mardi 21 mai 2019

Animaux, viande, homme


Qu'on le veuille ou non il n'y a pas de différence fondamentale entre un chimpanzé et nous. Et ainsi de suite en remaontant la chaine des mammifères. Il y a des différences mais le simple fait qu'il faille les lister suffit à conclure que nous sommes dans une même évolution. Si bien que le fait de manger certains animaux est une prédation, une nécessité de survie. Et nous survivons grace à la prédation et la reproduction. C'est dans le déni de notre nature que réside le germe de l'interdiction de manger des animaux ou de se reproduire ou de tout autre attitude qui conduit à une moindre probabilité de transmission de nos gènes. Ce qui est relativement facile à démontrer c'est que l'humain a un plus grand degré de liberté quant à ses choix essentiellement en rapport avec le développement de son intelligence qui a permis une prédation plus sure et donc une expansion majeure de l'espèce. Dans ce cadre l'homme a aussi permis le développement de dérives totalitaires et l'interdiction de la viande par un état est une dérive totalitaire qui n'est pas à exclure tout en étant peu probable.

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