Ainsi un gendarme a perdu la vie parce que l'assassin à tiré et tué plusieurs personnes parmi les membres de la communauté gitane. Le fait qu'il ait été alcoolisé au moment des faits est une anecdote.
Ainsi une jeune fille mineure a été égorgée par de courageux males armés de couteaux en pleine après midi dans un parc non gardé.
Ainsi va le pays et les drames s'accélèrent pour ne plus quitter l'actualité quotidienne.
La novlangue politiquement correcte du vivre ensemble de France Info est au maximum, on ne parle pas d'un assassin, mais d'une fusillade comme si les fusils tiraient tout seul. On ne parle pas de maintenir l'ordre autour de l'hôpital qui soigne les blessés à Amiens mais de déployer des policiers pour prévenir des débordements. On ne donne pas de nom (mais ils finissent par filtrer) et on passe sous silence l'orientation religieuse sectaire du "jeune".
En réalité la France fait face à une organisation ultraviolente des communautés et au déchainement de la violence de leurs membres qui ne connaissent que la loi des dites communautés et méprisent la loi de la nation et son état de droit.
Tout ceci se paiera en termes de vies humaines mais aussi de dysruption sociale.
Dans ces conditions inédites depuis la fin de la WWII ce n'est ni la police ni de nouveaux moyens qui rétablieront l'état de droit contrairement à ce qu'affirment les drogués à la dépénse publique.
Les membres de ces mafias communautaires sont lourdement armés, ne craignent pas la justice en raison de peines non dissuasives. Ils ne déposeront les armes que devant l'armée francaise.
Ainsi une jeune fille mineure a été égorgée par de courageux males armés de couteaux en pleine après midi dans un parc non gardé.
Ainsi va le pays et les drames s'accélèrent pour ne plus quitter l'actualité quotidienne.
La novlangue politiquement correcte du vivre ensemble de France Info est au maximum, on ne parle pas d'un assassin, mais d'une fusillade comme si les fusils tiraient tout seul. On ne parle pas de maintenir l'ordre autour de l'hôpital qui soigne les blessés à Amiens mais de déployer des policiers pour prévenir des débordements. On ne donne pas de nom (mais ils finissent par filtrer) et on passe sous silence l'orientation religieuse sectaire du "jeune".
En réalité la France fait face à une organisation ultraviolente des communautés et au déchainement de la violence de leurs membres qui ne connaissent que la loi des dites communautés et méprisent la loi de la nation et son état de droit.
Tout ceci se paiera en termes de vies humaines mais aussi de dysruption sociale.
Dans ces conditions inédites depuis la fin de la WWII ce n'est ni la police ni de nouveaux moyens qui rétablieront l'état de droit contrairement à ce qu'affirment les drogués à la dépénse publique.
Les membres de ces mafias communautaires sont lourdement armés, ne craignent pas la justice en raison de peines non dissuasives. Ils ne déposeront les armes que devant l'armée francaise.
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