Genomics of suicide (including epigenetics)

https://www.nature.com/articles/s41380-018-0282-3#Sec1
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2352396419300775

Let us begin with the transition.

TABLE 2.1 Some Most Evident Differences Associated With Modernization
 Traditional societies
• Big and stable families
• Adherence to traditions and strict rules, morals, religiosity
• Stability, slow pace of social changes
• High family and community cohesion
• Low anxiety and depression

Modernistic societies
• Unstable and incomplete families
• Competitiveness, priority of personal success, liberalism
• Mobility, high speed of social changes
• Individualism, materialism
• High anxiety and depression
• Technologies and information pressure


Epigenetics
As can be seen from the table, there is an evolution of definitions from rather generalized “processes by which genotype gives rise to phenotype” to more focused “phenotypic variations that do not stem from variations in DNA base sequences and are transmitted to subsequent generations of cells or organisms.” Half of definitions are negative, that is, they stress that epigenetics is based on molecular events that are not touching DNA base sequences. It is, therefore, necessary to give a brief description of these events on the biochemical level and to outline mechanisms of epigenetic inheritance, that is, how these molecular events can pass through mitosis and meiosis. Most sophisticated molecular mechanisms that surround these events are far beyond the scope of this book; actually, they can be deeply understood only by those who are specializing in modern molecular genetics. On the contrary, any medical or psychological specialist, who has been educated in the classical tradition, may need an objective picture of these events (as the author has felt himself when was first confronted by a flow of studies and evidence of new mechanisms)

3. What Is Epigenetics? Is It Transgenerational? . TABLE 3.1 

Different Definitions of Epigenetics in a Historical Perspective (No. Definition Sources)


1 Study of the processes by which genotype gives rise to phenotype Waddinhton (1942) (cited by Wu & Morris, 2001)
2 The branch of biology which studies the causal interaction between genes and their products, which brings the genotype into being Waddington (1942) (cited by Goldberg, Allis, & Bernstein, 2007)
3 Study of the changes in gene expression which occur in organisms with differentiated cells, and the mitotic inheritance of given patterns of gene expression Holliday (1994)
4 Nuclear inheritance which is not based on differences in DNA sequence Holliday (1994)
5 The study of changes in gene function that are mitotically and/or meiotically heritable and do not entail a change in DNA sequence Wu and Morris (2001)
6 The study of stable alterations in gene expression potential that arise during development and cell proliferation Jaenisch and Bird (2003)
7 Heritable changes in gene expression that cannot be tied to genetic variation Richards (2006)
8 The study of any potentially stable and, ideally, heritable change in gene expression or cellular phenotype that occurs without changes in Watson–Crick base-pairing of DNA Goldberg et al. (2007) 9 An epigenetic trait is a stably heritable phenotype resulting from changes in a chromosome without alterations in the DNA sequence Berger, Kouzarides, Schickhattar, and Shilatifard (2009)
10 The study of the processes that underlie developmental plasticity and canalization and that bring about persistent developmental effects in both prokaryotes and eukaryotes Jablonka and Raz (2009) 11 Epigenetic inheritance … occurs when phenotypic variations that do not stem from variations in DNA base sequences are transmitted to subsequent generations of cells or organisms



Homosexuality is not "constructed"

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/7611338
Adults raised in lesbian families are not leaned to be homosexual.

CRISPR: the EU has no ambition and a lot of brakes

Our medical research capacities are not turned toward the future. Regulations, precautionary principle, vilifying genetic scientific research, lack of space for disruptive research in our academic world, obstruction of new candidates by the crony careerism in national agencies are among the main causes...



Martin-Laffon, J., Kuntz, M., & Ricroch, A. E. (2019). Worldwide CRISPR patent landscape shows strong geographical biases. Nature Biotechnology, 37(6), 613–620. doi:10.1038/s41587-019-0138-7 

Unleash innovation to spur growth in Europe

Is it only bla bla?
https://ec.europa.eu/docsroom/documents/35892

AI will be preceded by small in vitro biological human brains

I think that AI will arrive. Perhaps it will be preceded by biological neural networks that think. it is my bet.

