vendredi 5 octobre 2018

La France: un pays soviétisé où la Cour des Comptes gère le système de soins

"L'objectif national de dépenses d'assurance maladie (Ondam), qui sert à freiner leur augmentation naturelle, a encore été respecté en 2017 malgré "un important dépassement de l'enveloppe" prévue pour les soins de ville (hors hôpital), compensé par le "ralentissement imprévu de l'activité hospitalière", responsable d'"un quasi-doublement du déficit des hôpitaux publics"."
Dans ce pays c'est la CC qui prétend gérer le système de soins... 




Ce qui va se passer c'est que plus on parle d'efforts moins de médecins s'installent CQFD.
L'économie d emarché marche dans les deux sens. Lisez la Grève d'Ayn Rand.

Et le gouvernement macronien après ses prédécesseurs hollandais, sarkosyste chiraquien et mitterandien crie victoire... Le fossé entre recettes (pourtant très très élevées) et dépenses continuent à creuser la tombe de l'économie française. Dans un premier temps il serait naturel que ceux qui ne cotisent pas ou n'ont jamais cotisé soient assurés pour l'essentiel des maladies graves et non pour les cures thermales, les avantages en nature,  les transports et toute la bobologie...

Tiens mais non? Mélenchon pris en flagrant délit de mensensonge? Le % d'Inflation inférieur au % d'augmentation du salaire moyen?





Donc les recettes de la sécu ont augmenté...




Toujours cette incapacité de l'énarchie à tenir un budget



Explication: l'activité hospitalière ralentit. L'activité ambulatoire augmente. Mais aevc cette enveloppe ambulatoire les besoins ne sont pas couverts. Il faut une concurrence de marché pour mieux allouer les ressources.




https://www.ccomptes.fr/system/files/2018-10/20181004-rapport-securite-sociale-2018_0.pdf








Gérard Mourou Nobel Prize from the Ecole Polytechnique

https://www.latribune.fr/opinions/tribunes/avec-le-laser-on-peut-reduire-la-radioactivite-d-un-million-d-annees-a-30-minutes-gerard-mourou-prix-nobel-de-physique-792642.html

I recommend the video where he described with ingenuity the invention of the stretcher-compressor during a ski session in Bristol mountain (Rochester).
It is not only anecdotical but also a true recognition that this invention came from the non-dominant hemisphere.

Another point about Mourou is its present project about lasers in the transmutation of nuclear wastes.

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Extreme Light : A new Paradigm for Science and Society

Mardi 28 janvier 2014 14:30 - Duree : 1 heure
Lieu : Amphithéâtre du LPSC - 53 rue des Martyrs - Grenoble
Orateur : Gérard MOUROU (IZEST Director Professor Haut College Ecole Polytechnique Palaiseau)
In their pursuit of new particles, High Energy Particle physicists utilise large scale accelerators, such as the LHC at CERN, to produce high energy particles which they collide together to investigate their structure and also to give a glimpse into the nature of all matter. Data from these experiments are helping to place the jigsaw pieces of theories for a comprehensive understanding of our universe – and they drive the new revolutions in our understanding of it. Laser technology has developed to the point where we can now contemplate using lasers as tools of a new paradigm that is complementary to the current use of conventional high energy accelerators. Laser-driven particle accelerators utilise plasma (fully ionised gas) to accelerate particles to high energies in distances that are 10,000 times shorter than using conventional accelerator technology. This makes them very compact and, in principle, enables the maximum particle energy to be substantially increased. For instance it could be possible to accelerate particles to the PeV energies relevant to astrophysics. This possibility offers astrophysicists the prospect of producing and studying high energy particles on earth that are usually only found in space. The possibility of accelerating particles using ultra-compact accelerators also has important potential societal applications, notably in medicine with isotope production and particle radiotherapy, as well as in nuclear waste imaging and treatment where isotope longevity can be reduced from a few hundred thousand years to in some cases minutes.
Contact : flivet@simap.grenoble-inp.fr"

