes sociétales. Alain Milon ne peut pas continuer longtemps cette imposture.
1/ Les sénateurs veulent vous faire prendre des risques
"Sur les missions des hôpitaux de proximité, la commission présidée par Alain Milon encadre également les choses. Le gouvernement avait accepté une proposition des députés de maintenir une activité de chirurgie dans certains de ces établissements labellisés, selon une dérogation basée sur une liste d’actes autorités. Pour les sénateurs, seuls les actes « programmés » doivent entrer dans ce champ."
2/ Le machin numérique obligatoire (nous sommes de gauche et étatistes invétérés) "Pour que cet outil soit « efficace », les sénateurs ont préféré l’ouverture de l’espace à « tous les usagers du système » (sauf opposition de la personne).
3/ H Maurey un centriste très à gauche veut des mesures coercitives sur l'installation des médecins.
Ce sont de vrais losers.
Milon:
"J’y suis en effet favorable pour une raison scientifique. Une femme qui n’a pas d’ovule peut avoir un enfant, grâce à la procréation médicalement assistée (PMA). Mais une femme ayant un problème d’utérus n’y aurait pas droit puisque la GPA est interdite. Il faut remédier à cette inégalité."
Et cette perle, le don un sénateur qui raisonne comme si tout le monde vivait d'argent public...
"Je suis tout à fait opposé à la marchandisation du corps. C’est pourquoi, je proposais que la GPA soit un don, que la démarche soit encadrée par un juge. Je souhaite aussi que les frais de grossesse, d’accouchement et les suites de couche soient pris en charge par la Sécurité sociale. Avec le groupe de travail, nous avions évalué entre 100 et 400 les «besoins» nationaux de GPA par an et avions estimé qu’entre 200 et 300 femmes se déclaraient prêtes à être donneuses."
L'esclavage d'état.
Un médecin de paille...
Et cette perle, le don un sénateur qui raisonne comme si tout le monde vivait d'argent public...
"Je suis tout à fait opposé à la marchandisation du corps. C’est pourquoi, je proposais que la GPA soit un don, que la démarche soit encadrée par un juge. Je souhaite aussi que les frais de grossesse, d’accouchement et les suites de couche soient pris en charge par la Sécurité sociale. Avec le groupe de travail, nous avions évalué entre 100 et 400 les «besoins» nationaux de GPA par an et avions estimé qu’entre 200 et 300 femmes se déclaraient prêtes à être donneuses."
L'esclavage d'état.
Un médecin de paille...
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