Factures d'hôtel, allocation à vie... Quand Christophe Girard, adjoint d'Anne Hidalgo, soutenait Gabriel Matzneff
Par Auteurvaleursactuelles.com / Mercredi 12 février 2020 à 08:4525
Gabriel Matzneff. Photo © ANDERSEN ULF/SIPA
Autrefois collaborateur d’Yves Saint-Laurent, Christophe Girard aurait protégé l’écrivain dans les années 1980.
À l’aune de sa convocation au tribunal correctionnel de Paris ce mercredi 12 février, l’écrivain Gabriel Matzneff, accusé « d’apologie de la pédophilie » dans les livres, est parti de la capitale pour rejoindre la Riviera italienne, avant même que n’éclate le scandale. Le New York Times l’a retrouvé pour évoquer avec lui tous ceux qui l’ont lâché depuis le début de l’affaire et les révélations de l’écrivaine, Vanessa Springora. Il revient sur des années passées à ne rien cacher, notamment dans ses ouvrages. Et parmi les personnalités mises en cause, on trouve notamment Christophe Girard, actuel adjoint d’Anne Hidalgo à la mairie de Paris.
Dans les années 1980, Gabriel Matzneff qui vivait avec Vanessa Springora (alors mineure) cherchait un abri plus sûr. Il s’installe alors dans un hôtel, apprend-on du New York Times ; Gabriel Matzneff explique que les factures étaient alors réglées par le couturier Yves Saint-Laurent, un de ses proches, mais surtout par l’entremise d’un de ses collaborateurs : Christophe Girard. Pendant deux ans, Gabriel Matzneff pouvait donc vivre « caché ». « Nous nous occupons de tout, les repas, tout », glisse l’écrivain en rapportant les paroles de Christophe Girard. « Pour nous, c’est une goutte d’eau, ce n’est rien, nous vous aimons beaucoup », avait alors ajouté l’adjoint d’Anne Hidalgo.
SUR LE MÊME SUJET Gabriel Matzneff a fait l’objet d’une fiche des services de renseignements
Une prime à vie, rare
Outre cette affaire de factures d’hôtel, Christophe Girard aurait aussi agi d’une autre manière, quelques années plus tard, en 2002 précisément, alors qu’il était devenu adjoint à la Culture du maire de Paris. Selon le New York Times, il aurait « fait pression » afin que Gabriel Matzneff obtienne une allocation annuelle à vie du Centre National du Livre. Une distinction très rare selon l'Opinion, qui expliquait cela le 3 janvier. Invité à réagir par le média américain, Christophe Girard a refusé toute sollicitation.
Durant toutes ces années, l’écrivain a bénéficié du soutien de plusieurs personnalités de l’époque, à commencer par l’ancien président de la République, François Mitterrand, qui avait réalisé un article très élogieux à son égard après avoir découvert ses collections d’essais Le Défi. Mais Gabriel Matzneff eut également le soutien de Christian Giudicelli, Prix Renaudot en 1986, et avec qui il est parti de nombreuses fois en voyage. C’est ce dernier qui avait caché des photos compromettantes de l’écrivain avec Vanessa Springora et qui l’avait appuyé afin qu’il obtienne le Prix Renaudot (Essais) à son tour en 2013. Aujourd’hui, Gabriel Matzneff est reclus dans son hôtel de la Riviera italienne et explique être « trop malheureux ».
Barzach
https://www.lemonde.fr/m-le-mag/article/2020/04/27/affaire-matzneff-l-ancienne-ministre-de-la-sante-michele-barzach-entendue-par-la-police_6037931_4500055.html?xtor=EPR-32280629-%5Ba-la-une%5D-20200428-%5Bzone_edito_2_titre_3
A blog for humans in the universe, to understand what we know now and to imagine what we don't know. To bridge the gap between the real world, its image in our brain and the ideas generated by.
samedi 15 février 2020
The sinuous route of HIV filiation in the world of simian viruses
“She screened them using tests for both SIV and HIV. Despite one possible misstep involving a lab contamination, her team found what they had thought they might: a virus intermediate between HIV and SIV. With the code unblinded, Kanki learned that the positive results came from Senegalese prostitutes. In retrospect it made sense. Prostitutes are at high risk for any sexually transmitted virus, including a new one recently spilled into humans. And the density of the rural human population in Senegal, where African green monkeys are native, makes monkey-human interactions (crop-raiding by monkeys, hunting by humans) relatively frequent.
Furthermore, the new bug from Senegalese prostitutes wasn’t just halfway between HIV and SIV. It more closely resembled SIV strains from African green monkeys than it did the Montagnier-Gallo version of HIV. That was important but puzzling. Were there two distinct kinds of HIV?
Luc Montagnier now reenters the story. Having tussled with Gallo over the first HIV discovery, he converged more amicably with Essex and Kanki on this one. Using assay tools provided by the Harvard group, Montagnier and his colleagues screened the blood of a twenty-nine-year-old man from Guinea-Bissau, a tiny country[…]”
...
