vendredi 30 octobre 2015

The fallacy of natural resources as wealth

http://www.presidency.ucsb.edu/ws/?pid=42614

Smoke from wildfires is a giant deadfly cigarette for all

http://news.nationalgeographic.com/2015/10/151029-wildfires-smoke-asthma-indonesia-california-health/

jeudi 29 octobre 2015

Less work hours means less experience but not obligatorily more errors

https://www.washingtonpost.com/national/health-science/some-new-doctors-are-working-30-hour-shifts-at-hospitals-around-the-us/2015/10/28/ab7e8948-7b83-11e5-beba-927fd8634498_story.html?wprss=rss_health-science

http://www.washingtonpost.com/wp-dyn/content/article/2010/03/17/AR2010031704006.html

Safety in the OR

http://www.houstonpress.com/news/going-under-what-can-happen-if-your-anesthesiologist-leaves-the-room-during-an-operation-7842230

La loi MST ignore la iatrogénie car la diminuer ne capte pas de voix

http://www.forbes.com/sites/robertszczerba/2015/10/27/disturbing-new-study-finds-medication-errors-occur-in-half-of-all-surgeries/

les questions qui se posent:
1/ avons nous des data en France sur le sujet ? Non.
2/ l’agence de la qualité des soins improprement appelée HAS travaille t elle sur ce sujet? Non.
3/ est ce plus important que les soi-disant touchers vaginaux dans un hôpital parisien non identifié? A mon avis oui.
4/Est ce plus important que le tiers payant pour tous? A mon avis oui.
5/ pourquoi les assoc sponsorisées se taisent?
Vous en tirerez les conclusions qui s’imposent.
"Every consumer of healthcare services should be appalled by these results. Recent studies indicate that up to 400,000 people are killed each year due to preventable medical errors (which includes medication errors) and hospital acquired infections. This makes medical errors the third leading cause of death in America, behind heart disease (1st) and cancer (2nd). Additionally, a 2011 Institute of Medicine (IOM) study, “The Healthcare Imperative: Lowering Costs and Improving Outcomes,” indicated that of the $2.5 trillion spent on domestic healthcare costs in 2009, $765 billion (or 30%) was attributable to preventable costs."


  1. Medication errors were observed in almost 1 out of every 2 surgical procedures.
  2. The most frequently observed errors were mistakes in labeling, incorrect dosage, neglecting to treat a problem indicated by the patient’s vital signs, and documentation errors.
  3. Medication errors and adverse drug events were more common with longer procedures, especially those lasting more than six hours and involving 13 or more medication administrations.
  4. More than 1 one in 20 (5%) perioperative medication administrations resulted in a medication error or an adverse drug event.
  5. Of the more than 3,600 medication administrations in the observed operations, 153 medication errors and 91 adverse drug events were recorded either by direct observation or by chart review.
  6. 80% of the medication errors were determined to have been preventable.
  7. 33% of the observed medication errors led to an adverse drug event, and the remaining 66% had the potential to cause an adverse event.
  8. Of all the observed adverse drug events and medication errors that could have resulted in patient harm, 64% were considered serious, 33% were considered significant, and less than 2% were considered life-threatening

Fantastic quote from Forbes: Orwellian world is today



"Some things can only be said in fiction, but that doesn't mean they aren't true."

Aaron Latham

mercredi 28 octobre 2015

La démographie médicale : une erreur monumentale de l'État et de l'énarchie.

Après la dette le deuxième problème le plus important est celui de l'offre de soins c'est-à-dire de la démographie et de l'implantation médicale