Millas et les psychotropes

https://www.20minutes.fr/justice/2349007-20181005-accident-millas-expertises-pointent-responsabilite-conductrice

jeudi 4 octobre 2018

Risk of cancer and CT scans

https://reader.elsevier.com/reader/sd/pii/S0160412017311121?token=CA6C3D1EA55EFF287AABC5AB809C2892926B3BE239E7C5444EE7FD0DCDC1A7726AAD527062E573C5A3F6AA72230BDE94


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5. Conclusions

In a population of pregnant women in Wuhan, China, prenatal TCS exposure was associated with elevated third-trimester estimated fetal weight and 2 year-old weight z-score in female infants, and the early and middle stage of pregnancy may be the window of vulnerability. Besides, no significant associations were observed between maternal urinary TCS concentrations and fetal and early-childhood growth. Exposure to this highly prevalent chemical in early life may contribute to other potential adverse health impacts and thus further in-depth investigation is warranted."


It is clear that we are able to prove a significant statistical link between Xrays from CT scans and cancers even a tiny relationship. 

mercredi 3 octobre 2018

Genomics and wealth

http://www.nber.org/papers/w24642

Variations autour d'un monstre bureaucratique: les CHU à la française



J'ai lu ce pamphlet de G Vallancien et je m'attendais à des solutions réelles, lisons le ensemble.



La mort des Centres Hospitalo-universitaires
Publié le 20 juillet 2018 Rédigé par Guy Vallancien



Voilà que l’annonce des décisions prises à la suite de la consultation sur le sujet brûlant de l’adaptation du système de santé est reportée de deux mois. Bon ou mauvais présage, peu importe, rien n’est semble-t-il bouclé, raison de plus pour enfoncer le clou : les centre Hospitalo-universitaires, aux personnels à bout de souffle et le plus souvent maintenus à flot par des enveloppes généreusement distribuées qui masquent leur déficit, ne répondent plus à leurs missions et les carrières universitaires ne font plus recettes. Est-ce grave docteur ?

Les ordonnance Debré inaugurèrent les Centres Hospitalo Universitaires, les CHUs, en 1958. Soixante ans plus tard, en raison de l’évolution accélérée du monde, des sciences et des techniques nous devons repenser l’intégralité de leurs missions et de leur organisation autour de quelques grands principes.
Une nécessaire mutation

Ces institutions Hospitalo-centrées qui ont fait leur temps, doivent muer vers le concept de Centre Médico Universitaire, le CMU englobant jusqu’aux maisons et centres de santé qui se multiplient dans les territoires, ainsi que le secteur médicosocial. Ils devront le faire en collaboration avec les établissements privés et non pas contre eux comme c’est le cas actuellement. L’évolution de la médecine vers des technique de moins en moins invasives et de plus en plus efficaces génère un moindre besoin en lits d’hospitalisation.

La télémédecine couvre peu à peu le territoire national, les moyens de transports rapides se développent. Alors, qu’attend-on ? Je mesure les freins, les oppositions qui se manifesteront, notamment de la part du milieu universitaire dont la créativité n’est pas la marque de fabrique ! J’entends déjà les voix de certains syndicats hospitalier hurlant devant le ministère de la santé à la grande braderie de la sacro-sainte Fonction Publique Hospitalière.
La question de l’autonomie de gestion

Pour que ces CMU vivent et se développent, un seul impératif : leur donner l’autonomie de gestion comme dans tout entreprise, publique y compris, pour mobiliser les ressources humaines. Entendre la totalité des personnels dans l’explication de la vision de leur métier, non pas en pleurant sur ce qui ne va pas, on le sait trop bien, mais en proposant de nouvelles organisations pour chaque métier mieux adapté aux évolutions du monde est essentiel au succès du changement.

Ce qui se fera à Brest ne sera pas forcément ce qui sera proposé à Strasbourg. Un questionnaire par email envoyé personnellement à chacun des employés toutes catégories confondues dans chaque CHU fera émerger des initiatives insoupçonnées.

