mercredi 29 décembre 2021

Fluvoxamine: another repurposed -ine or an actual drug against Covid-19?

https://www.wsj.com/articles/is-fluvoxamine-the-covid-miracle-drug-we-have-been-waiting-for-oral-pill-cheap-hospitalization-11640726605?mod=e2fb&fbclid=IwAR0JlfW4TNaYeRH8YpoQWr5aNsZhvpeN68Uws0MWQEwf_DJ0hY9PF41QT6g

mardi 28 décembre 2021

Delta et Omicron sans transition

De Delta à Omicron sans transition


Les infections devraient augmenter : nous verrons environ autant d'infections au cours des 2-3 prochains mois que nous en avons eu jusqu'à présent dans l'ensemble de la pandémie.

Moins d'infections sont susceptibles d'être détectées : comme une fraction plus importante des cas sera asymptomatique (environ 90 % contre 40 % des variantes précédentes), moins de personnes chercheront à se faire tester et ne verront donc pas leurs infections enregistrées.

Dans l'ensemble, les hospitalisations et les décès seront inférieurs aux augmentations précédentes : les taux d'infection-hospitalisation et de mortalité par infection d'Omicron sont bien inférieurs à ceux d'autres variantes comme delta.

En quoi omicron est-il différent ? Elle est plus transmissible, mais beaucoup plus susceptible d'être asymptomatique et beaucoup moins susceptible d'entraîner une hospitalisation ou la mort.

Modifications du modèle IHME : nous suivons désormais chaque variante individuellement et prenons en compte la diminution de l'immunité au fil du temps.

Interventions politiques qui aideront : augmentation de l'utilisation du masque et augmentation du nombre de personnes recevant une troisième dose de vaccin six mois après la deuxième. Suivez les admissions à l'hôpital plutôt que les cas signalés, car de nombreux cas seront bénins.

Comment se protéger en tant qu'individu :

Obtenez une troisième dose du vaccin si vous en avez déjà deux, ou obtenez une première dose si vous ne l'avez pas encore fait.

Portez un masque un FFP2, bien ajusté.

Si vous êtes à haut risque en raison de votre âge ou de comorbidités, évitez les rassemblements à l'intérieur.

La gravité de l'omicron est encore incertaine: les retards dans la communication des données autour de la nouvelle année signifient que nous n'aurons probablement pas de clarté avant quelques semaines.

Touring Greece

 