Ce problème a été créé par l'État. Au lieu de laisser les mécanismes d'offres de demande se développer au maximum de façon à atteindre une flexibilité suffisante entre la formation des médecins, leur motivation à s'installer, leur répartition optimale, l'État dans sa dérive centralisatrice telle qu'elle s'observe dans la société française aussi dans d'autres secteurs, a choisi de supprimer les mécanismes de marché de supprimer les incitations économiques, les motivations, les actions de la société civile et de donner la main, la totale main à ses énarques sur l'ensemble du système.
Il s'est d'abord agi sous prétexte de la croissance des dépenses de soins de limiter le nombre de médecins par un numerus clausus. Le raisonnement simpliste des chefs de cabinets énarques des ministres était le suivant :
En diminuant le nombre de médecins on diminuerait rapidement le nombre de prescriptions, de traitements et donc la facture totale. Cette vision marxiste, totalement mécanique de l'évolution des dépenses de soins en a laissé plus d'un stupéfaits. Comme toujours, faisant fi de toutes les critiques et même de la rationalité la plus élémentaire l'État a donc mis en place un numerus clausus dont le nombre ne pouvait qu'être une vérité première tant ceux qui l'avait établi étaient par définition omniscients.
Il n'est pas nécessaire de revenir sur l'histoire du numerus clausus, 40 ans non pas suffi à convaincre l'État français qu'il était dans l'erreur. Comme toujours plutôt que de changer de politique, alors même que nous changeons la façade politicienne à chaque  élection, on a décidé que finalement importer des médecins étrangers serait peut-être moins coûteux et surtout permettrait de sauver la face en poursuivant le criminel numerus clausus jusqu'à la faillite totale. C'est ce qui s'est passé, le pays est maintenant en proie à des difficultés majeures quant à l'accès aux soins de certaines zones géographiques et l'importation de médecins n'y fait rien car ces derniers sont soit des passagers clandestins qui plus ou moins rapidement retournent dans leur pays d'origine soit des professionnels opportunistes qui profite d'une offre attractive mais limitée dans le temps soit des médecins enthousiastes et compétents mais qui sont vite désabusés quand ils éprouvent les conditions d'exercice dans les zones en question. Ainsi la sécurité sociale à la française et son état omniprésent auront réussi à effondrer la démographie médicale, à ne pas diminuer la dépense de soins, à bloquer toute évolution organisationnelle en maintenant à coup de dette un système public à bout de souffle et complètement parcellisé, enfin à provoquer le plus grand exode de médecins, 30 % environ des diplômés n'exercent pas la médecine et un pourcentage non négligeable d'étudiants sont à l'étranger et ne reviendront pas.
Quelles sont les alternatives à cet étatisme absolu?
Cette question de l'offre de soins demande une grande souplesse dans les mécanismes économiques. C'est pour cela que le monopole est un obstacle définitif a sa solution. Il faut combiner les mécanismes flexibles d'offre et de demande, tant au niveau de l'orientation initiale des étudiants que de l'autonomie des facultés de médecine aussi bien que de l'adéquation des besoins de spécialistes que le concours national classant a complètement désorganisé. Ensuite il faut une offre plurielle pour que les incitations ne soient pas faites à l'aide d'argent public et quelles soient soutenables et durables dans le temps pour que les médecins s'installent dans des hommes rurale dans des zones urbaines particulièrement défavorisées. Enfin il faut massivement développer les alternatives à la consultation médicale physique telle que nous la connaissons, ce développement passant par l'innovation l'expérimentation et surtout la concurrence. Toutes choses que l'assurance-maladie n'a pas les moyens de faire puisqu'elle n'en n'a pas l'ADN.

Pourquoi les principaux problèmes de l'assurance maladie à la française sont en fait liés au monopole de l'État ?

Indubitablement le premier problème le plus préoccupant est la dette. 

Cette dette est lié À la faute de gestion désorganisé l'assurance-maladie. Cette faute de gestion c'est accorder des garanties dont on ne peut pas assurer le remboursement. Cette faute est partagé car l'exécutif, la représentation nationale, la direction de sécurité sociale et la technocratie syndical au énarchie qui dirige la sécu sont mail dans la main pour faire des promesses électorales et on prêter ce qu'ils ne peuvent pas payer sur les marchés internationaux tout en fustigeant la finance et big Pharma. Cette imposture est en train the détruire De l'intérieur le système d'assurance-maladie. La pause qui est intervenu puis la décroissance des taux d'intérêt on Donner à ce système déficitaire chroniquement une chance qui est en fait le baiser de Judas. Équilibrer dépenses et recettes mieux gérer notamment avec les nouvelles technologies éliminer les conflits d'intérêts en particulier entre le pouvoir syndical et les garanties en nature comme les indemnités journalières voilà ce ce qui devrait être le quotidien des gestionnaires À la sécurité sociale.
Au lieu de cela On insiste a une gesticulation parlementaire, À des débats verbeux au tour de l'ONDAM, allez aller retour de posture entre un sénat dans l'opposition et des députés de la majorité ou l'inverse,
Ethan qui promet monts et merveilles ce d'autant qu'il est plus bas dans les sondages plus près d'une échéance électorale. Le pouvoir politique dans sa forme la plus ville, méprisable a pris en otage l'assurance-maladie. Comme toujours avec l'aide des communicants, des médias parfaitement docile mais à rationalité limitée, il badigeonne cette prise d'otages en humanisme solidaire.
La dette elle croit inexorablement. Les plans et rataplan se succède, Les ministres se vante d'avoir fait moins de déficits comme prévu, nous sommes dans un déclin cognitif car les français accepté donc que les feuilles de soin conduit star remboursement cette politique de gribouille consistant à se soigner à crédit.

Pourquoi le marché garantira a tous un accès à l'assurance-maladie dans de meilleures conditions qu'aujourd'hui?

