Faire les taches que les européens ne veulent plus faire, payer nos retraites, telles sont les principales raisons que les immigrationnistes invoquent pour augmenter le flux de migrants en Europe.
Tout ceci n'a bien sûr aucun sens sinon de vouloir éperdument pérenniser les système de répartition de l'État-providence européen.
Inquiéts de la baisse de la fécondité en Europe les bureaucrates européens et leur similaire bureaucrates nationaux tous drogués au régime par répartition et au keynésianisme s'affolent.Les journaux, les médias tous les experts politiques qui ont conduit au désastre actuel répètent: il faut combler le déficit démographique.
Inquiéts de la baisse de la fécondité en Europe les bureaucrates européens et leur similaire bureaucrates nationaux tous drogués au régime par répartition et au keynésianisme s'affolent.Les journaux, les médias tous les experts politiques qui ont conduit au désastre actuel répètent: il faut combler le déficit démographique.
En réalité ce déficit démographique n'existe pas. Il y a une baisse tout à fait adaptée de la fécondité compte tenu de l'augmentation de l'espérance de vie de l'allongement des études pour les femmes et de l'anticipation des révolutions technologiques à venir par les couples. Les Européens ont bien compris qu'il valait mieux élever un ou deux enfants avec des moyens suffisants pour les éduquer que d'en faire naître cinq ou 6 sans avoir le temps ni l'argent de le rassurer un avenir.
Oui mais voilà, l'État-providence comprend des système de répartition qui ne supportent aucune baisse de la démographie.
Au lieu de réformer l'État providence, de supprimer ou d'atténuer fortement les système de répartition dans la redistribution sociale, les politiques nationaux et européens déjà mondialistes et immigrationnistes ont imaginé de subventionner l'immigration.
Ces subventions sont multiples, elles s'accompagnernt d'avantages sociaux non financés et d'allocations pour lesquelles les états nationaux recourent à la dette.
Cette immigration sans emploi et sans employabilité accroît la dette détruit les structures sociétales et produit de la violence.
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