La gauche est dans le couloir qui mène à la sortie de l'histoire.
Après avoir envoyé depuis 1789, 1917 et à de multiples reprises les dissidents en asile, ensuite en camps de mort brutale ou lente le socialisme est devenu un asile psychiatrique avec de nombreuses chapelles.
Dans les pays postcommunistes des dictateurs délirants font courir des risques à toute l'humanité en ayant accaparé tous les pouvoirs à la manière d'une mafia aux multiples visages.
À l'ouest l'effondrement de la gauche est masqué par les tentatives désespérées de faire prévaloir ses idées à la Gramsci. Le rouge est devenu vert, noir, woke. Et pourtant les arrivées au pouvoir sont rares et se terminent dramatiquement. Sur le fond c'est un désespoir permanent, une accusation itérative dirigée contre ceux qui créent de la richesse, la haine des uns contre les autres et la lutte de tous contre tous puisque les classes sociales ont cédé la place aux minorités autoproclamées.
C'est un processus assez naturel qui se déroule.
Inadaptée par culture à l'économie de marché, hostile à la concurrence, à la liberté, la gauche constate l'échec de ses idées chaque jour un peu plus. Elle est poussée vers la sortie par un complexe mouvement de psychologie évolutionniste. Pour la majorité qui fait l'histoire le bonheur fondé sur les valeurs de l'Occident, liberté de la science, extraordinaire progrès économique, espérance de vie, qualité de vie sont les progrès factuels et infalsifiables. Les peuples se rendent compte de leur privilège de vivre ici et maintenant.
Le stalinisme et les procès de Moscou avec la collaboration des experts psychiatriques avaient sonné la fin de l'illusion des lendemains chantants. En France Marchais s'entêtait avec son "bilan globalement positif", d'autres ravalèrent la façade avec le socialisme à visage humain, c'est à dire la promesse d'un lendemain avec un nouveau visage. Las! Les peuples avec leur boussole vont toujours vers la liberté et en 91 ils traversèrent en Brabant vers l'Ouest. Les Chinois fuirent la répression après Tien an Men, les Russes la conscription en Février 2022 etc. Rien n'y fait ni l'intense propagande de la Russie et de la Chine, ni les mensonges de Mélenchon ni les promesses de Chavez. Ces petits tribuns bien utiles aux totalitaires que certains à droite caressent dans le bon sens pour avoir un petit frisson.
Le stalinisme et les procès de Moscou avec la collaboration des experts psychiatriques avaient sonné la fin de l'illusion des lendemains chantants. En France Marchais s'entêtait avec son "bilan globalement positif", d'autres ravalèrent la façade avec le socialisme à visage humain, c'est à dire la promesse d'un lendemain avec un nouveau visage. Las! Les peuples avec leur boussole vont toujours vers la liberté et en 91 ils traversèrent en Brabant vers l'Ouest. Les Chinois fuirent la répression après Tien an Men, les Russes la conscription en Février 2022 etc. Rien n'y fait ni l'intense propagande de la Russie et de la Chine, ni les mensonges de Mélenchon ni les promesses de Chavez. Ces petits tribuns bien utiles aux totalitaires que certains à droite caressent dans le bon sens pour avoir un petit frisson.
C'est pourquoi le sentiment d'avoir perdu toute chance raisonnable de faire triompher la cause conduit à la violence dans un premier temps. Au suicide collectif dans un second.
Casser, détruire physiquement, agresser, blesser, tuer et finalement préparer un effondrement collectif qui nous engloutira est l'agenda de cette violence qui se déchaîne dans les pays qui associent un état de droit déficient et un assistanat extravagant.
La France est dans ce cas. Ce n'est pas la lutte finale c'est la dernière lutte. Tout détruire y compris les personnes puisqu'on ne peut gagner ni dans les urnes ni dans la rue.
Bien sûr ces gens sont encore dangereux car ils ont de nombreuses cinquièmes colonnes, car en face d'eux se dressent des génies lilliputiens qui ont liquidé notre capacité de production, notre source autonome d'énergie et notre défense dans le cadre des conflits de haute intensité, car les populations européennes vivent pour l'instant bien au dessus de tous les autres continents excepté l'Amérique du Nord.
La haine, la lutte des classes, la jalousie, le déclassement des idées, le wokisme dans toutes ses variantes sont des poisons pour la santé mentale. Bien sûr ce n'est pas la pandémie qui est à l'origine de ce désastre, c'est depuis des décennies, depuis que la gauche est entrée de plein pied dans la déconstruction à la hache. Que Derrida, Deleuze, Foucault, Bourdieu et Butler animent jour et nuit dans une obsession pathologique ses passions tristes et suicidaires. Cette grande psychose collective est une maladie grave. Elle porte atteinte à ce que l'Occident porte de plus essentiel, la vie, la personne humaine, la liberté, l'élévation, le sacré, entreprendre, créer et partager par l'échange.
Même si l'évolution des cerveaux la défavorise un accident est vite arrivé. L'Ukraine est en train de payer le prix du sang de ce genre d'accident historique comme en 1945 les pays frères d'Europe centrale. Il ne faut rien céder à ce trou noir.
Casser, détruire physiquement, agresser, blesser, tuer et finalement préparer un effondrement collectif qui nous engloutira est l'agenda de cette violence qui se déchaîne dans les pays qui associent un état de droit déficient et un assistanat extravagant.
La France est dans ce cas. Ce n'est pas la lutte finale c'est la dernière lutte. Tout détruire y compris les personnes puisqu'on ne peut gagner ni dans les urnes ni dans la rue.
Bien sûr ces gens sont encore dangereux car ils ont de nombreuses cinquièmes colonnes, car en face d'eux se dressent des génies lilliputiens qui ont liquidé notre capacité de production, notre source autonome d'énergie et notre défense dans le cadre des conflits de haute intensité, car les populations européennes vivent pour l'instant bien au dessus de tous les autres continents excepté l'Amérique du Nord.
La haine, la lutte des classes, la jalousie, le déclassement des idées, le wokisme dans toutes ses variantes sont des poisons pour la santé mentale. Bien sûr ce n'est pas la pandémie qui est à l'origine de ce désastre, c'est depuis des décennies, depuis que la gauche est entrée de plein pied dans la déconstruction à la hache. Que Derrida, Deleuze, Foucault, Bourdieu et Butler animent jour et nuit dans une obsession pathologique ses passions tristes et suicidaires. Cette grande psychose collective est une maladie grave. Elle porte atteinte à ce que l'Occident porte de plus essentiel, la vie, la personne humaine, la liberté, l'élévation, le sacré, entreprendre, créer et partager par l'échange.
Même si l'évolution des cerveaux la défavorise un accident est vite arrivé. L'Ukraine est en train de payer le prix du sang de ce genre d'accident historique comme en 1945 les pays frères d'Europe centrale. Il ne faut rien céder à ce trou noir.
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