L'île de Zakynthos, en Grèce, est un lieu absolument magnifique

L'autre histoire de l'assassinat de l'Amiral Darlan

"24 décembre 1942 : l’assassinat de l’amiral Darlan ou comment fut changé le cours de l’Histoire
Winston Churchill déclara à propos de sa mort : « Qu’il repose en paix, et soyons tous reconnaissants de n’avoir pas subi les épreuves qui le brisèrent ».
C’est au Palais d’été à Alger que l’attentat se produisit. L’amiral fut assassiné de deux balles dans le dos par un certain Fernand Bonnier de la Chapelle. Contrairement au plan initial, ce dernier n’avait pu s’enfuir, retenu par l’officier d’ordonnance de l’amiral, le capitaine de frégate Hourcade.
Lors de son interrogatoire, Bonnier fit la déclaration suivante : « J’affirme avoir tué l’amiral Darlan après en avoir référé à l’abbé Cordier sous la forme d’une confession. C’est M. Cordier qui m’a remis les plans des bureaux du cabinet de l’amiral, et c’est par lui que j’ai pu me procurer le pistolet et les cartouches qui m’ont servi à exécuter la mission qui m’était assignée. Lorsque je me suis engagé dans les corps francs, j’ai recruté de ma propre initiative, parmi les gradés et les hommes de troupe, des hommes de main dont M. d’Astier aurait pu avoir besoin. Je sais que messieurs Cordier et d’Astier ont rencontré récemment le comte de Paris… »
Malheureusement, les commissaires Garidacci et Esquerré n’ont pas cru opportun de dévoiler ceci dans l’immédiat au vu du caractère explosif des informations. On lui fit donc signé une deuxième déposition dans laquelle Bonnier déclara simplement « j’ai agi seul ».
Bonnier fut exécuté le 26 décembre au terme d’un procès pour le moins expéditif.
Le complot gaulliste
L’assassinat de l’amiral n’était pas le fait d’un tireur isolé contrairement à ce que l’on a pu dire lors du procès. On sait aujourd’hui qu’il résulte d’un complot échafaudé par ce que l’on appela le « Groupe des Cinq » comprenant plusieurs anciens cagoulards et monarchistes, Jean Rigault, Henri d’Astier de la Vigerie, Jacques Lemaigre-Dubreuil, Jacques Tarbé de Saint-Hardouin et le général Van Hecke.
La crainte de ce comité était de voir l’amiral Darlan représenter auprès des alliés une alternative au général De Gaulle. Pour couronner le tout, l’amiral, dauphin du Maréchal Pétain, risquait de replacer la France de Vichy dans le camp allié ce qui aurait considérablement marginalisé le général à Londres…
Rappelons le contexte : le 8 novembre, les troupes anglo-américaines venaient de débarquer au Maroc et en Algérie, accessoirement sans en avoir averti le chef de la « France Libre », ce qui fera dire à de Gaulle « Ah, les salauds ! j’espère que les gens de Vichy vont les foutre à la mer ». En visite à Alger pour se rendre au chevet de son fils malade, l’amiral Darlan, en apprenant l’événement, ordonna la cessation des combats que venait d’entamer l’armée française pour repousser le débarquement.
A Vichy, le Maréchal Pétain fut contraint de désavouer publiquement Darlan dans le but d’éviter l’invasion de la zone sud en donnant le change aux occupants Allemands. Cependant, l’amiral Auphan, secrétaire d’Etat à la marine de Vichy, était détenteur d’un code secret qui n’avait pas été livré aux Allemands lors de l’armistice. Ce code allait permettre à Vichy de « doubler » chaque message qui désavouait Darlan d’un message codé annulant le premier et renouvelant la confiance du Maréchal à l’amiral. Le premier message, envoyé le 10 disait ceci : « Ne tenez pas compte des messages officiels envoyés sous la contrainte. Vous avez tous pouvoir ».
Ces précautions n’empêchèrent pas les Allemands d’envahir la zone libre dès le lendemain. Cependant, un acte constitutionnel du 10 février 1941 prévoyait qu’en cas d’empêchement, les pouvoirs conférés au Maréchal Pétain étaient confiés à l’amiral Darlan.
