"Compte tenu de la paupérisation extrême notamment de la médecine générale et de l'envahissement bureaucratique de la sécurité sociale dans les cabinets médicaux, les départs se multiplient. Ils vont s'accélérer au fur et à mesure que les médecins vont observer le reste après charge impots et autres prélèvements divers.
Prenons un exemple. Si l'état dans une pure folie décidait de fixer un prix maximum appelé tarif de la sécurité capillaire pour les coupes de cheveux et qu'il fixe ce tarif à 23 €, Il n'y aurait plus de coiffeur pour femme, les coiffeurs pour hommes seraient rares et nous ferions la queue ou prendrions rendez-vous six mois à l'avance.
C'est ce qui est entrain de se produire en médecine."
"Un sondage commande par la federation hospitalière qui conclut qu il n y a pas assez d hopitaux et trop de liberté laisse aux libéraux. C'est surprenant. Tout ceci est de la propagande et n a aucune valeur sérieuse."
"Toute liberté doit être régulée", a déclaré devant la presse le rapporteur Hervé Maurey, sénateur UDI-UC de l'Eure, soulignant qu'en dehors des médecins, aucun autre professionnel de santé de statut libéral (infirmières, pharmaciens, kinés, sages-femmes, etc.) ne peut s'installer où il veut.
Ce sénateur a des connaissances assez limitées en matière de liberté et de contrat.
Dès la fin du monopole il me semble que plus rien ne s'opposera à cette "régulation".
Par ailleurs est ce un argument "républicain" d'alléguer l'asservissement imposé à d'autres professions pour justifier ses propres turpitudes?
Il est temps que la liberté de choisir un assureur maladie et le contrat qui va avec soit reconnue à chaque français.
Ce sénateur a des connaissances assez limitées en matière de liberté et de contrat.
Dès la fin du monopole il me semble que plus rien ne s'opposera à cette "régulation".
Par ailleurs est ce un argument "républicain" d'alléguer l'asservissement imposé à d'autres professions pour justifier ses propres turpitudes?
Il est temps que la liberté de choisir un assureur maladie et le contrat qui va avec soit reconnue à chaque français.
"Pour résumer, il n'y a pas de déserts médicaux, il y a une désorganisation de la médecine qui est principalement le fait du monopole de l'assurance-maladie car cet immense appareil bureaucratique n'est pas capable d'inventer, de susciter, de développer, de récompenser les nouveaux modèles d'organisation médicale adaptés au monde d'aujourd'hui.
En réalité il ne fait que de la redistribution avec beaucoup de dette. La concurrence lui fera du bien, je le répète depuis longtemps la concurrence est la seule solution pour que notre système de soins évolue vers de meilleurs résultats à la fois médicaux et économiques."
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