samedi 18 avril 2015

Socialisme d'état administré par une coalition à dominante alternative, UMps ou umPS

Tout les rapproche, addiction égale à la dette, keynésianisme permanent à grosses fournées d'emplois publics et de dépenses corruptrices, immigrationisme suicidaire, progressisme sociétal, écologisme soviétique, inefficacité à gérer, immense arrogance pour imposer, carriérisme invétéré.

Analysons la courbe de la dette elle est remarquablement constante.


La dépense publique a une structure presque identique entre les deux courants de ce socialisme étatique. 

En gros on ne freine jamais la DP ni l'embauche de fonctionnaires mais on sacrifie les chomeurs au vote des titulaires d'un CDI ou d'un statut. Enfin pas d'argent pour construire des prisons dont nous avons besoin mais 1,2 milliard d'euros pour les associations qui militent du coup pour ce socialisme étatique. Enfin  on arrose le social avec une bulle géante sur l'immigration subventionnée qui du regroupement familial au droit du sol attire toute l'Afrique. La naturalisation accélérée est aussi une source de voix indispensables mais ne constituera jamais la population qui paiera les retraites des autochtones vieillissant. Il eut fallu pour cela choisir une immigration d'entrepreneurs ou employable dans une économie développée.

Immigrationisme suicidaire. 

Suicidaire pour la France mais vital pour le PS. Alors pourquoi depuis l'UMP après le programme réaliste du RPR a-t-on laissé ce sujet au FN?
Par soumission à la dicttaure intellectuelle des intellectuels immigrationistes qui par différents discours (humanisme dévoyé, utilitarisme mensonger...) ont interdit tout débat sous peine de labellisation des auteurs comme fascistes racistes et autres qualificatifs gratifiants.

Progressisme sociétal. 

L'état n'a pas a se mêler ni mêler l'argent public à ce qui se passe dans votre lit, dans votre famille dans vos affaires privées, ni d'ailleurs au sujet de vos opinions... Et bien les politiciens de cette coalition ne sont pas de cet avis ils veulent tout décider et préférentiellement par l'interdiction. Mais sans jamais responsabiliser les citoyens, c'est gratuit c'est l'état qui paie. Cette réplique de Hollande est un sommet de son mépris des français et de leur culture économique. Mais elle est aussi un signe d'une perversité inouïe car ainsi FH s'adresse à ceux qui ne paient pas l’impôt c'est à dire la majorité d'entre eux. C'est bien à une déconstruction sociétale organisée et sans état d'âme que se livrent les gouvernements successifs. Tandis que les fonctions régaliennes sont abandonnées comme la justice.

Ecologisme soviétique


Les échecs très couteux de ce que l'on appelle les politiques écologiques sont une des causes de notre déclin. Mépris pour l'industrie, mauvaises allocation d'actifs due à la planification soviétique du Grenelle etc. Mais le plus grave est l'oukase d'interdiction du gaz de schiste et de réduction de notre potentiel nucléaire civil.

Inefficacité à gérer

L'ENArchie possède un talent inégalé pour parler et ne rien faire. C'est à dire administrer en ordre les papiers et les idées mais ne créer aucune valeur ajoutée. Une épicerie ouverte 24/24 dans une grande ville et très bien gérée par un immigré sans formation serait mise en faillite par un énarque dans un délai qui dépendrait de sa formation complémentaire mais pas de son rang à la sortie de l'école.

Immense arrogance pour imposer

Augmenter les impôts, edicter des lois et des règlements est le mode de fonctionnement de cette coalition jamais démenti depuis la fin de la deuxième guerre mondiale. Une habitude soviétique en quelque sorte. Hollande après Sarkozy après Chirac après Mitterrand ont appliqué à la lettre cette recette.

Carriérisme invétéré

Nos hommes politiques qui peuvent être des femmes font des carrières à vie. Outre leur nombre surdimensionné comme les échelons administratifs leurs avantages sont à l'image en miroir de la noblesse. De sang bleu il n'y a plus mais en revanche les avantages ont été amplifiés et pérennisés pour ceux qui acceptent de se tenir dans la connivence.

Et ainsi de suite.



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