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A blog for humans in the universe, to understand what we know now and to imagine what we don't know. To bridge the gap between the real world, its image in our brain and the ideas generated by.
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https://atlantico.fr/article/decryptage/fuite-de-laboratoire-covid-pieces-d-un-puzzle-mortel-the-european-conservative-tamas-orban
Dans cet article on peut lire:
"Il est clair que le COVID provient d'un laboratoire de virologie à Wuhan, et non d'un marché humide à quelques kilomètres de l'installation obscure."
C'est tout simplement un énorme mensonge.
le Sunday Times n'a démontré qu'une chose: l'accumulation de non preuves peut être vendu à la presse comme une somme de preuves. C'est la puissance de la désinformation.
En réalité la zoonose est l'hypothèse la plus vraisemblable.
https://www.legifrance.gouv.fr/loda/id/JORFTEXT000036936873?fbclid=IwAR3c8WHwfJn2huv_zhdTOiotA8BTY5xbqXurOoh9a0sZ1TFv08T0ox6djAQ
L'état de droit à la Française c'est à dire progressiste PROTÈGE LES ISLAMISTES.
EDM choisit à l'AN des mots agressifs et utilise des propos caricaturaux pour répondre aux députés et provoquer une réponse qui par surenchère se mette à la faute. En utilisant une ligne qui est inconnue le ministre fixe en fonction des circonstances cette ligne au besoin par des circulaires aux procureurs (https://www.justice.gouv.fr/sites/default/files/migrations/presse/art_pix/Annexe%201_Circulaire%20relative%20%C3%A0%20la%20mise%20en%20oeuvre%20de%20la%20justice%20de%20proximit%C3%A9.pdf). Les faits demeurent. 1/ La question est celle du renversement des responsabilités dans les troubles violents que subissent les Français. Combien de temps en réponse à des violences et des assassinats va-t-on paralyser les Français au motif que "toute violence est interdite"... 2/ Il est très dangereux de pointer du doigt la majorité des Francais, trop ruraux (au moins dans leurs origines), trop blancs, trop catholiques... Or c'est l'impression qu'EDM donne par ces réponses véhémentes.
Il semble même que ce soit plus grave, la gauche israélienne cherche à dissimuler sa responsabilité ou celle de ses membres. Il y a la naïveté idéologique de ceux et celles qui n'imaginaient pas qu'une telle attaque soit possible puisqu'ils étaient pacifistes, travaillaient avec des Palestiniens de Gaza et avait tissé des liens avec eux. Voilà pour les militants des kibbutzim et des mochav du Sud. En réalité il y a beaucoup plus grave. Le 7 octobre dans la mâtinée, déjà, le très gauchiste Élie Barnavi accusait B. Nétanyahou en avançant des arguments totalement faux.
"La musique sanglante de la victimisation des bourreaux
Il apparait que le renseignement intérieur Sud est en cause. Dans le cas où la responsabilité de Aharon Haliva serait une faute volontaire la question d'une trahison se poserait. Il y a aussi les éventuelles plaintes de soldats kidnappés ou de leur famille qui pourraient incrimer A. Haliva.
Le commandant du renseignement militaire de Tsahal, Aharon Haliva, s'exprime lors d'une conférence de l'Institut Gazit à Tel Aviv, le 5 novembre 2022. Photo de Tomer Neuberg/Flash90.
Immédiatement après le jour le plus noir de l’histoire d’Israël, un consensus s’est formé sur la nécessité d’attendre la fin de la guerre pour enquêter sur la manière dont le Hamas a pu envahir le pays, massacrer 1 200 innocents et s’en tirer avec 240 otages. Il y a beaucoup de choses à recommander pour ce poste.
Nous sommes en guerre. L’heure n’est pas à l’action, ni aux récriminations ni aux procès des généraux, des chefs de sécurité et des hommes politiques défaillants. Bon ou mauvais, vous partez en guerre avec l'armée et les dirigeants que vous avez. Les gens ont un travail à faire et notre travail consiste à les laisser faire le leur.
Bien que raisonnable à première vue, le fait de retarder le jugement pose un problème. Au moins dans certains cas, il semble clair que ceux dont les échecs ont permis l’attaque du Hamas ne sont pas capables de nous apporter la victoire.
Exemple concret : le chef de la direction du renseignement de l’armée israélienne, le major-général Aharon Haliva. Dans les semaines qui ont suivi le 7 octobre, de plus en plus d’informations ont été publiées sur les raisons pour lesquelles le Hamas a réussi à y parvenir. Toutes les informations pointent vers Haliva et ses proches subordonnés.
