Le délire est total.
Le cinéma parce qu'il a capturé, multiplié et diffusé dans le monde et à l'infini l'image fugace de l'acteur est un outil de démiurge. Derrière cette puissance la production est devenue un immense lupanar à drogues, à sexe et à fric.
Et pourtant de fantastiques films voient le jour.
HW c'est le déchet productiviste nécessaire au grand spectacle, au vrai.
Et pourtant de fantastiques films voient le jour.
HW c'est le déchet productiviste nécessaire au grand spectacle, au vrai.
"Même quand elles visent une grosse merde comme Wenstein, les curées ont toujours un arrière-goût vomitif… Tous ces gens qui savaient et qui se sont tus; qui, par leur silence, sont en fait partiellement complices des agissements du gros porc et qui aujourd’hui se posent en procureurs et en accusateurs publics… Toutes ces actrices qui, pour des rôles, pour de l’argent, pour de la gloire, ont participé, toléré et cautionné ce système de corruption perverse, et qui jouent aujourd’hui les pauvres victimes traumatisées, les oies blanches souillées par le super vilain de l’histoire, un peu comme des tapins du bois de Boulogne qui se retourneraient contre leur proxo parce que celui-ci a cessé de leur reverser leur part des bénéfices… A gerber.
C’est tout le monde du cinéma qu’il faut passer au napalm.
C’est tout le monde du cinéma qu’il faut passer au napalm.
Une actrice, c'est un fille qui suce et se fait tamponner par un producteur pour avoir un rôle. Une victime de harcèlement et d'agression sexuelle, c'est une fille qui suce et se fait tamponner par un producteur mais n'a pas le rôle.
En matière de "harcèlement", la présomption d'innocence est donc objectivement supprimée.
Au-delà des cas sans doute avérés et bien sûr odieux liés à un milieu totalement pourri, désormais n'importe quelle frustrée, hystéro, amoureuse transie, maîtresse répudiée, mythomane, ambitieuse perverse peut librement dégueuler, accuser, salir n'importe qui, sans preuve autre que sa parole sacrée, et être applaudie pour cela.
Au-delà des cas sans doute avérés et bien sûr odieux liés à un milieu totalement pourri, désormais n'importe quelle frustrée, hystéro, amoureuse transie, maîtresse répudiée, mythomane, ambitieuse perverse peut librement dégueuler, accuser, salir n'importe qui, sans preuve autre que sa parole sacrée, et être applaudie pour cela.
Amusante (façon de parler...) cette société qui n'a de cesse, d'un côté, de dénoncer les "heures les plus sombres de notre histoire" tout en entretenant avec assiduité et même frénésie, d'un autre côté, la vieille tradition de la délation française ("dénonce les racistes", "dénonce les "porcs"", "dénonce les méchants"...)."
Xavier Eman, A Moy que chault
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