C’est donc fort logiquement que l’amiral assuma tous les pouvoirs au nom du Maréchal Pétain et négocia le retour de la France dans la guerre aux côtés des Américains.
Le 20 novembre, Darlan proclama : « Notre devoir reste le même : libérer la métropole, et, j’ajouterai, libérer le Maréchal, incarnation vivante de la France impériale ».
Déjà le 14 novembre le général Eisenhower écrivait : « En Afrique du Nord, le nom du maréchal Pétain représente quelque chose de surnaturel Du plus haut au plus bas, chacun cherche à créer l’impression que l’ombre du maréchal domine toutes ses actions et même sa vie. Les chefs militaires et navals comme les gouverneurs civils admettent qu’un seul homme a le droit de représenter Pétain, et cet homme c’est Darlan. Même le général Giraud reconnait clairement cette considération suprême et il a modifié en conséquence ses propres ambitions et intentions ».
Cette nouvelle situation inquiéta fort logiquement de Gaulle, surtout après s’être entendu dire par Churchill « Après tout, êtes-vous la France ? Il pourrait y avoir d’autres parties de la France qui pourraient être appelées, à la suite des événements, à prendre une place plus importante qu’aujourd’hui ».
Avec la complicité du comte de Paris
Les hommes appartenant au Groupe des Cinq ainsi que l’abbé Cordier n’étaient pas nécessairement gaullistes, monarchistes pour beaucoup d’entre eux serait plus juste. Darlan, s’il succédait à Pétain représenterait ainsi une entrave à la possibilité d’une restauration sous l’égide du comte de Paris de la monarchie en France. Encore fallait-il que ce dernier accepte de se prêter au jeu. C’est pourquoi le général Van Hecke envoya l’abbé Cordier sortir le comte de Paris de son exil marocain pour le conduire à Alger. Le prince ne se fit pas prier.
La ville blanche reçut au même moment la visite du propre frère d’Henri d’Astier, François, émissaire du général De Gaulle. C’est lors de ces rencontres entre le prétendant au trône, l’agent de liaison du général et le Groupe des Cinq que fut prise la terrible décision d’éliminer l’amiral Darlan.
Henri d’Astier déclara des années plus tard : « De Gaulle s’est servi de l’un pour abattre l’autre ». Le comte de Paris faisant éliminer Darlan mais trop visible dans l’action se neutralisant du même coup.
A Londres, le jour même, De Gaulle rédigea un télégramme à l’attention du général Giraud : « L’attentat d’Alger est un indice et un avertissement. Un indice de l’exaspération dans laquelle la tragédie française a jeté l’esprit et l’âme des Français. Un avertissement quant aux conséquences de toute nature qu’entraine nécessairement l’absence d’une autorité nationale au milieu de la plus grande crise de notre Histoire. Il est, plus que jamais nécessaire que cette autorité s’établisse. Je vous propose mon général, de me rencontrer au plus tôt afin d’étudier les moyens qui permettraient de grouper, sous un pouvoir central provisoire, toutes les forces françaises. »
En 1945, la chambre de révision de la cour d’appel d’Alger annulait le jugement de la cour martiale condamnant Bonnier de La Chapelle : « Il apparaît certain que l’acte ayant entraîné la condamnation de Bonnier de La Chapelle a bien été accompli dans l’intérêt de la libération de la France. »
Vingt ans après les faits, l’abbé Cordier confiera à d’Astier : « Tu vois, si nous n’avions pas tué Darlan, de Gaulle serait resté un petit général en exil ». D’Astier de son côté déclara « Avec le recul du temps, je considère que le meurtre de Darlan fut une grave erreur ».
L'amiral Darlan a été inhumé au cimetière militaire de Mers el-Kébir, près d'Oran, en Algérie, où sont enterrés les marins qui ont péri en 1940 dans l'attaque de la flotte française. En avril 2005, il a été constaté que sa tombe ainsi que de nombreuses tombes de marins français et l'ossuaire du cimetière militaire avaient été profanées."