L’unité d’observateurs de terrain de la base de Nahal Oz y a subi les plus grandes pertes lors de l’assaut du Hamas. L’unité, composée de femmes soldats, est chargée de surveiller 24 heures sur 24 les images des caméras de sécurité le long de la frontière avec Gaza et d’alerter les forces sur le terrain et la communauté du renseignement de tout élément suspect.
L’Israélien qui a contribué à déjouer l’attaque terroriste de J’lem meurt de ses blessures
1 décembre 2023
1 décembre 2023
30 novembre 2023
Dix-sept observateurs ont été tués le 7 octobre. Sept ont été pris en otage. L'une d'elles, Naama Levy, a été filmée pieds nus, tirée du coffre d'un véhicule par les cheveux et poussée sur la banquette arrière. Ses mains étaient attachées derrière son dos. Le bas de son pantalon de survêtement était taché de sang, ce qui indiquait qu'elle avait été violemment violée.
Un observateur, Ori Megidish, a été secouru par Tsahal début novembre. Une autre, Noa Marciano, a été filmée dans une vidéo de prise d'otage, d'abord vivante, puis morte. Son corps a ensuite été récupéré par les forces de Tsahal.
Quelques jours après que leurs amis aient été massacrés, violés et kidnappés, les deux membres survivants de l'unité et un certain nombre d'anciens membres ont commencé à se manifester pour raconter leur histoire. Dans des entretiens avecCanal 11, deux femmes ont raconté que dans les mois précédant l'invasion, elles avaient prévenu que cela était en préparation. Les femmes ont vu les terroristes du Hamas s’entraîner pour prendre le contrôle des kibboutzim et des bases de Tsahal. Ils ont vu des terroristes s'entraîner à prendre des otages et à faire exploser des chars. Ils ont vu des commandants terroristes surveiller les exercices. Ils ont vu des espions sonder la clôture à la recherche de faiblesses. Ils ont tout vu et tout rapporté.
Plutôt que de leur remettre des médailles, des officiers supérieurs anonymes des services de renseignement leur ont ordonné de s'arrêter. Lorsqu'ils ont continué à rendre compte, les observateurs ont été avertis qu'ils seraient sanctionnés et expulsés de l'unité s'ils continuaient à faire part de leurs inquiétudes.
Les observateurs n’étaient pas les seuls à être réduits au silence. Rafael Hayun, un hacker civil qui surveille les réseaux ouverts de renseignement, a travaillé pour Tsahal pendant des années. L’armée israélienne a fourni à Hayun du matériel pour surveiller les communications internes du Hamas. Fin 2019, Hayun a commencé à rendre compte des exercices d’entraînement du Hamas impliquant l’invasion d’Israël, la pénétration de la barrière de sécurité en plusieurs points, la prise de contrôle de communautés, la commission de meurtres de masse et d’enlèvements. Au fil du temps, la formation est devenue plus intense et plus détaillée. Hayun a alerté en temps réel les unités avec lesquelles il travaillait des activités du Hamas.
Cinq mois avant l'assaut, ses collègues de Tsahal ont reçu l'ordre de saisir tout son équipement et de cesser de travailler avec lui. À peu près au même moment, l’unité de renseignement électromagnétique 8200 de la Direction du renseignement de Tsahal a également cessé de surveiller les communications du Hamas.
Hayun a déclaré que ses collègues militaires lui avaient dit que l’ordre de l’interrompre venait de « hauts dirigeants » et qu’ils n’avaient aucune explication sur cette décision. Hayun a déclaré aux journalistes qu'il était convaincu que s'il avait écouté dans les semaines précédant le 7 octobre, l'invasion aurait été évitée.
Hayun et les observateurs n’étaient pas les seuls à reconnaître ce que faisait le Hamas. CommeCanaux 11,12 etHaaretz tous rapportés, un sous-officier du renseignement tactique et un expert du Hamas au sein de l’unité 8200 avec 20 ans d’expérience ont commencé à fournir des rapports détaillés sur les préparatifs du Hamas pour l’invasion en mai 2022.
Dans une série de trois rapports, de plus en plus détaillés et urgents, au cours des mois suivants, le sous-officier a exposé en détail comment le Hamas préparait une vaste invasion d’Israël qui comprenait l’invasion des bases de Tsahal, des villes frontalières et des kibboutzim. Ses rapports couvraient tous les aspects de l’invasion qui a eu lieu le 7 octobre, y compris l’utilisation par le Hamas de parapentes, de camionnettes et de motos. Elle a détaillé les plans du Hamas visant à massacrer et kidnapper des civils et des soldats. Elle a averti que leur intention était de recourir à la provocation le long de la barrière de sécurité dans les semaines précédant l’opération pour habituer Tsahal aux brèches et ainsi endormir ses commandants et les amener à la complaisance. Elle a même obtenu le propre manuel de formation du Hamas pour cette opération. Elle a pu obtenir l’information devant le commandant de l’unité 8200 et un officier supérieur du Commandement Sud. Apparemment, ils n'ont rien fait.