Libéralisme le mot fourre tout qui permet de s'affranchir du marché libre et de passer pour un humaniste

Grand spécialiste de la pensée libérale, le philosophe Alain Laurent garde un œil acéré sur la production intellectuelle contemporaine qu’il aime confronter aux classiques. L’Opinion publie un extrait d’un article consacré aux «dérives progressistes» du libéralisme publié dans le n°5 du Journal des libertés (une publication de l’Association pour la liberté économique et le progrès social et de l’Institut de recherches économiques et fiscales.) L’éditeur des Belles lettres revient sur l’origine de l’acception du mot «libéral» en américain.
« Dans le cadre de l’extension du domaine de la lutte contre l’intox de fake news ayant réussi à envahir et parasiter l’histoire des idées en faisant passer un faux libéralisme pour le vrai, il faut rétablir les faits, redonner droit de cité à l’impératif de cohérence et tenir affabulations et falsifications pour ce qu’elles sont.
Que des penseurs convoqués pour incarner l’émergence d’un « nouveau libéralisme », puis la substitution de celui-ci au libéralisme historique sous le nom de « libéralisme moderne » ou « social » soient tous anglo-saxons (un Britannique et deux Américains) suggère la piste à remonter pour établir l’origine et la réalité de la tromperie sur marchandise suite à l’imposition d’un label usurpé. Quand, dans les années 1925-1930, Dewey et Keynes publient leurs ouvrages respectifs où ils défendent la thèse d’un « nouveau libéralisme » étatisé et socialisé, le contenu du terme liberalism a depuis longtemps déjà subi une forte inflexion en ce sens au Royaume-Uni. [...] Lorsqu’en 1925 Keynes répond affirmativement à son interrogation Am I a Liberal ?, c’est dans cette acception radicalement revue et corrigée qu’il faut le comprendre, il n’a fait que prendre en marche un train lancé il y a alors presque un demi-siècle. Et quand le promoteur historique du Welfare State au Royaume-Uni, Lord Beveridge, publie en 1945 Why I Am a Liberal, c’est bien naturellement aussi dans cette version social-étatiste qu’il convient d’interpréter sa profession de foi. Le cas de Dewey est un peu différent. Outre-Atlantique, cette version social-étatiste du liberalism venait tout juste de commencer à se diffuser par capillarité avec les cousins britanniques de même orientation idéologique. Mais c’est assurément Dewey qui, en la reprenant à son compte dans son libelle de 1935, va lui donner un large écho et l’imprimer dans un contexte américain où il n’avait auparavant pratiquement jamais été question de libéralisme.
Détournement lexical. Le plus étonnant mais aussi désastreux de l’histoire, c’est bien que cette altération du vocable « libéralisme » dans un sens gauchisé en totale contravention avec le legs de l’histoire des idées mais aussi la simple logique des concepts a été repérée, critiquée et souvent dénoncée par un nombre impressionnant et varié de lanceurs d’alerte et non des moindres comme on va pouvoir en juger – mais que face à son importation en France, pratiquement personne chez les chroniqueurs, commentateurs et autres auteurs traitant du libéralisme n’en tient compte, sans doute pas par hasard. C’est donc avant tout à leur usage que l’on va rigoureusement documenter ces « signalements » d’imposture intellectuelle.
En Europe, c’est ni plus ni moins que Ludwig von Mises qui, le premier en date, sonne le tocsin. Dès 1922, dans son Sozialismus, il avait décelé la supercherie en observant que « les “libéraux” anglais d’aujourd’hui sont plus ou moins des socialistes modérés ». Une clairvoyante caractérisation réitérée peu après en 1927 dans Liberalismus où il note d’emblée qu’« en Angleterre, il y a certainement encore des “libéraux”, mais la plupart d’entre eux ne le sont que de nom. En fait, ce sont plutôt des socialistes modérés. ». Et dans l’Annexe II de l’ouvrage intitulée A propos du terme libéralisme, il se fait plus explicite et mordant : « Presque tous ceux qui se prétendent de nos jours “libéraux” refusent de se prononcer en faveur de la propriété privée des moyens de production et défendent des mesures en partie socialistes et interventionnistes… » Il s’écoulera ensuite un certain temps avant que, sur le vieux continent, des voix s’élèvent pour pointer le dévoiement de sens infligé au terme « libéralisme » et incriminer le brouillage conceptuel tout sauf innocent qui en résultait.