Qu'est-ce que le marché? C'est la garantie tous les français d'avoir le choix d'un assureur maladie et aussi du contrat qui va l'Élysée notamment des garanties il leur est donc. Alors actuelle les français n'ont ni le choix de l'assureur ni le choix du contrat. Il finance une énorme structure publique diriger en réalité par l'État, Déficitaire, pour avoir des remboursements qu'ils espèrent maximum concernant une série deux services qu'ils n'ont pas choisi.
Cette situation combinée à la tendance naturelle structurelle idéologique des structures publiques en France À générer du déficit garantit aujourd'hui au français une seule chose : les jours de ce système sont comptés, il faut se projeter dans l'avenir et en changeait le plutôt possible.
En ayant plusieurs assureurs à côté de la sécurité sociale, les Français pourrai faire jouer la concurrence est il pourrait aussi favoriser les réformes vers des soins moins coûteux Plus efficace et au final de meilleur qualité.
Tous les Français pourraient choisir leur contrat. Aujourd'hui l'immense majorité préférerait avoir dés remboursement pour les soins dentaires, l'audition et la vue plutôt que les transports non urgent, les cures thermales, les indemnités journalières des maladies bénignes.
Les Français pourraient aussi choisir certaines des approches médicales qui aujourd'hui bien que reconnue comme des médecines alternatives ne sont en réalité pas pris en compte par l'assurance-maladie. Les Français pourrait si signer un contrat c'est-à-dire de prendre des engagements personnels comme l'assureur prend des engagements en terme de remboursement ou d'accès aux filières de soins. Ses engagements personnels pourrait t'être personnalisé et ainsi contribuez à diversifier l'offre de soins augmenter la qualité la prévention et diminuer la consommation de soins potentiellement inutile.

Revenons au marché, à la concurrence et à un état régulateur dans l'assurance-maladie

Le monopole de l'assurance-maladie en France est une disposition qui nuit considérablement l'efficacité du Système de soins il interdit la concurrence restreint les mécanismes de marché au maximum et bloque toutes les évolutions nécessaire dans l'organisation des soins. En effet le monopole très centralisé s'accommode uniquement d'accord nationaux extrêmement rigide et il est dirigé par une technocratie d'idéologie égalisatrice.
Or le monopole n'est pas le principe même de la sécurité sociale française. La sécurité sociale est un système à vocation universelle, c'est-à-dire ouvrir à tous qui stipule que les mon Moyenne c'est-à-dire le statut socio-économique ne doit pas être un handicap al accès aux soins donc à l'accès à l'assurance qui permet le remboursement des soins. Nulle part le monopole n'est nécessaire dans la accomplissement de ses missions.
En réalité le monopole et la volonté de l'État et de ses puissance connivente en particulier et les syndicats irréfragable de mettre la main sur la manne financière que représente la cotisation obligatoire sur le travail.
Le dernier épisode de cette tragique évolution et la criminalisation de tout critique du monopole et de toutes encouragements à le quitter.
En réalité ce qui menace le monopole, ce ne sont pas ceux qui le mettent en cause ou qui quitte la sécurité sociale mais c'est la tête chronique structurelle le système dans l'état à toutes les ficelles. Et donc l'incroyable incompétence de la technocratie et des hommes politiques a équilibré un budget depuis des décennies.

mardi 27 octobre 2015

Publicly funded things tend to increase in cost, private enterprise goods and services tend to decrease in cost (Chart) | AgainstCronyCapitalism.org

Publicly funded things tend to increase in cost, private enterprise goods and services tend to decrease in cost (Chart) | AgainstCronyCapitalism.org

L'implication précoce du GODF dans la campagne des régionales-présidentielle

http://www.lepoint.fr/societe/le-cri-d-alarme-de-daniel-keller-grand-maitre-du-grand-orient-de-france-25-10-2015-1976565_23.php

C'est bizarre comme ce discours est celui de la gauche et de la droite depuis 40 ans...
Il n'est pas nécessaire de prendre le risque de juger puisque nous avons les résultats  de ses recommandations politiques.

« En ce qui concerne les élections à venir, le désistement républicain est, selon moi, le minimum à faire. Il faut éviter au maximum des triangulaires au second tour des régionales », énonce-t-il. « Le désistement, ce n'est pas une magouille. C'est accepter de sacrifier ses propres couleurs pour l'intérêt général », fait-il valoir.

La seule question qui se pose en réalité est de savoir si un tel organisme a à une légitimité à faire des prescriptions politiques aussi précises. Dans le détail que signifie le minimum a faire ? Et surtout que signifierait le maximum, une fusion PS les Républicains la gauche contre le FN? Je ne sais pas si Monsieur Keller se rend compte du pays réel.

dimanche 25 octobre 2015

Le président au dessus des partis s'engage contre le FN

« Quand des votes se font, ils ont toujours un impact en France et à l’étranger. Une région qui serait dirigée par le Front national, ça aurait des conséquences, y compris dans les décisions que ses élus auraient à prendre, avec des discriminations, l’abandon des politiques sociales ou de politiques à l’égard des familles en faisant des distinctions entre les familles. »
En savoir plus sur http://h16free.com/2015/10/25/42173-front-national-la-peur-au-sommet#eH4uG1gh8oUFuG0O.99
 
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