vendredi 14 février 2020

Déconstruction par les smart?

https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S038800011400151X

Abstract

A folk assumption about colloquial speech is that taboo words are used because speakers cannot find better words with which to express themselves: because speakers lack vocabulary. A competing possibility is that fluency is fluency regardless of subject matter—that there is no reason to propose a difference in lexicon size and ease of access for taboo as opposed to emotionally-neutral words. In order to test these hypotheses, we compared general verbal fluency via the Controlled Oral Word Association Test (COWAT) with taboo word fluency and animal word fluency in spoken and written formats. Both formats produced positive correlations between COWAT fluency, animal fluency, and taboo word fluency, supporting the fluency-is-fluency hypothesis. In each study, a set of 10 taboo words accounted for 55–60% of all taboo word data. Expressives were generated at higher rates than slurs. There was little sex-related variability in taboo word generation, and, consistent with findings that do not show a sex difference in taboo lexicon size, no overall sex difference in taboo word generation was obtained. Taboo fluency was positively correlated with the Big Five personality traits neuroticism and openness and negatively correlated with agreeableness and conscientiousness. Overall the findings suggest that, with the exception of female-sex-related slurs, taboo expressives and general pejoratives comprise the core of the category of taboo words while slurs tend to occupy the periphery, and the ability to generate taboo language is not an index of overall language poverty.


"Even given the limitations in our present understanding, though, the findings of the studies here suggest that itis possible to use our tools as researchers to help dispel commonly-held but inaccurate ideas about taboo language. While taboo words can obviously be offensive and can be associated with negative states, it would be a mistake to overgeneralize these negatively-toned phenomena to taint all uses of swear words, or ascribe undesirable traits to those who use them. Fluency is fluency, people who swear aren’t necessarily otherwise inarticulate, and, arguably, a good taboo lexicon may be considered a complement to the lexicon as a whole, ideally a mechanism for emotional expression of all sorts: anger, frustration, and derogation, but also surprise and elation."

Delsol confond étatisme et dépense publique avec le Keynesianisme

https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/keynes-le-retour-dune-icone-1171840#utm_source=le%3Alec0f&utm_medium=click&utm_campaign=share-links_facebook

jeudi 13 février 2020

Strasbourg and the Jews

https://www.aish.com/jw/s/Horrific-Valentines-Day-Massacre-of-Jews.html?fbclid=IwAR3suW2bftALlrHibvvoDQfLgdVZD7GTIkx32BYbfRnFyYvMuledvH1BH7U#.XkP8LLlAw3Y.facebook

Progressivism is rooted in pedophilia, collectivism and Unacceptability of individualism

L'étrange silence autour du culte de Michel Foucault

Bizarrement, au moment où le camp progressiste ne parle plus que de sexe, de consentement, de harcèlement, exige l'épuration de la littérature et du cinéma, dénonce à longueurs de journées dans les médias la "culture du viol" et la "domination masculine" en invoquant l'autorité du Saint Patron des LGBT Michel Foucault, personne ne remet en question la complaisance de ce dernier à l’égard des crimes pédophiles. Cela semble être un aspect tabou de Foucault, tant son œuvre est devenue un mantra, sa personnalité une vache sacrée. L'icône des minorités opprimées, des trans et des marginaux. Il est même devenu l'auteur le plus cité du monde dans les sciences sociales, les gender studies et les cultural studies des universités du monde entier. Or Michel Foucault a signé avec Dolto, Althusser, Simone Beauvoir et quelques autre sommités intellectuelles, une lettre demandant au gouvernement de l'époque la légalisation de la pédophilie, qu'on appelait pas encore pédocriminalité. Plus tard, dans son Histoire de la sexualité, il fait l'éloge du sado-masochisme, d'une sexualité libertaire, écrit de longs passages pour défendre la pédérastie avec les adolescents, en tant que pratique éthique et philosophique. Et en 1979, dans un entretien à France Culture, il déclare que les enfants sont capables de relations érotiques librement consenties avec des adultes, bien qu'il refusât de parler de sexe, car selon lui la notion de sexualité est utilisée par le pouvoir psychiatrique et judiciaire :

"C’est difficile de fixer des barrières. Une chose est le consentement, une autre est la possibilité pour un enfant d’être cru lorsque, parlant de ses rapports sexuels ou de son affection, de sa tendresse, ou de ses contacts, autre chose donc est la capacité que l’on reconnaît à l’enfant d’expliquer ce qu’il en est de ses sentiments, ce qu’il en a été de son aventure, et la crédibilité qu’on lui accorde. Or, quant aux enfants, on leur suppose une sexualité qui ne peut jamais se porter vers un adulte, et d’un. Deuxièmement, on suppose qu’ils ne sont pas capables de dire sur eux-mêmes, d’être suffisamment lucides sur eux-mêmes. Qu’ils n’ont pas suffisamment la capacité d’expression pour expliquer ce qu’il en est."

 
Paperblog