Convaincu par les reportages de son subordonné, son commandant, un sous-officier avec 30 ans d’expérience, a annulé des vacances en famille parce qu’il avait appris qu’Haliva visiterait leur base. Il a attaqué Haliva et lui et son subordonné ont présenté ses rapports. Haliva a rejeté leurs avertissements et leurs informations détaillées comme étant du vent. Le Hamas, a-t-il insisté, ne faisait que faire semblant pour impressionner ses partisans. Il n’a communiqué son rapport ni au chef de l’agence de sécurité israélienne (Shin Bet), ni au chef d’état-major général de Tsahal.
Les sous-officiers n’étaient pas les seuls à voir ce qui se passait. CommeCanal 11 rapporté mardi, en mai 2023, l'officier du renseignement de la division de Gaza a créé une présentation de diapositives intitulée « Les murs de Jéricho », décrivant en détail comment le Hamas avait l'intention de faire tomber la barrière de sécurité et d'envahir Israël jusqu'à 60 points distincts, d'envahir les bases de la division et pénétrer dans les communautés civiles pour commettre des massacres et capturer des otages.
Dans un rapport de suivi datant du mois d'août, l'officier des renseignements a même expliqué que le Hamas avait l'intention de mettre en œuvre son plan soit le Shabbat, soit un jour férié où seul un petit groupe de soldats serait en service. Son travail a été jugé irréaliste et incompatible avec les véritables intentions du Hamas par les officiers supérieurs des services de renseignement du siège de Tel Aviv.
Le 7 octobre à 4 heures du matin, en raison d'avertissements concernant une augmentation des mouvements du Hamas près de la barrière frontalière, les hauts responsables de la sécurité, y compris le chef d'état-major général de Tsahal, le lieutenant général Herzi Halevy, le directeur du Shin Bet Ronen Bar, le commandant du Commandement Sud, le major général. Yaron Finkelman et l'assistant d'Haliva (Haliva dormait apparemment) ont discuté des mouvements et ont décidé de se recoucher. Bar a envoyé une petite équipe de combattants dans la zone frontalière, mais c'est tout. Le groupe n’a pas informé le commandant de la division de Gaza, le Premier ministre Benjamin Netanyahu ou le ministre de la Défense Yoav Gallant. Au lieu de cela, ils ont accepté de reprendre la parole à 8 heures du matin. Le Hamas a envahi à 6h30.
Depuis au moins 2022, Haliva et ses collègues de la direction du renseignement et des échelons supérieurs de Tsahal et du Shin Bet étaient convaincus que le Hamas était dissuadé. Le Hamas, ont-ils insisté à la fois dans des déclarations publiques et lors de séances d’information des services de renseignement auprès des dirigeants politiques, était intéressé à assurer la prospérité économique à Gaza. Dans un discours, Haliva a parlé avec dérision d’un dirigeant politique anonyme (entre les lignes, il était évident qu’il faisait référence à Netanyahu) qui avait remis en question son jugement.
« Lors d'une de ces réunions, je ne veux pas révéler où, lors d'une réunion à huis clos et classifiée, quelqu'un – je ne dirai pas qui – m'a dit : « Chef du renseignement, votre point de vue est aussi bon que le mien. » J'ai répondu. " Écoutez, je respecte beaucoup votre position et votre statut, ainsi que votre leadership. Mais votre récit n’est pas aussi bon que le mien, car derrière mon récit se trouvent des professionnels », a-t-il déclaré.
Ce que Haliva a omis de mentionner, c'est son habitude d'ignorer tout ce que les professionnels lui disaient et de ne pas partager leurs informations avec ses supérieurs.
Tout cela serait déjà assez grave. Mais la situation devient encore pire dans le cadre de l’insurrection menée depuis 10 mois par la gauche israélienne contre le gouvernement Netanyahu. Cette insurrection était dirigée par la famille de Haliva. Son ex-femme et mère de ses enfants, Shira Margalit, est mariée à Ilan Shiloah, un cadre publicitaire senior. Margalit et Shiloah sont à l’origine d’une grande partie des troubles politiques que connaît Israël depuis l’année dernière. La fille de Haliva a pris la parole lors des manifestations antigouvernementales. Le fil Twitter de son fils est rempli d’invectives anti-Netanyahu.
