"B. Cyrulnik prône la décroissance et accuse le profit et les transports alors que c’est une pandémie."
On aurait préféré l’économie à l’humain.
Boris est bien sûr un psy du côté de l’humain et il vient blâmer l’économie au moment où des gens meurent d’une pandémie.
Du sale boulot pour vendre son énième livre.
Tout d’abord et je sais que ce n’est pas l’habitude de Boris Cyrulnik toute affirmation doit être prouvée. Sans quoi c’est une simple élucubration et la plupart du temps d’esprits égarés.
Je ne sais pas si finalement vous pouvez trouver des preuves, mais le fait qu’un virus à ARN entraîne une pandémie, n’a rien à voir avec l’économie jusqu’à ce qu’il la crashe. Cyrulnik inverse la cause et la conséquence c’est subtil, il le fait avec le ton du doute non permis mais c’est un énorme mensonge. À qui profite ce mensonge ? Si nous étions dans un pays plus rationnel le journaliste Lui aurait posé la question.
La le journaliste a gobé la parole psychanalytique. Du pur délire.
"Ces "influenceurs rêvent encore du "grand soir", ce moment où enfin, le Grand Capital sera détruit etc...etc.je ne vais pas redire la messe. Je voudrais simplement dire à tous ces conseillers "économistes" qu'ils sont inconséquents. Si demain le Capitalisme et sa conséquence logique n'existe plus, 3 a 4 milliards d'êtres humains disparaîtront car ils n'y aura plus la puissance créatrice de tout ce qui entretient la Sécurité au sens large. Sans croissance, pas d'avantages ni redistribution d'aides. Moins de médicaments, moins de soins, moins d'hôpitaux, moins de prise en charge sociale des plus faibles, moins de recherche médicale etc...etc.... et, d'autre part, la sécurité, au sens de la protection des personnes et des biens ne se fera plus aussi bien. La Force primera sur le Droit et des bandes armées apparaîtront pour piller et tuer. Ce pauvre B.Cyrulnik et tous ceux qui prônent cette décroissance sont des inconséquents démagogiques (toujours les mêmes et bizarrement ceux qui sont les plus demandeurs au niveau "social) n'ont aucune prospective et ne mesurent pas l'énormité de ce qu'ils disent."