http://mdame.unblog.fr/2008/03/16/290/ 

Nous en sommes où de ces questions d'inhumation de nos soldats en Algérie? Les accords d'Évian ont ils concré un alinéa à cette question mémorielle et éthique?

Les assoc, un terreau fertile, on distribue des subventions il pousse des voix.

 Quelques assoc d'Ile de France

* Association « SAFE » (qui installe des distributeurs de seringues et de kits d’inhalation dans la rue pour les toxicomanes) : 350 000 euros entre 2017 et 2021 (inclus)
* Collectif « MU » (vient en aide aux « mineurs isolés ») : 40 000 euros (novembre 2020)
* Association « Banlieues actives » (portée par le rappeur Rost, artiste anti-police/justice/France) : 40 000 euros initialement prévus en juillet 2021 mais bloqués (en attente) grâce à un amendement RN.
* Association « Revivre » (portant un projet de festival pour des Syriens exilés en France) : 10 000 euros (novembre 2021)
* Association « Ulysse et Ernest » (qui organise des ateliers de danse et de chorégraphie pour les détenus de la prison du Val d’Oise) : 8 000 euros (novembre 2021)
* Association « Funky Ladies Crew » (qui organise des évènements vantant les parcours des migrants) : 8 000 euros (novembre 2021)
* Association « La concordance des temps » (idem, qui organise des événements vantant les parcours des migrants) : 8 000 euros (novembre 2021)
* Association « Compagnie manque pas d’air » (idem, qui organise des évènements vantant les parcours des migrants) : 8 000 euros (novembre 2021)
* 50 000 à destination d’un festival musical dont la programmation sera assurée par un rappeur membre-fondateur du groupe de rap anti-police « Assassin » (novembre 2021)
* Association « La Maison des potes » (filiale de SOS Racisme, dont les activités sont ouvertement politisées à l’extrême-gauche et faisant la promotion de l’immigration illégale) : 35 000 euros (novembre 2021)
* Association « Jeunesse feu vert » (disposant de centres d’hébergement et de réinsertion dont certains accueillent des immigrés et les aident dans leurs démarches de naturalisation et droits sociaux) : 95 000 euros (novembre 2021)
* Association « Aurore » (faisant la promotion indirecte de la consommation de drogues dures dans Paris 18/19e) : 511 000 euros (sur le seul mois de novembre 2021)
* Association « Equalis » (accompagnant les demandeurs d’asile dans leurs démarches de naturalisation et d’obtention de droits sociaux) : 313 000 euros (sur le seul mois de novembre 2021)
* Secours catholique (subvention accordée au seul profit de la Maison Caritas Centre-Est du SP qui accueille 150 migrants) : 217 000 euros (novembre 2021)

lundi 27 décembre 2021

Algérie, l’histoire réelle

Les fausses « vérités historiques » sur l’Algérie .

il me semble que vous avez quelques lacunes sur les soi-disant «132 ans de colonisation » !

Apprenez que l’identité algérienne n’a jamais existé avant 1830. L’Algérie, c’était le Maghreb, de la Libye au Maroc. Les populations qui y vivaient, d’origine phénicienne, berbère et romaine, étaient, avant le 8ème siècle, chrétiennes.

Ce sont les Arabes (nomades venant du Moyen Orient) qui ont envahi le Maghreb et convertit de force, par le sabre et la torture, toutes ces populations.

Puis les Turcs envahirent le Maghreb pendant 3 siècles, maintenant les tribus arabes et berbères en esclavage, les laissant se battre entre elles, prélevant de force la dîme (taxes, impôts) en ne construisant rien, et ce, volontairement, permettant ainsi un trafic d’esclaves chrétiens.

Macron aurait dû savoir qu’au 16ème siècle, 30 000 esclaves étaient maintenus enchainés à Alger.

Ce sont les deys d’Alger, nommés par les Turcs, qui se maintenaient par la ruse, la force, et c’est bien ceux de Constantine qui se vantaient d’avoir fait trancher 12 000 têtes pendant leur règne.

Et il faudrait que la France s’excuse d’avoir débarqué à Sidi Ferruch en 1830 pour chasser le colonisateur ottoman, détruire leurs repères, libérer les esclaves, affranchissant ainsi du joug les tribus berbères et arabes ; d’avoir fait soigner toutes ces populations, dès 1830, par des médecins militaires français, amenant à ces populations du Maghreb, chiffrées à moins d’1 million en 1830 à plus de 10 millions en 1962 !

Car ce sont bien les services de santé militaires qui ont ouvert des centres de soins à la population civile et qui consultaient gratuitement cette population.

En 1962, l’Algérie comptait plus de 160 hôpitaux et la faculté de médecine d’Alger était la 2ème de France !

Et il faudrait s’excuser d’avoir respecté la langue arabe et la religion musulmane, ce que n’avaient pas fait les Arabes puisqu’ils forçaient les Berbères à s’islamiser pour ne pas être tués ?