Haliva n’aurait apparemment pas partagé la montagne d’informations recueillies par ses services de renseignement professionnels sur les projets du Hamas. Mais il aurait averti à plusieurs reprises Netanyahu que les réformes juridiques de son gouvernement enhardissaient les ennemis d’Israël et augmentaient la probabilité d’une guerre.
En théorie, tout cela pourrait être mis de côté jusqu’à la fin de la guerre, sauf que les actions de Haliva depuis le 7 octobre indiquent qu’il est toujours informé par son faux récit sur le Hamas. A la veille de l’invasion terrestre, Netanyahu s’est adressé au public. Il a expliqué que cette guerre est la « deuxième guerre d’indépendance » d’Israël et qu’elle présente à Israël un « défi existentiel ». En d’autres termes, Israël n’a d’autre choix que de gagner. Netanyahu a défini la victoire comme le fait de sauver les otages, de détruire le Hamas en tant qu’entité militaire et politique et de l’empêcher, ainsi que tout autre groupe terroriste, de se soulever à nouveau à Gaza.
Trois jours plus tard, dans ses premières remarques publiques depuis le 7 octobre, Haliva a rejeté la description de Netanyahu de la guerre comme d’un conflit existentiel. S’adressant aux diplômés du cours de formation des officiers du renseignement, Haliva a insisté : « C’est une guerre que nous n’avons pas d’autre choix que de mener. Ce n’est pas une guerre existentielle.
La différence entre un conflit existentiel et un conflit non existentiel est évidente. Vous devez gagner une guerre pour l’existence de votre État. Vous pouvez vous battre jusqu'à égalité pour un conflit moindre. On ne peut tout simplement pas faire confiance à un chef du renseignement qui rejette publiquement la description d’une guerre par le gouvernement, dont le mauvais jugement professionnel a conduit à une catastrophe et qui a un passé d’insubordination méprisante pour agir conformément aux directives du gouvernement.
Le 7 octobre n’a pas été empêché parce que de nombreuses personnes occupant des postes à responsabilité ont laissé tomber le peuple d’Israël. Dans la plupart des cas, il est probablement raisonnable d’attendre la fin de la guerre pour s’en séparer.
Haliva cependant doit partir. Maintenant. https://www.jns.org/aharon-haliva-has-got-to-go-now/?fbclid=IwAR1c92labHFhEngeW2oaE7_s7i8gssA0eU8aRwMYsFzZS_KGp8aKNw0ZKDU
"Comment pouvez vous nous faire ça à nous qui sommes des militants de la paix?"
Cette otage a répondu ainsi à Yahya Sinwar qui est descendu rencontrer certains otages pendant les 50 jours de détention. Il aurait assuré les otages qu'il ne leur arriverait rien dans leur geôle...
Ainsi comme on pouvait le craindre dans les kibbutzim et les mochav du sud la gauche israélienne malgré les attentats et la pluie de roquettes s'attendait à être épargnée. Il faudra s'interroger sur la sécurité dans ces villes du sud et singulièrement sur les dispositifs d'auto-défense dans la mesure où la distance entre ces populations et la barrière de la frontière est inférieure à 10 kms.
Cet aveuglement pacifiste est simplement suicidaire. Rendons nous compte que vivre sans une auto-protection autonome à moins de 10 kms d'un territoire aux mains de terroristes islamistes est un risque énorme.
Dans tout état de cause l'armée ne peut pas être là en moins de temps que les terroristes massés derrière la frontière.
Les erreurs deu 7 octobre seront analysées mais un des fils de l'explication est évident.
Qui gagne quand des pacifistes posent, au fond d'un tunnel où ils sont détenus, de telles questions à des terroristes après 1400 morts, plus de 3000 blessés et 250 otages?
Qui profite de la diversion qu'a organisé pendnat des années la gauche israélienne dans le débat sur qui peut décider, la Knesset ou la Cour Suprême?
Qui peut douter de l'obsession inimaginable anti Nétanyahou de cette gauche pacifiste qui ne veut pas "voir ce qu'elle voit" et "croire ce qu'elle voit". Le prix est insupportablement élevé car cette gauche est imperméable à la réalité jusqu'au sacrifice où elle emporte Israël.