Ce sera chose faite peu après la fin de la Seconde Guerre mondiale, et pas par n’importe qui. C’est d’abord Raymond Aron qui s’en charge, en relevant dans son célébrissime et si salutaire Opium des intellectuels (1955) que « ce libéralisme [celui du « New Deal » de Roosevelt] ressemblait à celui de la gauche européenne plus qu’à aucune autre époque, puisqu’il comportait des éléments, atténués et américanisés, du socialisme (du travaillisme plutôt que du socialisme autoritaire) ». Deux ans plus tard, dans Espoir et peur du siècle (1957), il se montre plus incisif en indiquant à propos des libéraux américains que « ce mot n’a pas aux États-Unis le sens qu’il a en France. Le mot ne désigne ni les défenseurs des institutions représentatives ou des libertés personnelles, ni les économistes partisans des mécanismes du marché. Les libéraux américains constituent l’équivalent de la gauche française, ils souhaitent des réformes économiques dans un sens favorable aux masses. Je mettrai en italiques le mot libéralquand je l’emploierai dans le sens américain. » [...]
De l’autre côté de l’Atlantique, la réaction à l’« usurpation » et au gauchissement a été presque immédiate mais aussi plus vigoureuse. Dès 1928, le pré-libertarien Albert Jay Nock tempête : « De tous les hommes que je connais, les “liberals” sont ceux qui ont la plus grande horreur de la liberté, la plus grande crainte d’envisager une humanité vivant dans une libre association volontaire » (On Doing the Right Thing). Aux lendemains de la Seconde Guerre mondiale, deux penseurs et économistes de grand renom prennent part à la contre-offensive. Fondateur historique de l’Ecole de Chicago, Frank Knight signale dans The Sickness of the Liberal Society (1946) que « le nouvel usage du mot “libéralisme” pour signifier un supposé étatisme démocratique – socialisme ou planification économique – nous oblige maintenant à explicitement restreindre le terme à la conception qui apparut sous ce nom dans la théorie de la philosophie sociale au XIXe siècle » – à savoir le seul « vrai » libéralisme.
Hayek: « Dans son usage courant aux Etats-Unis, le libéralisme signifie souvent essentiellement l’opposé de celui-ci. Cela fait partie du camouflage des mouvements de gauche dans ce pays que “libéralisme” en soit venu à vouloir dire: être l’avocat de la plupart des formes de contrôle gouvernemental »
Et Joseph Schumpeter (qu’on aura bien du mal à faire passer pour un horrible « ultra-libéral ») constate le plus objectivement du monde dans le chapitre II de la IIIe partie de son Histoire de l’analyse économique (1954) : « Le terme [libéralisme] a acquis un sens différent – en fait opposé – depuis 1900 et surtout 1930 : comme un suprême mais non-intentionnel compliment, les ennemis du système de l’entreprise privée ont jugé sage de s’en approprier le label. » Hayek pouvait-il demeurer en reste ? Que non pas, puisque dans la préface à la réédition américaine en poche (1956) de The Road of Serfdom, il juge nécessaire de préciser : « J’utilise le terme “libéral” dans son sens originel du XIXe siècle qui est toujours courant en Grande-Bretagne. Dans son usage courant aux Etats-Unis, il signifie souvent essentiellement l’opposé de celui-ci. Cela fait partie du camouflage des mouvements de gauche dans ce pays que “libéralisme” en soit venu à vouloir dire : être l’avocat de la plupart des formes de contrôle gouvernemental. »
Libéralisme collectiviste. On pourrait encore, toujours dans le contexte américain de l’époque, mentionner l’appréciation du « libertarian conservative » Frank Meyer (1909-1972) qui, dans In Defense of Freedom (1962), déplorant que « le terme “libéralisme” a été depuis longtemps capturé par les partisans d’un Etat tout-puissant et d’une économie contrôlée – et corrompu en l’opposé de son vrai sens », qualifie le « libéralisme » à l’américaine de… « collectivist liberalism ». Ou celle d’Ayn Rand, pour qui « les “libéraux” ont peur d’identifier leur programme par son vrai nom, ils justifient chaque nouveau pas ou chaque nouvelle mesure de ce qui est en fait de l’étatisme en les dissimulant par des euphémismes tels que “Welfare State”, “New Deal”, “New Frontier”… » (Conférence à Princeton le 7 novembre 1960). Mais le forfait étant dûment maintenant établi, il est temps de conclure en revenant en Europe et plus particulièrement en France en donnant sur ce point la parole finale à Jean-François Revel : « “Libéraux” désigne, on le sait, aux États-Unis, une sorte d’extrême gauche du parti démocrate. Sans être organisé politiquement, ce “libéralisme” exerce une influence diffuse mais souveraine grâce aux place-fortes qu’il commande dans la presse, l’édition et les universités. C’est évidemment le contraire du libéralisme au sens classique, lequel, d’ailleurs, en Amérique, répond à la dénomination de classical liberalism, pour éviter la confusion. »