Sans l’aide et donc sans la confiance des personnels nulle transformation ne pourra aboutir.

Le futur Centre Médico Universitaire sera composé de trois unités mitoyennes et collaboratives :


1 – Unité de soins

Un bloc interventionnel réunissant les salles de chirurgie, d’endoscopie et de radiologie interventionnelle en unités dites hybrides sera priviligié. Une réanimation et quelques lits pour les longs séjours obligeant à l’alitement. Le reste sera délégué à des professionnels hôteliers pour accueillir les familles ou garder 24h à 48h un malade avant son retour à domicile.

A 70 euros par jour la chambre au lieu de 800 en milieu hospitalier, la décision s’impose. Une évaluation en temps réel de pratiques médicales, infirmières et administratives sera mise ne route en utilisant les données récupérées dans les bases des organismes financeurs comme l’assurance maladie (CNAM) ainsi que dans celle de l’agence technique des informations hospitalière (ATIH). Les départements médicaux recevront tous les trois mois l’état de leur production et de ses résultats en termes de quantité et surtout de pertinence et de qualité afin de piloter le système au plus du réel.


2 – Unité de recherche

Dans les locaux même du nouveau CMU des surfaces seront dévolues aux industriels pour qu’ils puissent collaborer au quotidien le plus étroitement possible avec les équipes soignantes. La France accumule un retard considérable dans sa participation aux protocoles innovants, en raison de lenteurs administratives inadmissibles et de lourdeurs procédurales insupportables favorisées par un principe de précaution délétère qui fige les initiatives.

Or qui ne risque rien n’invente rien ! Les start-ups et les entreprises plus avancées dans leur développement y seront intégrées sans état d’âme. Le bashing qui entoure l’industrie médicale, frein majeur au développement des produits Made in France, doit être remplacé par un Welcome Industry. Question de regroupement des forces pour lutter contre les maladies, question de cofinancements de la recherche et de la mise en service de ses applications pratiques.


3 – Unité d’enseignement

En finir avec les amphis bondés de première année dans lesquels les étudiants lancent des cocottes en papier. L’ouverture de véritable Ecoles de Santé, adaptées aux compétences pratiques plus qu’au savoir purement académique s’impose elle aussi. De petits groupes d’étudiants travailleront dans ces écoles qui seront créées notamment dans les quartiers pour former des aides-soignants, des infirmiers, des assistants médicaux et des médecins.

Les enseignants seront hospitaliers et libéraux en particulier dans les maisons et centres de santé qui seront universitarisés. La médecine générale notamment dont on aura de plus en plus besoin, doit être privilégiée alors que certaines spécialités devront subir une sévère cure d’amaigrissement dès la rentrée 2018. Que seront deviendront la plupart des radiologues et des biologistes dans 12 ans ? Des chômeurs pointant à Pôle Emplois.


Revisiter les plans de carrières

Les Centre Médico Universitaires utiliseront l’expérience des médecins publics et libéraux qui prennent leur retraite pour venir à la demande former les jeunes carabins Les plans de carrières seront révisés selon un schéma souple : le praticien Médico Universitaire pourra choisir d’assurer plus de recherche, ou plus d’enseignement ou de soins selon les besoins de la structure et ses souhaits personnels, dans des contrats de 5 ans renouvelables. Rester praticien hospitalier à vie selon le mode actuel n’est plus acceptable, ni motivant.

Les médecins du CMU pourront aussi exercer dans de structures privées selon le même statut barèmes et vice et versa afin d’harmoniser progressivement les modes et niveaux de revenus. La direction du CMU sera collégiale, les responsables des trois missions, soins, enseignement, recherche ayant une voix prépondérante dans leur domaine d’expertise. Un directeur général assurera la mise place de la politique décidée par le triumvirat.

Un seul CMU par région regroupera les quelques établissements qui existent actuellement en collaboration avec de spécificités propres à chacun plutôt qu’en concurrence financièrement coûteuse. Pour L’Assistance Publique Hôpitaux de Paris une segmentation géographique nord, est, sud, ouest s’impose.

