Si la religion est figée alors elle ne peut que dicter des règles dépassées
https://fr.aleteia.org/2017/10/17/aujourdhui-le-christianisme-ne-menace-pas-la-femme-eugenie-bastie-repond-a-sophia-aram/
Cain et la fin de la violence dans le monde occidental
http://tenoua.org/cain-la-bete-humaine/
https://www.rts.ch/religion/babel/8385020-et-dieu-crea-la-femme.html
"Ce faisant, la Réforme a renforcé le pouvoir ecclésiastique sur le mariage et également,
par extension, celui de l’État. Les protestants ont ainsi insisté sur l’indissolubilité des
paroles de futur, c’est-à-dire des promesses d’un prochain mariage. Par ce moyen, ils ont
essayé d’éviter des distinctions, qu’ils ont trouvé trop subtiles et parfois peu claires entre
les paroles de futur (les fiançailles) et les paroles de présent (la cérémonie nuptiale au
temple). Les futurs époux devaient aussi obtenir l’autorisation parentale, jusqu’à vingtcinq
ans pour une femme et trente ans pour un homme. Le mariage était en effet d’abord
une alliance entre deux familles, et les exigences de celles-ci prenaient le pas sur les vœux
des individus. Les bans, publiés du haut de la chaire trois dimanches consécutifs,
informaient la communauté. Après la bénédiction publiquement donnée par le pasteur, le
mariage était inscrit dans le registre des mariages, pour éviter toute possibilité de
contestation. Le divorce était possible, mais restait difficile à obtenir. Les causes en
étaient limitées aux motifs les plus graves : l’adultère et l’absence prolongée. En réalité,
l’homme apportait au consistoire une sentence judiciaire condamnant sa femme pour
adultère, plus souvent que la femme ne s’y plaignait d’une longue absence de son mari9 ."
https://assr.revues.org/20192
mercredi 18 octobre 2017
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