"Ironiquement, en même temps que Charles le Chauve tisse des relations diplomatiques avec l’Emir Omeyyade de Cordoue, Muhammad I (852-886), l’on accueille à Paris les reliques de trois des martyrs de Cordoue que deux moines de Saint-Germain ont rapportées de Cordoue. Des corps de martyrs, ennemis proclamés de l’islam, arrivent à Paris avec la Passion écrite par leur plus fervent apologue. Quel est l’impact de cet événement ? Voici l’occasion pour les moines parisiens de connaitre ce nouvel adversaire musulman, de répondre à leur guise à l’Islam. On pourrait penser, avec Jean Flori, que « ce bref et dramatique épisode eut un profond retentissement dans l’Occident chrétien2 ». Ou, comme dit J. Nelson, que « the interest of a Frankish king and would-be emperor, as well as the enterprise of a Frankish monk, ensured that the Cordoban martyrs found their place in the permanent liturgical memory of Latin Christendom. Those martyrs’ fates probably helped to establish prejudices of lasting significance to foreshadow the ending of attitudes that favored convivencia in Spain: and to shape the new and distinctly bloody-minded vengefulness of the Christian West thereafter3 ».
3Mais si nous regardons de près les textes, tels que les manuscrits de Saint-Germain les ont préservés, nous verrons que le retentissement fut fort limité. À Saint-Germain on ne s’intéressait guère à la polémique antimusulmane d’Euloge : les moines n’avaient quasiment rien à dire sur cette nouvelle menace musulmane. Ce qui les intéressait, c’était surtout d’avoir trouvé des martyrs qui pourraient accroître le prestige de leur sanctuaire : le fait que ces martyrs soient de millésime récent, le fait qu’ils soient morts sous ‘Abd al-Rahman II (et non pas sous Dioclétien) ne les intéressait point."
https://books.openedition.org/pur/136428?lang=fr
Création monétaire (https://www.banque-france.fr/index.php/fr/publications-et-statistiques/publications/laugmentation-de-la-masse-monetaire-pendant-la-crise-covid-analyse-et-implications) |
Bilan des banques centrales (https://www.banque-france.fr/index.php/fr/publications-et-statistiques/publications/laugmentation-de-la-masse-monetaire-pendant-la-crise-covid-analyse-et-implications) |
1/ les otages sont emprisonnés à côté des terroristes et sous leur surveillance directe. Géographiquement ils sont liés.
2/ les otages utiles sont ceux en bonne santé déplaçables et ne nécessitant pas de soins particuliers.
3/ les enfants et les femmes pourraient être les premiers libérés pour s'en débarrasser et passer pour des humanistes. Une ruse pour les idiots utiles et les complices au Moyen Orient.
4/ le Hamas a intérêt à faire durer la détention pour se réorganiser et sortir de Gaza. La soi disant pression diplomatique est une nouvelle ruse pour les benêts Européens et Américains. Les terroristes se moquent des occidentaux et parlent le double langage avec leurs alliés dont le Qatar.
5/ La pression militaire létale de Tsahal met le Hamas sous une pression de survie, lui interdisant de reconstituer ses forces, ses munitions et ses connaissances de la situation. C'est le facteur principal qui contraint le Hamas à négocier pour les otages.
Ceux qui tentent d'opposer les deux objectifs de Tsahal sont in fine des ennemis d'Israël. Ce sont les mêmes qui ont conseillé aux soldats Israéliens de ne pas entrer dans Gaza, les mêmes qui ont conseillé ensuite au soldats Israéliens de ne pas entrer dans les tunnels, ensuite les mêmes qui ont conseillé aux soldats Israéliens de ne pas toucher aux hôpitaux/centres de contrôle du Hamas, bref des défaitistes qui se battent pour une cause.
There is no free behaviour.
Your dangerous habit could last longer than you if you reproduce.
https://www.nature.com/articles/s41588-023-01563-z
Alors que l'usage récréatif du cannabis est dépénalisé dans de nombreux endroits et que l'usage médical est largement autorisé, on s'inquiète de plus en plus de l'augmentation des troubles liés à l'usage du cannabis (CanUD), qui sont associés à de nombreuses comorbidités médicales. Nous avons réalisé ici une étude d'association pangénomique sur les troubles liés à la consommation de cannabis dans le cadre du Million Veteran Program (MVP), suivie d'une méta-analyse portant sur 1 054 365 personnes (ncases = 64 314) issues de quatre grandes ascendances désignées par le panel de référence utilisé pour l'assignation (européenne n = 886 025, africaine n = 123 208, américaine mélangée n = 38 289 et asiatique orientale n = 6 843). Des méthodes spécifiques aux populations ont été appliquées pour calculer l'héritabilité basée sur les polymorphismes d'un seul nucléotide au sein de chaque ascendance. Une héritabilité statistiquement significative du CanUD basée sur un polymorphisme nucléotidique unique a été observée dans toutes les populations, sauf la plus petite (Asie de l'Est). Nous avons découvert des loci significatifs à l'échelle du génome propres à chaque ascendance : 22 chez les Européens, 2 chez les Africains et les Asiatiques de l'Est, et 1 chez les Américains d'ascendance mixte. Une analyse des relations de cause à effet fondée sur des données génétiques a révélé un effet possible de la responsabilité génétique du CanUD sur le risque de cancer du poumon, ce qui laisse entrevoir des conséquences médicales et psychiatriques potentielles imprévues pour la santé publique, qui nécessitent des études plus approfondies pour les dissocier d'autres facteurs de risque connus, tels que le tabagisme.