Enfin, pour espérer gagner le pari de la transformation qu’appelle de ses vœux le Président Macron, les CMU useront du statut d’Établissement de santé privé d’intérêt collectif (ESPIC) qui leur donnera les marges de manœuvre d’une politique régionale publique avec des outils privés afin d’agir au mieux auprès des populations.


Les recettes de Guy Vallancien sont datées et ne correspondent même pas à la médecine d'aujourd'hui.

"2 – Unité de recherche

Dans les locaux même du nouveau CMU des surfaces seront dévolues aux industriels pour qu’ils puissent collaborer au quotidien le plus étroitement possible avec les équipes soignantes. La France accumule un retard considérable dans sa participation aux protocoles innovants, en raison de lenteurs administratives inadmissibles et de lourdeurs procédurales insupportables favorisées par un principe de précaution délétère qui fige les initiatives.

Or qui ne risque rien n’invente rien ! Les start-ups et les entreprises plus avancées dans leur développement y seront intégrées sans état d’âme. Le bashing qui entoure l’industrie médicale, frein majeur au développement des produits Made in France, doit être remplacé par un Welcome Industry. Question de regroupement des forces pour lutter contre les maladies, question de cofinancements de la recherche et de la mise en service de ses applications pratiques."


L'hôpital quelque soit son statut est une entreprise qui peut:
-avoir des filiales
-créer des start up avec d'autres investisseurs 
-faire de la R&D.
Le reste est planification et nous savons que les planificateurs sont stupides ou ont des conflits d'intérêts majeurs. Comme ceux qui ont créé et entretenu depuis 44 ans le numerus clausus.

"Les ordonnance Debré inaugurèrent les Centres Hospitalo Universitaires, les CHUs, en 1958. Soixante ans plus tard, en raison de l’évolution accélérée du monde, des sciences et des techniques nous devons repenser l’intégralité de leurs missions et de leur organisation autour de quelques grands principes.
Une nécessaire mutation"

C'est aller un peu vite dans l'analyse rétrospective et c'est en réalité faux.
1/ Je peux en juger ayant vécu les deux systèmes, celui des temps partiel patrons universitaires qui n'avaient pas choisi le temps plein, et les autres.
2/ Les temps partiels étaient extrêmemment productifs
Pourquoi?
3/ on les a poussé dehors car tout simplement l'état veut des fonctionnaires temps plein et un mur de Berlin (il existalit à l'époque) entre les établissements publics et les établissments privés. Une pure folie dont la facture arrive aujourd'hui sous la forme de la pénurie.
La réforme Debré est une étatisation de la médecine universitaire... C'est tout.
Les CHU ont étté d'une stérilité totale pour la médecine française. Vérifions par les PN.

1965 Monod, Jacob et Lwoff Institut Pasteur
1980 Dausset Hôpitaux de Paris et CRTS ses travaux datent essentiellement d'avant la réforme Debré
2008 Montagnié et Barré Sinoussi Institut Pasteur
2011 Hoffmann CNRS

Ainsi cette étatisation de la médecine universitaire a handicappé deux institutions: les écoles de médecine et les hôpitaux.

"doivent muer vers le concept de Centre Médico Universitaire"
Euh, vraiment ?
Le nom importe peu et chaque hôpital totalement autonome est libre de décider de son nom. Enfin devrait être libre... Ainsi TOUS les centres hospitaliers (je veux dire des centre de soins où les patienst sont hospitalisés) peuvent (ou devaient pouvoir) passer un contrat avec l'école de médecine pour devenir un "teaching hospital"... Ceci dit cela serait extraordinaire pour les étidiants en médecine dont certains craignent qu'ils ne trouvent pas de lieu de stage avec la disparition du numerus clausus. C'est fou ce que les pires solutions avérées ont d'avocats en France. Que les établissements non publics soient les seuls à pour former des médecins est une aberration qui nous coûte trop cher.

