samedi 28 septembre 2019

The counter-offensive of progressivism is gaining center-left Le Figaro newspaper

http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2018/06/25/31001-20180625ARTFIG00270-pourquoi-l-union-des-droites-est-une-chimere.php

An article without tail or head that could be sponsored by the "macronie" as it helps a second five-year "ultraliberal" five years term. I put quotation marks because some might not recognize the derision. Thus our student sees in history only an iterative repetition of the past. Not a very new idea. The pitfall in navigation is not inevitable even in stormy weather and it is precisely here that the victories are made. There is in this article, much too long for the few ideas that it contains, a dominant thread: all that is not fiercely progressive in France is irremediably marked by the inevitability of the past failures of the conservatives. He would have to make a little room, in his panorama, to "the betrayal of clerics" and at the same time take a step back, ie a larger scale. Indeed using a magnifying glass to look after differences in french right-wing thinkers is the best way to deepen the so-called unpassable gaps. The author forgets an eternal characteristic of history including politics: disruption is possible for any individual who has the courage and support. The only way he could be right is a tragical perspective where progressivists and conservatives would be overcome by Islamism.
"The speech of a renewed right would be to make a distinction between a" we "that includes all goodwill ready to reweave a social and cultural feeling of political community ... Also, political sovereignty must be approached by the detour of the social, and very precisely, on points as cleaving as the regulation of the banking system, controls of capital and tools whose monetary and legal independence would be endowed. "
In fact, at second reading, it's old Asselineau in a delusional conceptual jumble. The franchouillard cognitive delay in its deadly brightness explaining the decline. What does he want to regulate more at the banks our student in philosophy? What does he know about the banking system? It is true that the communo-sovereignists are annoyed. Rates are zero or negative and not a communist-sovereignist entrepreneur to create businesses and jobs. The barrier of the money to zero is in the process of exposing their social nullity even their social nuisance: nothing to do, without entrepreneurs it is the decline, with philosophers it is tragic illusions.

I could also add a longer verse on what he calls capital control. Alas, this philosopher is already at Piketty's.





Un article sans queue ni tête qui pourrait être parrainé par la "macronie" car il aide un deuxième mandat "ultralibéral" de cinq ans. Je mets des guillemets parce que certains pourraient ne pas reconnaître la dérision. Ainsi, notre étudiant ne voit dans l'histoire qu'une répétition itérative du passé. Pas une idée très nouvelle. Le piège de la navigation n’est pas inévitable, même par temps orageux et c’est précisément là que les victoires sont remportées. Il y a dans cet article, trop long pour les quelques idées qu'il contient, un fil conducteur: tout ce qui n'est pas farouchement progressiste en France est irrémédiablement marqué par l'inévitabilité des échecs passés des conservateurs. Il lui faudrait faire un peu de place, dans son panorama, à "la trahison des clercs" et en même temps prendre du recul, c'est-à-dire une plus grande échelle. En effet, utiliser une loupe pour traiter les différences entre les penseurs français de droite est le meilleur moyen d’approfondir ce que l’on appelle des lacunes impossibles à combler. L'auteur oublie une caractéristique éternelle de l'histoire, y compris la politique: la rupture est possible pour tout individu qui a le courage et le soutien. La seule façon dont il pourrait avoir raison est une perspective tragique où les progressistes et les conservateurs seraient vaincus par l'islamisme.
"Le discours d'une droite rénovée serait de faire une distinction entre un «nous» qui comprendrait toutes bonnes volontés prêtes à retisser un sentiment social et culturel de communauté politique... Aussi la souveraineté politique doit-elle s'aborder par le détour du social, et ce de manière très précise, sur des points aussi clivants que la régulation du système bancaire, des contrôles des capitaux et des outils dont l'indépendance monétaire et juridique permettrait de se doter."
En réalité, à la deuxième lecture, c'est du vieil Asselineau dans un fatras conceptuel délirant. Le retard cognitif franchouillard dans son éclat mortifère expliquant le déclin. Que veut-il réguler de plus chez les banques notre étudiant en philo? Que connaît-il du système bancaire? Il est vrai que que les communo-souverainistes sont embêtés. Les taux sont à zéro ou négatifs et pas un entrepreneur communo-souverainiste pour créer des entreprises et des emplois. La barrière de l'argent à zéro est en train de mettre à nu leur nullité sociale voire leur nuisance sociale: rien à faire, sans des entrepreneurs c'est le déclin, avec des philosophes c'est de tragiques illusions. 

Je pourrais aussi ajouter un couplet plus long sur ce qu'il appelle le contrôle des capitaux. Las, ce philosophe est déjà chez Piketty.

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