En réalité c'est tout à fait différent à mon avis. le mot a été et continue à être abusé par des gauchistes libertaires qui dissertent du cannabis, du mariage entre homosexuels et d'ouvrir encore plus les frontières... Ces gens ne méritent pas une seconde de débat.

mercredi 4 septembre 2019

Certainty of uncertainty is a fact but measuring uncertainty is a tool

In medicine, uncertainty is a fact which not must be forgotten. In the same time, we must measure this uncertainty as this measure is the main guideline to build rational advice.

Le monopole de l’assurance maladie n’a aucune volonté pour supprimer la fraude/ The mandatory tax-funded illness insurance in France will never be reformed by itself especially about fraud

https://www.bfmtv.com/economie/la-fraude-aux-numeros-de-secu-couterait-14-milliards-d-euros-par-an-1592628.html


https://fr.theepochtimes.com/fraude-sociale-constat-alarmiste-et-propositions-choc-pour-peser-dans-le-debat-parlementaires-1008353.html?fbclid=IwAR1nYITusqllj98dv2pwtoTlb6VUFGzkFgoQVG8dY0FdLdVC1qt7f6J-Ub4

https://www.ifrap.org/emploi-et-politiques-sociales/fraude-sociale-un-rapport-detape-detonnant?fbclid=IwAR2AOsPSL66pDhy83GXI-zYDz3BqT7IDevoGStDvGwBxMst5YEW2R7LKG9Y


The mandatory tax-funded illness insurance in France will never be reformed by itself.

Fraud: Let's first reason with common sense

It's a bit like the malus bonus of auto insurers. All I knew was to redo their bodywork by defrauding them. Well, we are here with the state illness insurance. Everyone has observed fraud behaviour. Blackwork during an AT, much longer uncontrolled for a banal intervention (varicose veins, strabismus ...), "medical" transport undue. Serial purchases 100% of drugs that are quietly exported ... Allocations various abused ... If this is noted by many of us is that the iceberg is huge. It's common sense or Bayesian reasoning.
Then you have to explain why. Two major reasons, the first is ideological, that security is led by the unions that have turned into a social redistribution agency paid by mandatory contributions on salaries, immediate or delayed taxes (public debt) or a public deficit. That's why the Médef lets it go. Social peace, I am talking about the solvency of trade union deficits, is paid by taxes, they don't care.
The second is linked to a monopoly that is financially irresponsible and which is a state in the state that allows it to not meet the criteria of transparency. No open data, opacity, no declaration of subsidies by households, no tax declaration, no capping, no crossing of the files.

"Fraude: raisonnons d'abord avec le bon sens
C'est un peu comme avant le bonus malus des assureurs autos. Tout le monde savait que certains faisaient refaire leur carrosserie en fraudant. Et bien nous en sommes là avec la sécu. TOUT le monde a observé des comportements de fraude. Travail au noir pendant un AT, AT beaucoup plus long non controlé pour une intervention banale (varices, strabisme...), transport "médical" indu. Achats en série à 100% de médicaments qui sont tranquillement exportés... Allocations diverses abusées... Si cela est constatable par beaucoup d'entre nous c'est que l'iceberg est énorme. C'est du bon sens ou un raisonnement bayésien.
Ensuite il faut expliquer le pourquoi. Deux raisons majeures, l'une idéologique car la sécu est dirigée par des syndicats qui la considèrent comme une agence de redistribution sociale payée par les cotisations ET l'impôt immédiat ou retardé (dette) en cas de déficit. Voilà pourquoi le Médef laisse faire. La paix sociale, je veux parler de la solvabilisation des agapes des déficits syndicaux, est payée par l'impôt et la dette.
La deuxième est liée au monopole qui est irresponsable financièrement et qui est un état dans l'état ce qui lui permet de ne pas répondre aux critères minimums de transparence. Pas d'open data, opacité, aucune affectation des aides par foyer, aucune déclaration fiscale, aucun plafonnement, aucun croisement des fichiers."