"Enfin, pour espérer gagner le pari de la transformation qu’appelle de ses vœux le Président Macron, les CMU useront du statut d’Établissement de santé privé d’intérêt collectif (ESPIC) qui leur donnera les marges de manœuvre d’une politique régionale publique avec des outils privés afin d’agir au mieux auprès des populations."

Toutes ces modifications d estatut sont illusoires tant que le monopole d el'assurance maladie est en place. Avec un seul payeur quelque soit le statut le payeur fait ce qu'il veut. Dès que le monopole aura vécu les vraies transformations concernant l'efficience des hôpitaux commenceront. Ceci est très bien illustré par l'évolution des Universität Klinik en Allemagne depuis les réformes Haartz.

Conclusion.
Les CHU actuels sont la forme type d'une aberration chromosomique que l'on arrive pas à traiter. Il faut d'urgence ouvrir l'enseignement et la recherche à TOUS les établissements dans une saine concurrence. Ensuite il est naturel que les actuels hôpitaux dits universitaires contractents comme tous les autres établissements avec l'école de médecine d ela région afin de certifier ou pas leurs différents services en cservice d'enseignement. La recherche sera libérée selon les mêmes modalités. Les nominations de médecin et de chirurgien des hôpitaux son des CDI mais les autres fonctions sont des contrats à durée déterminée DONT les articulations avec les contrat CDI doivent être précises puisque l'employeur n'est plus le même et que chacun sait qu'on ne peut faire trois temps plein en même temps. Dans cette perspective nécessaire mais improbable sous le présent président ce que l'on appelle la "crise" des CHU va perdurer et les déficits s'accumuler sans bénéfice pour les patients et la recherche médicale française. Les CHU doivent maigrir beaucoup et leur pole recherche doit s'orienter très vite vers l'innovation grace à des partenariats avec des start up mondiales.


https://www.lepoint.fr/invites-du-point/vallancien-reponse-aux-medecins-critiques-du-plan-ma-sante-2022--15-10-2018-2263073_420.php#xtor=CS2-238 

Melatonin: a hormone which links you to the natural cycles of light and sun

10.1016/j.neuchi.2015.03.002


http://www.biologyofhumanaging.com/Topics/mela_nt3.htm
10.1177/1178646918802282



What is the level of blood melatonin during the day?




In recent decades, it was commonly accepted that the physiological levels of melatonin in the blood represent the levels throughout the body. The blood values range from several pg/ml during the day to more than 50 pg/ml at its nighttime peak.


What foods are rich in melatonin?




Here are eight foods rich in sleep-inducing ingredients that can naturally help you get more z's.
  • FISH. Fish is rich in tryptophan, an amino acid that raises serotonin levels that are needed to make melatonin. ...
  • DAIRY. ...
  • CHERRIES. ...
  • BANANAS. ...
  • NUTS. ...
  • HUMMUS. ...
  • DARK LEAFY GREENS. ...
  • TEA.



mardi 2 octobre 2018

About former communist states in east Europa

https://wszystkoconajwazniejsze.pl/prof-pascal-salin-lindependance-des-pays-de-leurope-de-lest/

Vietnam miracle: a benchmark look to former French colonies



https://www.weforum.org/agenda/2018/09/how-vietnam-became-an-economic-miracle
They work hard in a country where the value is human-based. All these efforts are undermined by the communist government but they are now far more open to a market economy than other Marxists including some western countries.
For those who doubt this assertion:
May I recall that France public expenses are 57-55% of GDP? 



Public expenses ruin a country























The other former French colony is strikingly different
They are governed by a military junta which stole the added value and the extraordinary "manne" of commodities. More this military junta was unable to fight Islamists and plunged the country in a nightmare of two decades.






