mercredi 19 novembre 2008

Bulles crescendo: what's the next? A mega public debt bubble!

Il y a eu ce que l'on a appelé la bulle informatique, ensuite la bulle immobilière, soit dit en passant beaucoup plus grosse, gigantesque même car les vannes du crédit ont été beaucoup plus larges. La prochaine bulle risque être mortelle pour les économies développées car la destruction créatrice concerne aussi les états, les civilisations. Cette prochaine bulle c'est celle de la dette publique, celle des états endettés qui seront mis en faillite. Bien sur tous les politiciens européens et états uniens vont vous répondre par un sourire narquois et certains par un sophisme: la où il y a du capitalisme il y a des bulles c'est bien lui le coupable. A peine plus sophistiqué que les garçons ont les cheveux courts donc cette fille qui a les cheveux court est un garçon. Ensuite ils vont vous vanter l'intervention de l'état pour résoudre la présente crise. Mais cette intervention est en train de devenir une pénétration en force de l'état dans l'économie avec de l'argent qu'il n'a pas! Dans le meilleur des cas l'état se refera sur certaines valeurs dans quelques années mais pour d'autres secteurs ou pour certaines banques il est en train de "sauver" des structures moribondes car elles ont fait des choix trop risqués, de mauvais choix ou pas de choix du tout comme dans l'automobile. Cet argent est investi en pure perte et c'est le contribuable qui va payer. C'est un énorme impôt social déguisé qui ira un peu aux salariés et retardera leur reconversion et beaucoup aux actionnaires d'entreprises mal gérées qui de toutes les façons vont disparaître. L'état en sortira fortement endetté et commencera à ne plus pouvoir lever de fond pour financer sa dette sauf à des conditions très défavorables comme des taux d'intérêt élevés. Pour endormir le bon peuple qui les élit les politiciens drogués à la dépense publique assurent qu'il n'y a pas de risque de faillite. C'est pourtant ce qui va se passer une faillite des états, si un redressement drastique de la gestion publique n'intervient pas tout de suite. Un des états les plus en danger: le Royaume Uni qui vient de socialiser les pertes à une échelle inimaginable et qui continue à croire au keynésianisme dévoyé; un autre: l'Italie, mais suivent de très près France, Allemagne et USA.
Vous en doutez? C'est bien, alors lisez ce rapport de Standard & Poors et ne dites plus jamais que les agences de notation n'ont rien dit, rien fait, rien écrit de vrai!

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