Some historical roots:
Les retraites par répartition sont un système Ponzi (5) ou du Madoff (4)et la retraite par POINTS n'y changera rien
● Madoff qui a repris ce modèle de Ponzi est en prison à perpétuité !
Nos " IRRESPONSABLES " et non coupables, quand à eux qui ont pérennisé ce système, ils siègent aux plus hautes juridictions de l'Etat : Conseil constitutionnel, Conseil d'État etc..
● Mitterrand ancien vichyiste decoré de la Francisque et Jospin ancien trotskistes avec Aubry, DSK socialistes caviar, n'ont fait qu'accentuer les problèmes avec la retraite à 60 ans et les 35 heures. La droite n'a jamais remis en question CE modèle social issu de fascistes et communistes CGTistes !
● Quand à celui qui a créé la CNAV en 1941, René Belin (1) ex CGTiste ayant tourné sa veste en 40 après la débâcle, vichyiste, il a été également l'organisateur de la solution finale juive en France, un collabo zêlé !
Jamais la Justice ou quiconque ne l'a inquiété, puisqu'il à mis en place le modèle de retraites que " le monde entier nous envie et auxquels les français sont très attachés " !
Cette répartition Madoff (4) ou Ponzi (5) est né par la confiscation des retraites par capitalisation individuelles.
● La Loi Sapin II a préparé le terrain en permettant de bloquer, ou se servir sur les comptes épargnes: au delà de 100 mille euro, garantis par l'Etat en faillite, donc VOUS par un alourdissement de la fiscalité, par " SOLIDARITÉ ou JUSTICE SOCIALE " !
● Pierre Laroque (2) étatiste sous Vichy, entrés au cabinet de René Belin, est le Père de la Sécurité Sociale de 45 , imaginé par lui et dont le " marketing " a été assuré par Ambroise Croizat (3) CGTiste communiste membre de l'internationale socialiste inféodé à l'URSS.
● Emmanuel Macron et Agnès Buzyn vont :" ADAPTER les retraites " et " ADAPTER le modèle social français aux nouvelles formes de pauvretés ", selon leurs dire respectifs.
En d'autres termes poursuivre l'oeuvre des étatiste vichyiste et communistes par un nivellement par le bas, en prenant aux fourmis du régime général et des régimes autonomes des indépendants et libéraux CNAVPL pour exemple, pour renflouer les cigales des régimes spéciaux privilégiés, afin de conserver la paix sociale et EN MÊME TEMPS équilibrer les déficits publics dont la Sécu privé fait partie .
Si l'objectif de l'UNIVERSALITÉ des retraites est en soit louable, on peut craindre que d'une part elle se fasse toujours au détriment des régimes professionnels non privilégiés, d'autre part en gardant des exceptions pour les plus privilégiés des régimes spéciaux.
Quand à la retraite par POINTS, si pour 1 €, chacun touchera le même nombre de POINTS, ces POINTS diminueront au fil du temps du fait du déséquilibre démographique actifs/ retraités, baisse de la natalité, augmentation de l'espérance de vie !
On en arrivera à ce que chaque actif donne la moitié du fruit de son travail à un retraité !
En conséquent, il y aura une paupérisation croissante, la jeune génération ne pourra plus financer : les soins, la retraite, les EHPAD de leurs parents ; le train de vie de la nouvelle aristocratie d'oligarques dans un État obèse et pléthorique en administratifs " bullshitjobs " et ses X commissions Théodules INUTILES en doublons ou triplons.
Notre modèle social étatique dirigiste liberticide inégalitaire en droits..., que " le monde entier nous envie et auxquels les français sont très attachés ", risque de effondré dans les larmes et le sang.....
L'URSS s'est effondrée à 61% de dépenses publiques, la France en est à 57 % et est en faillite avec environ 10 000 milliards d'euros de dettes en y incluant les dettes du "hors bilan ", la partie immergée de l'iceberg dont seulement 2400 milliards d'euros sont visibles selon les critères comptables de l'UE.
" On ne peut pas changer le passé mais on peut changer le futur "
Des alternatives existent, la France pourrait s'inspirer du modèle chilien (6). L'aurions nous fait lorsque tout les voyants étaient au rouge , sous Mitterand décoré sous Vichy de la Francisque ou sous Jospin ancien trotskistes, au lieu des choix électoralistes, retraite à 60 ans, 35 heures , nous serions aujourd'hui sortis de cette IMPASSE Ponzi !
En réformant vraiment notre modèle social INTENABLE, en rétablissant un Droit du sang, en inscrivant par ailleurs l'équilibre budgétaire dans la Constitution etc..., on pourrait limiter les dégâts de cette Dictature sanitaire et sociale ! Comme l'a prédite Ayn Rand :" La différence entre un État providence (déresponsabilisant et infantilisant à crédit pour endetter les générations futures), n'est qu'une question de temps "
Frédéric Bastiat en 1850 était déjà un visionnaire en décrivant ce que serait une sécurité sociale sous tutelle de l'Etat ! (7)
"On ne peut qu'être frappé par l'acuité avec laquelle ce brillant économiste a dépeint notre sécurité sociale actuelle, il y a un siècle et demi" -
E.W.M.
(1)》 René Belin communiste CGTiste puis vichyiste Ministre du travail en 1941 》》
(2)》 Pierre Laroque qui a imaginé la Sécu sous Vichy, au cabinet de René Belin 》》
(3)》 Ambroise Croizat membre du Komintern communiste, CGTiste ...》》
(4) 》 Bernard Madoff 》》
(5) 》Charle Ponzi et système Ponzi
Un système de Ponzi est un montage financier frauduleux qui consiste à rémunérer les investissements des clients essentiellement par les fonds procurés par les nouveaux entrants. Si l'escroquerie n'est pas découverte, elle apparaît au grand jour au moment où elle s'écroule, c'est-à-dire quand les sommes procurées par les nouveaux entrants ne suffisent plus à couvrir les rémunérations des clients
(6) 》Le modèle de retraite chilien qui marche 》》
(7) 》Texte prémonitoire de Frédéric Bastiat de la sécurité sociale 》》

