mardi 27 août 2013

Entorse de cheville: Quelles évidences pour traiter?


Les entorses de cheville sont tellement fréquentes que plusieurs fois par année la question de leur traitement est posée à des praticiens aussi divers que des kinésithérapeutes des médecins généralistes ou bien des chirurgiens.
En réalité, comme pour beaucoup de processus pathologiques très communs la compréhension de l'entorse et des mécanismes de réparation tandis nous ligamentaire est assez médiocre.
Un des points importants est bien évidemment de comprendre que le processus inflammatoire qui suit le traumatisme est nécessaire à la cicatrisation des lésions. Il ne s'agit pas d'une d'un événement fâcheux et désagréable mais il s'agit d'abord d'un processus de réparation automatique de l'organisme. La douleur n'est là que pour interdire les mouvements qui vont nuire à la cicatrisation des lésions. La douleur est un interdit avant d'être une souffrance.
C'est pourquoi l'immobilisation ou le fait de ne pas appuyer sur la cheville et la réponse adaptée. Les antalgiques les anti-inflammatoires sont la réponse inadaptée celle qui consiste à supprimer la douleur et l'inflammation au motif qu'elle serait nuisible.

Dans ce contexte je conseille à tous ceux qui ont une entorse de cheville se récente ou semi récente de lire les deux articles suivants :
tout d'abord le l'excellent article du New York Times sur ce qu'il faut faire après une entorse de cheville
http://well.blogs.nytimes.com/2013/07/22/after-a-sprain-dont-just-walk-it-off/?nl=health&emc=edit_hh_20130723&_r=3
et deuxièmement les recommandations récentes
http://www.nata.org/sites/default/files/ankle-sprains.pdf

Is the issue of chemical weapons in Syria the Obama's MDW that Bush found in Irak?

http://www.nytimes.com/2013/08/27/world/middleeast/syria-assad.html?nl=todaysheadlines&emc=edit_th_20130827&_r=0
 
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