"Lorsqu’on fait passer l’égalité avant la liberté, à la fin il n’y a plus ni liberté, ni égalité"
Milton Friedman
La France et d'autres pays en Europe s'enfoncent dans la récession car pour poursuivre le graal de l'égalité ils ont supprimé la liberté du travail, d'entreprendre, de prendre des risques, d'enseigner librement, de se soigner lbrement, de penser et d'agir librement.
Le trop plein d'état a précipité dans l'assitanat des millions de personnes pour qui les politiciens ont fait le choix d'une allocation de misère pour éviter un travail qu'ils jugent précaire.
Ces choix ayant par là même conduit à l'effondrement de la production et de la création de valeur alors que jamais le marché potentiel n'a été aussi grand et les possibilités d'innovation aussi gigantesques, les mêmes politiciens ont eu recours à deux instruments fatals: des prélèvements obligatoires exorbitants et un endettement public insoutenable.
Pendant ce temps la société globale se modifait profondément sous la poussée du numérique des réseaux et de l'innovation disruptive. C'est pourquoi nous vivons deux évènements à la fois, une crise de la dette et une mutation économique. Ils se présentent maintenat comme deux défis.
Pendant ce temps la société globale se modifait profondément sous la poussée du numérique des réseaux et de l'innovation disruptive. C'est pourquoi nous vivons deux évènements à la fois, une crise de la dette et une mutation économique. Ils se présentent maintenat comme deux défis.
Telle qu'elle est la société française ne peut affronter ces deux phénomènes sans s'effondrer. En revanche elle peut aussi au prix d'une sérieuse adaptation faire la transition vers un foctionnement économique et sociétal qui répond à ces deux défis.
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