http://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0124653 |
H2 blockers signal no association with MI
Given our hypothesis about the mechanism by which PPIs confer the increased risk, H2Bs (N = 12,796), an alternative treatment for GERD, are not expected to be associated with MI. Fig 1Aconfirms a lack of association (AOR 0.93; 95% CI 0.86–1.02).
Red Flag in 2000... |
And for french speaking people this pearl of government analysis without subsequent action and on the contrary an extension to all french population of non copayment prescription and fees for 2016:
"3- Anti-ulcéreux Comparés à ceux d’autres pays, les niveaux de consommation et de remboursement de cette classe, en particulier ceux des inhibiteurs de la « pompe à proton », ont de quoi surprendre : 532 millions d’euros ont été remboursés par le régime général en 2012, ce qui est supérieur à ce qui est observé (rapporté au nombre d’habitants) dans la plupart des pays. On ne note pas de baisse sensible depuis 2008 si l’on tient compte de l’évolution des parts des génériques. Malgré le manque, une fois de plus, de données précises, nombre de prescriptions et de renouvellements (avec des consommations inexplicablement prolongées), semblent être en dehors des recommandations. Les indications de ces molécules sont en effet de trois ordres : (1) traitement du reflux gastro-œsophagien et de l’œsophagite qui peut le compliquer, (2) prévention et 15 traitement des lésions gastroduodénales dues aux anti-inflammatoires non-stéroïdiens chez les sujets à risque et (3) éradication d’helicobacter pylori et traitement des ulcères gastroduodénaux. L’épidémiologie des ces risques ou affections, en tenant compte des durées moyennes de traitement pour chacune d’elles, est loin de justifier le niveau de consommation observé en France."
"3- Anti-ulcéreux Comparés à ceux d’autres pays, les niveaux de consommation et de remboursement de cette classe, en particulier ceux des inhibiteurs de la « pompe à proton », ont de quoi surprendre : 532 millions d’euros ont été remboursés par le régime général en 2012, ce qui est supérieur à ce qui est observé (rapporté au nombre d’habitants) dans la plupart des pays. On ne note pas de baisse sensible depuis 2008 si l’on tient compte de l’évolution des parts des génériques. Malgré le manque, une fois de plus, de données précises, nombre de prescriptions et de renouvellements (avec des consommations inexplicablement prolongées), semblent être en dehors des recommandations. Les indications de ces molécules sont en effet de trois ordres : (1) traitement du reflux gastro-œsophagien et de l’œsophagite qui peut le compliquer, (2) prévention et 15 traitement des lésions gastroduodénales dues aux anti-inflammatoires non-stéroïdiens chez les sujets à risque et (3) éradication d’helicobacter pylori et traitement des ulcères gastroduodénaux. L’épidémiologie des ces risques ou affections, en tenant compte des durées moyennes de traitement pour chacune d’elles, est loin de justifier le niveau de consommation observé en France."
http://www.sante.gouv.fr/IMG/pdf/Rapport_Begaud_Costagliola.pdf
http://www.plosone.org/article/metrics/info:doi/10.1371/journal.pone.0124653
http://www.plosone.org/article/metrics/info:doi/10.1371/journal.pone.0124653
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