mercredi 29 décembre 2010

La preuve par les faits: les politiciens européens n'agissent que sous la contrainte

1er acte les controleurs du ciel espagnols font grève et paralysent l'activité économique du pays qui est dans une crise très sévère.
2ème acte Zapatero le premier ministre après quelques tergiversations les réquisitionne
3ème acte l'Espagne privatise son contrôle aérien.
Tout cela sans que personne ne bouge.
Alors si c'est nécessaire à la survie du pays je veux bien que l'on mette DSK.
Pour que cela aille plus vite.
Ce n'est un plaidoyer pour la politique du pire c'est du pragmatisme.

2 commentaires:

THEGAP a dit…

"La situation était devenue vraiment sympa pour les contrôleurs:
Selon son ministère, il y a en Espagne 2300 contrôleurs aériens, dont 135 gagnaient alors plus de 600 000 euros par an et 713 entre 360 000 et 540 000 euros, bien plus que leurs collègues européens, grâce à un système avantageux d'heures supplémentaires.
Vendredi, le gouvernement a encore baissé le plafond d'heures et mis fin à leur départ en pré-retraite à 52 ans, dans le cadre de la privatisation partielle de l'organisme de gestion aéroportuaire Aena.
Au final, les contrôleurs sont passés d'un salaire annuel moyen de 334 000 euros à 200 000 euros.
La ficelle a fini par casser.... "
Est ce vrai? L'Europe est bien malade de l'état et de son hypertrophie.

Anonyme a dit…

Source:
http://www.contrepoints.org/2010/12/29/9885-lespagne-privatise-son-controle-aerien

 
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