The public expense is a collectivist one and Algerians remain poor with several public services like healthcare in distress.











lundi 1 octobre 2018

Merkel and Zuckerberg pact about AI and immigration in Europe

https://www.bloomberg.com/news/articles/2015-09-26/merkel-confronts-facebook-s-zuckerberg-over-policing-hate-posts

Second medical advice

A mandatory tool for better quality in healthcare.
Barcelona



Critical appraisal of the latest ESC guidelines for atheroma

https://www.ejves.com/article/S1078-5884(17)30454-9/pdf

Genomics Changes after deep political mutation: from communism to capitalism

https://www.nature.com/articles/s41562-018-0332-5

"Twin and adoption studies, however, suggest that individual differences in SES are substantially genetic in origin, with heritability estimates from twin studies of about 50%, meaning that around half of the individual differences in SES can be explained by inherited differences in an individual’s DNA sequence."

1. Lykken, D. T., Bouchard, T. J. Jr., McGue, M. & Tellegen, A. Te Minnesota Twin Family Registry: some initial findings. Acta Genet. Med. Gemellol. 39, 35–70 (1990). 
2. Heath, A. C. et al. Education policy and the heritability of educational attainment. Nature 314, 734–736 (1985). 
3. Branigan, A. R., Mccallum, K. J. & Freese, J. Variation in the heritability of educational attainment: an international meta-analysis. Soc. Forces 92, 109–140 (2013). 
4. Rietveld, C. A. et al. GWAS of 126,559 individuals identifies genetic variants associated with educational attainment. Science 340, 1467–1471 (2013). 
5. Tambs, K., Sundet, J. M., Magnus, P. & Berg, K. Genetic and environmental contributions to the covariance between occupational status, educational attainment, and IQ: a study of twins. Behav. Genet. 19, 209–222 (1989).

Telemedicine: it is not so simple but it must follow simple rules

Rural area: a true indication of scheduled appointments with telemedicine because of the time saved to come and return.
Dense urban area: a relative indication because of physician shortage so don't believe in after-hours service. This will come with a price the public insurance will not accept.
Chronic disease and renewal of a prescription: a true indication because we will save time, money and secure the renewal process which is since a long time not completely secure. But a TM appointment must be scheduled early before the deadline in order that the physician could check different points.
Pediatric cases: a true indication to avoid unnecessary transportation of a child or an infant to the physician office or to bypass it to go to the ER.
Old people at home or in institutions: a true indication to avoid transportation or to orient the patient directly to ER.
In order to guarantee the efficiency and the development of telemedicine, the telemedicine consultation must be paid pro rata temporis with a limit for the reimbursement, coded by the physician and paid at the time of the call through an automatic process.




Zone rurale: une véritable indication des rendez-vous programmés avec la télémédecine en raison du temps gagné pour venir et revenir.
Zone urbaine dense: une indication relative en raison de la pénurie de médecins, alors ne croyez pas au service après les heures normales. Cela viendra avec un prix que l'assurance publique n'acceptera pas.
Maladie chronique et renouvellement de la prescription: une véritable indication car nous économiserons du temps, de l'argent et sécuriserons le processus de renouvellement qui n'est pas complètement sécurisé depuis longtemps. Mais un rendez-vous TM doit être programmé tôt avant la date limite afin que le médecin puisse vérifier différents points.
Cas pédiatriques: une véritable indication pour éviter le transport inutile d'un enfant ou d'un nourrisson au cabinet médical ou pour le contourner afin de se rendre au service des urgences.
Les personnes âgées à la maison ou en institution: une véritable indication pour éviter le transport ou pour orienter le patient directement vers le RE.
Afin de garantir l'efficacité et le développement de la télémédecine, la consultation de télémédecine doit être payée au prorata temporis avec une limite de remboursement, codée par le médecin et payée au moment de l'appel par un processus automatique.


https://www.amdtelemedicine.com/telemedicine-resources/TelemedicinePartnerships.htm?utm_source=Webinar+Invite+%231_TelemedicinePartnership&utm_campaign=Webinar+Invite%3A+TelemedPartnerships2018&utm_medium=email

https://www.youtube.com/watch?v=kYNXlGo8ztc&feature=youtu.be
 
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