https://dailycaller.com/2021/09/27/new-york-times-lies-corporate-media-fake-news/?fbclid=IwAR2kUwzRhlsTuNRvrzoSS3GtT71bkAti3K4bc0XC_ehH53NfMNn4QDvx2lE
Pour une conscience juive et encore plus israélienne, les derniers événements qui ont frappé Israël sont vécus comme une rémanence de la Shoah ou plus précisément du nazisme. Dans la “”razzia” – modèle type des invasions islamiques- qu’ont faite plus de 1500 terroristes du Hamas et des Gazaouites attirés par la curée -, les Juifs, nourrissons, femmes, enfants, vieillards, familles entières ont été kidnappés, réduits à l’état de corps, coupés, tronçonnés, égorgés, les bébés devant leur mère, violés, dépouillés de leur personnes, réduits à l’état de choses, exterminés …
Et cela, de surcroît en Israël où ils étaient censés reconstruire pour toujours leur dignité perdue dans la Shoah, dignité plus que nationale : humaine. C’est bien cette prise de conscience qui caractérise le sentiment qui a envahi l’Occident démocratique – à l’encontre du reste de la planète, il faut le dire, et avant tout du monde musulman où l’appel à tuer les Juifs sur toutes les scènes a été dans de nombreux endroits décrété par des autorités religieuses officielles, comme la fatwa de la Faculté de théologie de l’Université de Tunis. La visite d’une kyrielle de chefs d’État occidentaux à Jérusalem ne s’explique que dans cette référence à l’image de l’homme qui s’est vue désécrée et qui rappelle la Shoah.
Le mot de nazisme n’est pas ici incongru, Il a d’ailleurs une justification historique car il a des antécédents. Le mufti de Jérusalem, l’inventeur du nationalisme palestinien, Amine El Husseini, était un officier de la Wehrmacht où il avait créé un bataillon de SS musulmans qui sévissait dans les Balkans pendant qu’il préparait dans la Palestine mandataire l’infrastructure de l’extermination des Juifs en Orient dès que la victoire de Rommel en Afrique du Nord serait acquise. Et, sans aller trop loin dans le passé, aujourd’hui même, Mahmoud Abbas, le chef de l’Autorité palestinienne, auteur d’une thèse de doctorat révisionniste (soutenue à Moscou !) ne s’est-il pas vu récemment retirer la décoration de la Mairie de Paris pour avoir tenu des propos révisionnistes ? L’enseignement de la haine est à l’œuvre dans toutes les écoles de l’UNWRA et de l’Autorité palestinienne. Le Hamas, de fait, a tous les comportements du nazisme : défilés militaires dans les hurlements de ses chefs, embrigadement guerrier des tous petits enfants, haine viscérale des Juifs, utilisation de sa propre population comme arme ou bouclier. Seul un trait diffère : le motif “religieux”. Le terroriste, pardon “le martyr”, tue des Juifs pour être tué en retour afin de gagner le paradis voluptueux que sa foi lui promet.
La réaction des Israéliens à cet abaissement de la dignité humaine des Juifs, la fureur qu’ils peuvent ressentir devant cette désolation, l’urgence d’une réplique, pourtant maîtrisée et en suspens depuis que ces atrocités ont été perpétrées, deviennent la condition sine qua non de la réparation de leur humanité. Ils ne peuvent simplement pas passer à l’ordre du jour (l’irréaliste paix macronienne, notamment) après 1400 morts, 5000 blessés, 220 kidnappés, sans compter plus de 5000 missiles sur Israël… N’oublions pas que Gaza est devenu la base terroriste que l’on sait après qu’Israël se soit retiré d’un territoire qui aurait pu devenir, disait-on, le Singapour du Moyen Orient et dont Israël avait, hélas, rationalisé l’existence. Il en fut de même pour la catastrophe née d’Oslo.
Mais l’humain reconnu dans le Juif au vu du massacre perpétré reste cependant toujours en question, notamment en Occident démocratique (car ailleurs les Juifs ne sont pas des “hommes”)… Un étrange calcul est en effet à l’œuvre dans la mentalité collective qui se décline sur les plateaux de télévision.