“The difference between HIV-2 and HIV-1 is the difference between a nasty little West African disease and a global pandemic.”
Excerpt From: David Quammen. “Spillover: Animal Infections and the Next Human Pandemic”. Apple Books.
Furthermore, the new bug from Senegalese prostitutes wasn’t just halfway between HIV and SIV. It more closely resembled SIV strains from African green monkeys than it did the Montagnier-Gallo version of HIV. That was important but puzzling. Were there two distinct kinds of HIV?
Luc Montagnier now reenters the story. Having tussled with Gallo over the first HIV discovery, he converged more amicably with Essex and Kanki on this one. Using assay tools provided by the Harvard group, Montagnier and his colleagues screened the blood of a twenty-nine-year-old man from Guinea-Bissau, a tiny country[…]”
...
“The difference between HIV-2 and HIV-1 is the difference between a nasty little West African disease and a global pandemic.”
Excerpt From: David Quammen. “Spillover: Animal Infections and the Next Human Pandemic”. Apple Books.
vendredi 14 février 2020
Ankles: a very complex joint in narrow relationship with the foot
https://blackboard-training.com/en/home-en/
Freeman plate
Other tools for maintaining not only the complex biomechanics but also the cerebellum coordination of the set.
FiveFingers and finger socks.
The “BlackBoard Training System” provides a revolutionary capability for training specific movement patterns of the foot, strengthening neuronal connections, and reintegrating them into everyday life.
Because its two connected platforms can move independently, it allows isolating specific movements of the forefoot and rear foot for training. The movement axes can be placed freely, which in addition to mobilization also supports targeted activation and strengthening of certain (perhaps deficient) muscle groups.
Freeman plate
Other tools for maintaining not only the complex biomechanics but also the cerebellum coordination of the set.
FiveFingers and finger socks.
Police: le scénario du coup de menton pour masquer le laxisme en aval
Marchands d'illusion, Sarko, Valls, Cazeneuve, Collomb et Castaner ont vendu et vendent
la même salade aux stupides électeurs qui votent pour eux. Le Karcher a arrosé Sarko et les Kalashs ont fait peur à Valls à Marseille; la suite est connue une explosion de toutes les violences. Après tout le sang innocent versé par les terroristes voilà que la violence se généralise au coin de votre rue car la règle progressiste c'est l'impunité. Or sans punition il n'y a pas de justice humaine.
Pourquoi? pour des raisons idéologiques. La pensée bourdieusienne s'est ajoutée à celle de Foucault. La violence économique symbolique de la société justifie la contre violence exercée par les assassins et les voleurs. Exit les victimes qui ne sont en fait que les oppresseurs ou les détroussés d'une société qui exploite. Exit les victimes des pédophiles qui ne sont que les plaignards d'une société qui interdit la jouissance sans limite.
Bien sûr aucune action sur le laxisme judiciaire et des promesses intenables de Karcher ou de proximité... |
Le garde des sceaux, les juges ne croient plus à la sanction, la punition, la prison. Ils ressemblent aux psys qui ont voulu mettre tous les malades psychiatriques en liberté... |
Pourquoi? pour des raisons idéologiques. La pensée bourdieusienne s'est ajoutée à celle de Foucault. La violence économique symbolique de la société justifie la contre violence exercée par les assassins et les voleurs. Exit les victimes qui ne sont en fait que les oppresseurs ou les détroussés d'une société qui exploite. Exit les victimes des pédophiles qui ne sont que les plaignards d'une société qui interdit la jouissance sans limite.
Déconstruction par les smart?
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S038800011400151X
Abstract
A folk assumption about colloquial speech is that taboo words are used because speakers cannot find better words with which to express themselves: because speakers lack vocabulary. A competing possibility is that fluency is fluency regardless of subject matter—that there is no reason to propose a difference in lexicon size and ease of access for taboo as opposed to emotionally-neutral words. In order to test these hypotheses, we compared general verbal fluency via the Controlled Oral Word Association Test (COWAT) with taboo word fluency and animal word fluency in spoken and written formats. Both formats produced positive correlations between COWAT fluency, animal fluency, and taboo word fluency, supporting the fluency-is-fluency hypothesis. In each study, a set of 10 taboo words accounted for 55–60% of all taboo word data. Expressives were generated at higher rates than slurs. There was little sex-related variability in taboo word generation, and, consistent with findings that do not show a sex difference in taboo lexicon size, no overall sex difference in taboo word generation was obtained. Taboo fluency was positively correlated with the Big Five personality traits neuroticism and openness and negatively correlated with agreeableness and conscientiousness. Overall the findings suggest that, with the exception of female-sex-related slurs, taboo expressives and general pejoratives comprise the core of the category of taboo words while slurs tend to occupy the periphery, and the ability to generate taboo language is not an index of overall language poverty.
