vendredi 1 mai 2020

Le retour du "social" dans un pays à 800 milliards de dépenses sociales, cynique et du niveau d'Attali

https://www.lexpress.fr/actualite/idees-et-debats/emmanuel-todd-on-ne-peut-pas-sacrifier-les-jeunes-et-les-actifs-pour-sauver-les-vieux_2124472.html

D'Ormesson cite ...

"Ne vous laissez pas abuser. Souvenez-vous de vous méfier. Et même de l'évidence : elle passe son temps à changer. Ne mettez trop haut ni les gens ni les choses. Ne les mettez pas trop bas. Non, ne les mettez pas trop bas. Montez. Renoncez à la haine : elle fait plus de mal à ceux qui l'éprouvent qu'à ceux qui en sont l'objet. Ne cherchez pas à être sage à tout prix. La folie aussi est une sagesse. Et la sagesse, une folie. Fuyez les préceptes et les donneurs de leçons. Jetez ce livre. Faites ce que vous voulez. Et ce que vous pouvez. Pleurez quand il le faut. Riez. J'ai beaucoup ri. J'ai ri du monde et des autres et de moi. Rien n'est très important. Tout est tragique. Tout ce que nous aimons mourra. Et je mourrai moi aussi. La vie est belle."
Jean d'Ormesson

Qui a dit "souvenez vous de vous méfier"?

Chloroquine is not the magic bullet, even according to the observational studies...

In this hypothesis, a magic bullet a game-changer, observational studies couldn't be so divergent.

H1: (CQ treated patient mortality) < 0,2 (SOC treated patient mortality)
If this H1 is true what is the p {(CQ treated patient mortality) =  (SOC treated patient mortality)}?



Is chloroquine better than SOC for COVID-19? 

This hypothesis could be formulated like that:
H2: Deaths of confirmed cases of Covid-19 treated by CQ < Deaths of confirmed cases of Covid-19 treated by SOC
This should be measured in the intention to treat mode and not on selected cohorts...

mercredi 29 avril 2020

Tracer pour sauver des vies...

Une fois de plus, les obsessions proto-souverainistes d'un gouvernement qui dégoise sur le numérique en plan de com sans y comprendre grand-chose vont nous mettre inutilement, stupidement en retard. Ceci alors que l'Allemagne, elle, a examiné la situation, abandonné la "solution" européenne centralisée, et décidé d'utiliser ces protocoles :
"...Le projet StopCovid bute sur un composant essentiel de son efficacité : l’impossibilité, sur iPhone, d’utiliser le Bluetooth en arrière-plan. Sans cela, la partie est perdue. Comme nous l’a montré l’échec de l’exemple singapourien, les utilisateurs ne sont pas prêts à laisser une application ouverte au premier plan qui les empêche d’utiliser leur smartphone pour fonctionner.
Cette interdiction d’accès au Bluetooth n’est pas qu’un problème de batterie : elle a été mise en place pour empêcher le traçage malicieux et involontaire des utilisateurs, notamment à des fins publicitaires. Les outils développés par Apple et Google pour la crise sanitaire sont les seuls qui permettent de créer une exception, dans la mesure où ils ne seront pas publics et n’entraîneront pas un changement dans les droits des applications, mais réservés aux projets des États et des agences de santé.
En refusant de les utiliser, la France se ferme la porte à une application de traçage des contacts utilisable avant même de savoir si une telle application, utilisant les bons protocoles et fonctionnant pour le grand public, est utile. Le développement, confié à un consortium d’industriels et de startups et piloté par l’Inria, ne pourra pas contourner cette barrière, même avec tous les efforts du monde. Et, ironiquement, elle utilisera tout de même les mêmes types d’outils (API) fournis par Google et Apple dans d’autres phases de son développement, essentiels à la conception d’une application, montrant que le débat porté sur le front de la souveraineté numérique n’est pas tout à fait compris au gouvernement.
Contrairement à ce que clame Cédric O dans la suite de l’interview au JDD, les pays européens qui développent une application de contact tracing ne sont pas aussi réfractaires à l’utilisation des outils Google / Apple mis à leur disposition. La méthode développée par les deux géants du web à la demande des autorités de santé est philosophiquement proche du modèle décentralisé DP3T, conçue par une équipe de chercheurs européens dirigée par l’École Polytechnique Fédérale de Lausanne.
Le protocole ROBERT, imaginé par l’Inria, est au contraire centralisé : l’information de contamination n’est pas transmise de smartphone à smartphone, mais poussée par un serveur central. L’Allemagne, qui s’était d’abord rangée du côté d’une solution centralisée européenne, a annoncé qu’elle utiliserait finalement l’option de Google et d’Apple pour faire fonctionner son application, universelle et interopérable..."


Passionnant.

lundi 27 avril 2020

Argent


Jacques Toubon, Défenseur des droits, perçoit, en cumul de ses retraites de haut fonctionnaire et d’élu, 21 729 € par mois dont 10 629 € net pour ce poste.​
​Jean-Luc Moudenc, maire de Toulouse, nommé en 2008, au tour extérieur, membre du Contrôle général économique et financier : 99 044 € net par an, soit 8 253 € par mois.
Sibyle Veil, présidente de Radio France depuis avril 2018, perçoit un salaire de 18 500 € brut par mois.
François Villeroy de Galhau, le gouverneur de la Banque de France, est le fonctionnaire le mieux payé de France : 285 538 € brut par an + une indemnité de logement de 5 653 € par mois + une enveloppe annuelle de 46 500 € en tant qu’administrateur de la Banque des règlements internationaux (BRI). Au total, son salaire culmine à 37 580 € brut mensuels.
Sylvie Goulard, nommée par Emmanuel Macron, 2e sous-gouverneur de la Banque de France pour 18 640 € brut par mois + une indemnité de logement de 5 712 € par mois !
Thierry Dallard, haut fonctionnaire X-Ponts, directeur de la Société du Grand Paris, perçoit 25 000 € brut par mois et une part variable sur objectifs, pouvant aller jusqu’à 60 000 € par an.
Chantal Jouanno, présidente de la Commission nationale du débat public, qui avait refusé d’organiser le Grand Débat National, perçoit une rémunération presque équivalente à celle du président de la République, soit 14 666 € brut par mois.
Hervé Gaymard, administrateur civil hors classe à temps plein au ministère des Finances, où il perçoit 7 596 € net mensuels, cumule cet emploi avec la présidence du Conseil départemental de Savoie pour 4 033 € net par mois !
Chris Dercon, de nationalité belge, président des musées nationaux et du Grand Palais, perçoit un salaire de 120 000 € brut par mois + un «complément personnel» de 42 000 € + une part variable de 30 000 € maximum par an, soit au total des émoluments à hauteur de 16 000 € par mois !
Agnès Saal, ex-présidente de l’Institut national de l’audiovisuel, condamnée par la justice à deux reprises en 2016 pour des frais de taxis indus, a été nommée haut fonctionnaire à l'égalité et la diversité du ministère de la Culture en 2018, et promue à l'échelon spécial du grade d'administrateur général, perçoit 6 166 € brut par mois.






dimanche 26 avril 2020

Moody Blues

Moody Blues

 
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