dimanche 24 juillet 2016

La psychiatrisation sociétale: aux racines d'un nouvel avatar dugauchisme.

Nous assistons dans le petit cénacle de la presse subventionnée à une psychiatrisation des esprits. En gros, puisque ce n'est plus la discrimination socio-économique qui explique le terrorisme c'est donc une aliénation mentale, une forme de dépression nouvelle induite par un faisceau de causes toutes extérieures à l'individu et annihilant son libre arbitre.
Les totalitaires réunis, c'est à dire l'extrême gauche nient depuis toujours la responsabilité et la liberté de l'individu. À partir de ce postulat marxiste, il faut remplir le vide créé.
Pour ce faire, le marxisme avait inventé l'exploitation de l'homme par l'homme, une aliénation extérieure une chaîne qui soumettrait l'individu dans son travail, dans sa vie et justifierait toutes les violences.
L'augmentation fantastique de la richesse, la prospérité extraordinaire née du capitalisme, ont mis à bas cette théorie primaire. Qu'à cela ne tienne, les post marxistes ont inventé l'aliénation intérieure.
Celle-là même qui induit les troubles comportementaux menant à la violence. Toujours pas de responsabilité, toujours pas de liberté. La violence née des comportements dans les cerveaux des terroristes n'est que le reflet de la violence sociétale, à leur égard, au regard des autres ethnies. Et elle n'a qu'une cause la domination des blancs en Europe, des mâles sur les femmes, des forts sur les faibles, des riches sur les pauvres etc.
Les exemples concrets de cette manipulation sont multiples. C'est un plus grand mensonge que la lutte des classes.
Premièrement la dépression dans sa forme type conduit à une forme de passivité parfois à une violence vis-à-vis de soi-même mais jamais à des tueries de masse. Chez le terroriste islamiste la dépression inventée est l'occasion de tuer du blanc, du croisé du juif. Bref de faire le djihad.
Mais la presse subventionnée ne le voit pas comme cela. Il y a toujours une dépression dont le diagnostic est fait par les journaleux bien assis derrière leur ordinateur compulsant les dépêches de l'AFP.

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