"Even given the limitations in our present understanding, though, the findings of the studies here suggest that itis possible to use our tools as researchers to help dispel commonly-held but inaccurate ideas about taboo language. While taboo words can obviously be offensive and can be associated with negative states, it would be a mistake to overgeneralize these negatively-toned phenomena to taint all uses of swear words, or ascribe undesirable traits to those who use them. Fluency is fluency, people who swear aren’t necessarily otherwise inarticulate, and, arguably, a good taboo lexicon may be considered a complement to the lexicon as a whole, ideally a mechanism for emotional expression of all sorts: anger, frustration, and derogation, but also surprise and elation."
jeudi 13 février 2020
Progressivism is rooted in pedophilia, collectivism and Unacceptability of individualism
L'étrange silence autour du culte de Michel Foucault
Bizarrement, au moment où le camp progressiste ne parle plus que de sexe, de consentement, de harcèlement, exige l'épuration de la littérature et du cinéma, dénonce à longueurs de journées dans les médias la "culture du viol" et la "domination masculine" en invoquant l'autorité du Saint Patron des LGBT Michel Foucault, personne ne remet en question la complaisance de ce dernier à l’égard des crimes pédophiles. Cela semble être un aspect tabou de Foucault, tant son œuvre est devenue un mantra, sa personnalité une vache sacrée. L'icône des minorités opprimées, des trans et des marginaux. Il est même devenu l'auteur le plus cité du monde dans les sciences sociales, les gender studies et les cultural studies des universités du monde entier. Or Michel Foucault a signé avec Dolto, Althusser, Simone Beauvoir et quelques autre sommités intellectuelles, une lettre demandant au gouvernement de l'époque la légalisation de la pédophilie, qu'on appelait pas encore pédocriminalité. Plus tard, dans son Histoire de la sexualité, il fait l'éloge du sado-masochisme, d'une sexualité libertaire, écrit de longs passages pour défendre la pédérastie avec les adolescents, en tant que pratique éthique et philosophique. Et en 1979, dans un entretien à France Culture, il déclare que les enfants sont capables de relations érotiques librement consenties avec des adultes, bien qu'il refusât de parler de sexe, car selon lui la notion de sexualité est utilisée par le pouvoir psychiatrique et judiciaire :
"C’est difficile de fixer des barrières. Une chose est le consentement, une autre est la possibilité pour un enfant d’être cru lorsque, parlant de ses rapports sexuels ou de son affection, de sa tendresse, ou de ses contacts, autre chose donc est la capacité que l’on reconnaît à l’enfant d’expliquer ce qu’il en est de ses sentiments, ce qu’il en a été de son aventure, et la crédibilité qu’on lui accorde. Or, quant aux enfants, on leur suppose une sexualité qui ne peut jamais se porter vers un adulte, et d’un. Deuxièmement, on suppose qu’ils ne sont pas capables de dire sur eux-mêmes, d’être suffisamment lucides sur eux-mêmes. Qu’ils n’ont pas suffisamment la capacité d’expression pour expliquer ce qu’il en est."
Bizarrement, au moment où le camp progressiste ne parle plus que de sexe, de consentement, de harcèlement, exige l'épuration de la littérature et du cinéma, dénonce à longueurs de journées dans les médias la "culture du viol" et la "domination masculine" en invoquant l'autorité du Saint Patron des LGBT Michel Foucault, personne ne remet en question la complaisance de ce dernier à l’égard des crimes pédophiles. Cela semble être un aspect tabou de Foucault, tant son œuvre est devenue un mantra, sa personnalité une vache sacrée. L'icône des minorités opprimées, des trans et des marginaux. Il est même devenu l'auteur le plus cité du monde dans les sciences sociales, les gender studies et les cultural studies des universités du monde entier. Or Michel Foucault a signé avec Dolto, Althusser, Simone Beauvoir et quelques autre sommités intellectuelles, une lettre demandant au gouvernement de l'époque la légalisation de la pédophilie, qu'on appelait pas encore pédocriminalité. Plus tard, dans son Histoire de la sexualité, il fait l'éloge du sado-masochisme, d'une sexualité libertaire, écrit de longs passages pour défendre la pédérastie avec les adolescents, en tant que pratique éthique et philosophique. Et en 1979, dans un entretien à France Culture, il déclare que les enfants sont capables de relations érotiques librement consenties avec des adultes, bien qu'il refusât de parler de sexe, car selon lui la notion de sexualité est utilisée par le pouvoir psychiatrique et judiciaire :
"C’est difficile de fixer des barrières. Une chose est le consentement, une autre est la possibilité pour un enfant d’être cru lorsque, parlant de ses rapports sexuels ou de son affection, de sa tendresse, ou de ses contacts, autre chose donc est la capacité que l’on reconnaît à l’enfant d’expliquer ce qu’il en est de ses sentiments, ce qu’il en a été de son aventure, et la crédibilité qu’on lui accorde. Or, quant aux enfants, on leur suppose une sexualité qui ne peut jamais se porter vers un adulte, et d’un. Deuxièmement, on suppose qu’ils ne sont pas capables de dire sur eux-mêmes, d’être suffisamment lucides sur eux-mêmes. Qu’ils n’ont pas suffisamment la capacité d’expression pour expliquer ce qu’il en est."