La réparation et la reconnaissance de l’humanité du Juif est très vite chassée par le souci humanitaire pour les victimes “collatérales” potentielles de l’entité ennemie, celle-là même qui a perpétré le massacre. Elle est décrétée par principe innocente et irresponsable.
On peut se demander en effet si les bénéficiaires du souci humanitaire sont tous innocents ? Après chaque attentat, dans les villes palestiniennes et pas seulement à Gaza, les foules célèbrent les meurtres des Juifs en distribuant bonbons et gâteaux dans les youyous et les feux d’artifice : des Juifs sont tués et leurs assassins gagnent le paradis, effectivement.
Ce souci humanitaire n’est pourtant pas négligé par Israël : l’armée israélienne continue toujours avant toute attaque d’avertir par tracts ou par SMS les populations civiles, en les appelant à quitter les lieux tandis que chaque acte militaire doit être autorisé par un conseiller juridique… Peu d’armées au monde se comportent en fonction d’un tel protocole surtout quand dans l’entité ennemie il est difficile de distinguer les “civils” des “militaires”.
Le souci humanitaire pour les victimes collatérales de l’agresseur quand l’agressé rend les coups reçus efface dans le discours journalistique la reconnaissance de l’humanité du Juif devenu responsable du drame “humanitaire”. La compassion pour le Juif ne dure qu’un seul instant. Elle est par ailleurs l’objet d’une manipulation majeure de l’agresseur. Le Hamas sait bien se jouer de ce syndrome propre à l’Occident en simulant systématiquement sur son propre corps la cruauté des juifs – le QG du Hamas fût-il installé, au su de tout le monde, dans le sous-sol du plus grand hôpital de la ville ! Il est prêt à condamner sa propre population (“nous aimons la mort plus que la vie” est sa morale) pour obtenir la réaction indignée (et trouble) de l’Occident démocratique envers Israël. L’humanitaire met en cause l’enjeu de l’humain…
La pire des choses sur le plan moral serait qu’Israël, pour ne pas perdre son humanité, cède à cet argument qui le vouerait à la paralysie. Il opterait pour une humanité victimaire, qui ne lui serait reconnue que lorsqu’il est dans l’état de victime. Dans cette perspective, la demande de Biden de faire précéder l’attaque programmée de Gaza par Israël par l’envoi d’une aide humanitaire a une portée tactique peut-être fatale qui n’est pas à l’avantage d’Israël. Elle sape la volonté de vaincre et de réagir à l’attaque innommable au nom d’une morale dont seul l’État d’Israël doit répondre dans le concert des nations. Les États-Unis dans leurs actions contre Daech ont-ils montré un tel comportement ? Où a-t-on vu des puissances étatiques se comporter ainsi ? Nourrir son ennemi ? “Messieurs les Anglais tirez les premiers!” La défaite assurée…
L’humanitarisme n’est invoqué que lorsqu’il est question de l’autodéfense d’Israël attaqué par ses ennemis. En vue de le paralyser Il ne se réveille que pour les victimes à venir des Israéliens avant même que ceux-ci ne répondent au coup reçu. Un tel souci ne se manifeste, il faut le souligner à nouveau, que pour le seul État d’Israël d’entre tous les États du monde engagés dans des opérations militaires.
Le syndrome moral ici analysé trouve son expression formelle dans une étrange théorie forgée dans le cadre du Conseil de sécurité, sous la forme d’un principe, uniquement applicable à Israël comme la pratique du Conseil le montre depuis longtemps. C’est la doctrine de la “proportionnalité”. Pour qu’Israël exerce son droit à la légitime défense de façon morale et “humanitaire”, en somme, il devrait agir en “proportionnant” son action à celle de son ennemi. C’est bien sûr un jeu de faux semblants car il n’y a aucun critère possible. Déjà, le seul fait que l’ennemi l’attaque dépasse tout critère possible sauf si l’on estime en silence et sans l’avouer que l’ennemi à des raisons de le frapper. C’est parce que l’on juge en fait que les Palestiniens sont par essence innocents qu’on estime que les Juifs sont par principe en dette envers eux. Comme l’avance l’essayiste britannique, Douglas Murray, faudrait-il qu’Israël se livre à des scènes de razzia, d’enlèvements et de meurtres, à la prise de 250 otages, à l’invasion de Gaza pour rester dans les limites de cette éthique défaillante de la “proportionnalité” ? D’autant que le crime commis par le Hamas contre la personne juive n’est pas ici un simple crime : il a porté atteinte à la condition humaine de l’être juif par sa cruauté et la désécration de la personne juive. La “proportionnalité” veut dire prosaïquement, à l’opposé de son sens obvie, que les Juifs et les “Gazaouites” ne pèsent pas le même poids, aux yeux de ceux qui les jugent. Elle renvoie dos à dos victimes et agresseurs.