Et il faudrait s’excuser d’avoir drainé, asséché, fertilisé un sol qui était à l’abandon depuis des siècles et ce, au prix de nombreuses vies ?

Il faut savoir qu’en 1830, à l’arrivée des Français, l’agriculture en était restée au Moyen Âge, et il faudrait s’excuser d’avoir créée une agriculture riche, prospère, exportatrice ; d’avoir fait de la Mitidja, le grenier à fruits et légumes de l’Algérie, alors qu’aujourd’hui, le pays doit importer la plupart de ces produits, car cette immense plaine a été transformée après 1962 en friche industrielle ?

Et il faudrait aussi demander pardon pour les nombreux établissements de formation agricole, extrêmement performants et qui fournissaient, jusqu’en 1962, des cadres à tous les niveaux ?

Il faudrait s’excuser d’avoir résolu le problème de l’eau, dont dépendait l’avenir de ce pays ? C’est bien l’armée française qui, dès 1830, domestiquait les oueds, qui constituaient des réserves d’eau et créait un réseau de canaux d’irrigation et stabilisait les sols ?

Il faudrait encore et toujours demander pardon pour ce pays qui fut entièrement irrigué, assaini et où la plupart des villes et des villages étaient alimentés en eau potable par les Pieds Noirs ; et tout cela fut possible grâce à la construction de 12 barrages !

S’excuser aussi d’avoir créée un réseau routier de 54 000 kms ; d’avoir construit 23 ports, 23 aéroports, 34 phares ; d’avoir installé des bureaux de poste dans tout le pays et d’avoir essaimé le territoire de milliers de kms de chemin de fer ? D’avoir multiplié les écoles sur tout le territoire ; d’avoir alphabétisé ; d’avoir enseigné les règles d’hygiène et les principes médicaux fondamentaux, ce qui a fait dire à l’écrivain Belkacem Ibazizen : « la scolarisation française a fait faire aux Arabes un bond de 1000 ans » !

De tous les peuples qui sont passés en Algérie, seuls les Français ont laissé un bilan positif ; les vandales n’apportèrent rien au pays sinon la désolation!

Les Arabes apportèrent la religion islamique, mais n’apportèrent rien de la brillante civilisation de Damas.

Quant aux Turcs, ils firent régresser le pays sur tous les plans, et c’est bien l’Etat Moyenâgeux, couplé à une piraterie intense, qui incita la France à intervenir.

Alors NON, la France n’a pas colonisé l’Algérie, elle l’a fondée, et c’est pour toutes ces raisons, que tout ceux (dont nos politicards) qui parlent de génocide et de repentance, devraient demander repentance à l’Algérie pour ce million de Français qui ont abandonné leurs pays pour ne pas être égorgés, d’où le slogan macabre de « la valise ou le cercueil » ; que ce soit les mêmes qui demandent repentance à l’Algérie pour les 150 000 Harkis sauvagement torturés puis assassinés.

Repentance pour ces milliers d’Européens tués ou disparus à Oran le 5 juillet 1962 ; pour les 200 000 Algériens tués pour avoir refusé le parti unique ; repentance à l’Algérie pour le terrorisme aveugle, les égorgements, les attentats, les crimes gratuits…

Certes, il y eut la guerre entre les 2 camps, et il n’est pas question de dire qu’il n’y a pas eu d’exactions du côté français comme du côté algérien, mais on peut regretter que l’indépendance fût bâclée pour les Pieds-Noirs et pour les Algériens, cela aurait évité le génocide des Harkis, des Moghaznis, des Européens à Oran, et l’immigration de tant d’ Algériens qui quittèrent le pays pour la France et qui, à ce jour, la quittent encore.

dimanche 26 décembre 2021

Human innovation changes the rules of the game

 

https://www.science.org/content/article/pfizer-antiviral-slashes-covid-19-hospitalizations

Frequently a combination of drugs does have a synergistic effect. The best hope for high-risk patients of severe Covid-19
 
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