Sodium-cooled nuclear reactors

France drops plans to build sodium-cooled nuclear reactor
PARIS (Reuters)  Environment - August 30, 2019 / 9:12 AM / 2 days ago
France’s CEA nuclear agency has dropped plans to build a prototype sodium-cooled nuclear reactor, it said on Friday, after decades of research and hundreds of millions of euros in development costs.
Confirming a report in daily newspaper Le Monde, the state agency said it would finalize research in so-called “fourth generation” reactors in the ASTRID (Advanced Sodium Technological Reactor for Industrial Demonstration) project this year and is no longer planning to build a prototype in the short or medium term. 
“In the current energy market situation, the perspective of industrial development of fourth-generation reactors is not planned before the second half of this century,” the CEA said. 
In November last year the CEA had already said it was considering reducing ASTRID’s capacity to a 100-200 megawatt (MW) research model from the commercial-size 600 MW originally planned. 
Le Monde quoted a CEA source as saying that the project is dead and that the agency is spending no more time or money on it. 
Sodium-cooled fast-breeder reactors are one of several new designs that could succeed the pressurized water reactors (PWR) that drive most of the world's nuclear plants. [tinyurl.com/y84d2hvc]
In theory, breeders could turn nuclear waste into fuel and make France self-sufficient in energy for decades, but uranium prices have been on a downward slope for a decade, undermining the economic rationale for fast-breeder technology. 
There are also serious safety concerns about using sodium instead of water as a reactor coolant. 
Since sodium remains liquid at high temperatures - instead of turning into steam - sodium reactors do not need the heavy pressurized hulls of PWRs. But sodium burns on contact with air and explodes when plunged into water. 
An earlier French model was scrapped in the 1980s after encountering major technical problems. 
The ASTRID project was granted a 652 million euro ($723 million) budget in 2010. By the end of 2017 investment in the project had reached 738 million euros, according to public auditor data quoted by Le Monde. 
The CEA said a revised program would be proposed by the end of the year for research into fourth-generation reactors beyond 2020, in line with the government’s long-term energy strategy. 
Reporting by Geert De Clercq; Editing by Leigh Thomas and David Goodman