Extrait d’un article de Vincent Gautronneau, envoyé spécial à Ramla,publié dans “Le parisien” le 19 octobre 2023 https://www.leparisien.fr/international/israel/des-mains-des-morceaux-de-crane-siderant-et-effarant-dans-la-morgue-geante-de-la-base-de-shura-19-10-2023-IZ5SC
“Des mains, des morceaux de crâne” : sidérant et effarant, dans la morgue géante de la base de Shura
“Au total, nous avons reçu près de 1 300 corps, explique le rabbin Iam Wiesberg d’une voix pleine d’une colère froide emmagasinée au fil des atrocités découvertes depuis maintenant 13 jours. Plus de 800 personnes ont déjà pu être identifiées, mais il reste encore beaucoup de travail”. Une mission rendue très compliquée par “les horreurs commises par le Hamas”, affirme le religieux. “On n’avait jamais vu ça depuis les nazis. Ils n’ont pas seulement cherché à tuer. Ils ont cherché à souiller, à humilier. Des soldats, des femmes, des enfants ont été massacrés, mutilés…”
Des sévices qui ont rendu de nombreux corps méconnaissables. “On a des femmes qui n’ont plus de visage, qui ont été abattues de plusieurs balles dans la tête uniquement pour les dévisager, détaille la docteur Shir, dentiste de l’armée affectée à la base de Shura depuis l’attaque du Hamas. La première chose pour identifier un corps, c’est le visage ou le corps grâce aux empreintes digitales, et ensuite les dents”. La jeune femme contient ses larmes puis reprend : “Mais comment voulez-vous faire quand ces barbares ont volontairement mutilé les corps, coupé des mains et tiré tellement de fois dans les visages qu’il n’en reste plus rien ?”
Reste alors l’ADN comme seul recours. Sous une tente blanche éclairée par un immense projecteur, des médecins tentent d’en extraire. Depuis le massacre du 7 octobre, les familles de disparus sont venues donner leur empreinte génétique afin qu’elle soit comparée à celles prélevées sur les défunts gardés à Shura. “Cela prend du temps, mais toutes les mères pourront retrouver leur fils ou leur fille”, assène Sherry, qui a lâché temporairement son travail d’architecte à Jérusalem pour apporter son aide sur la base de Shura. Tous les jours, elle nettoie des femmes tuées le 7 octobre et dont il ne reste parfois qu’une manucure, symbole pour Sherry “de l’horreur de ce qu’il s’est passé. Ils n’ont pas tué des soldats, ils ont tué de jolies filles qui s’étaient faites belles pour aller faire la fête…” “Ce n’était pas la guerre”, insiste Iam Wiesberg. “C’était de la barbarie”. Et le rabbin de lister d’une voix puissante, les atrocités qui lui et ses équipes ont découvert depuis près de deux semaines. C’est cette “femme enceinte à qui les terroristes ont ouvert le ventre pour sortir son fœtus”. C’est cette “mère de famille dont ils ont brûlé le corps et dont il ne restait presque rien. Quand on l’a passé au scanner, on a découvert qu’elle tenait son bébé contre elle”. Ce sont “toutes ces femmes retrouvées nues, victimes de viols avant d’être exécutées” ou ces hommes “dont on a coupé les mains, les pieds, les organes génitaux”. “On doit anéantir le Hamas, tonne Iam Wiesberg alors qu’un avion de chasse survole la base de Shura. Il est essentiel de documenter tous ces crimes atroces pour que les gens comprennent ce que ces gens ont subi. Les terroristes peuvent dire ce qu’ils veulent, les horreurs elles sont là, sous nos yeux”. Pour appuyer son propos, le rabbin ouvre deux conteneurs. Immédiatement, une violente odeur de mort s’en dégage. Elle prend aux tripes et se niche au fond de la gorge pour ne plus en sortir. Même les soldats qui supportent cela depuis près de deux semaines recouvrent leur visage d’un masque pour tenter d’atténuer la puanteur. Dans une des boîtes de métal blanc, des dizaines de corps sont alignées dans des linceuls immaculés. Tous demeurent pour le moment anonymes. Dans l’autre conteneur, les sacs mortuaires sont plus petits. Il s’agit de morceaux de corps. “Des mains, des bras, des morceaux de crâne”, liste le rabbin. 73 de ces fragments ont encore été ramenés dans la nuit de mercredi à la base de Shura par l’organisation Zaka, qui sillonne depuis 13 jours les lieux des massacres pour les récupérer.
© Shmuel Trigano
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