samedi 5 mai 2018

Violence in France: a leftist choice from Paris to St André de Cubzac and elsewhere

https://www.sudouest.fr/2018/05/05/saint-andre-de-cubzac-33-robert-menard-violemment-bouscule-5032963-3072.php


Ce qui est le plus significatif c'est le titre au dessous de la photo: une arrivée mouvementée.
La France n'est plus depuis longtemps un pays de liberté. la violence gauchiste et le crime islamiste façonne la vie des français mais les médias, les politiciens de gauche crient toujours au danger de l'extrême droite.

Some truths about leftists and why they don't deserve respect: the Fillon trial, a state affair illustrating the ties between leftists judges and Élysée palace

FIGAROVOX.- Un an après l'élimination de François Fillon au second tour de la présidentielle, l'affaire semble au point mort. Comment expliquez-vous cette lenteur après la rapidité de sa mise en examen?
Hervé LEHMAN.- Le rythme actuel de la procédure visant François Fillon est normal, c'est-à-dire conforme à la durée habituelle des procédures d'instruction. Ce qui est stupéfiant, c'est la rapidité avec laquelle l'affaire a été traitée au début, comme si on avait voulu éliminer le principal candidat de l'opposition. Comme il était procéduralement impossible de faire comparaitre François Fillon devant un tribunal dans les quelques mois de l'élection présidentielle, on a choisi d'ouvrir une instruction qui permettait sa mise en examen, cette pré-condamnation des présumés innocents.
À peine l'instruction ouverte, les juges d'instruction ont été désignés; à peine désignés ils ont convoqué, après avoir étudié le dossier pendant le week-end, François et Penelope Fillon pour les mettre en examen. Où était l'urgence? L'affaire remontait à plusieurs années… Certains disent: oui, mais si François Fillon avait été élu, il aurait bénéficié de l'immunité présidentielle pendant son quinquennat et l'affaire aurait été bloquée. Si c'est bien le raisonnement suivi par les juges, cela signifierait qu'ils avaient conscience que la mise en examen allait empêcher François Fillon d'être élu. C'est cette interférence du judiciaire dans le processus électoral qui pose un problème.
L'ancien directeur du FBI, James Comey, vient d'écrire dans son livre qu'il avait eu conscience de nuire à la campagne d'Hillary Clinton en relançant publiquement son enquête quelques jours avant l'élection. Les magistrats en charge de l'affaire Fillon ont-ils pu ne pas avoir conscience qu'ils interféraient dans le rendez-vous démocratique majeur qu'est l'élection présidentielle? (quelle prudence, évidemment ils savaient qu'ils interféraient et on peut affirmer que la probabailité est grande qu'ils l'ai fait sciemment puisque FF était favori mais opposé à leur agenda politique NDA).
Le Parquet national financier était-il légitime dans cette affaire?
Le parquet national financier a été créé pour lutter contre «la grande délinquance financière». La loi lui donne compétence pour les affaires de détournement de fonds publics «d'une grande complexité». L'affaire de l'emploi de Penelope Fillon est d'une grande simplicité. On n'a pas créé un parquet national financier pour vérifier l'emploi du temps d'une assistante parlementaire de la Sarthe. Si le parquet national financier s'est saisi, précipitamment (le jour même de la sortie de l'article du Canard enchaîné), en raison de la dimension politique de l'affaire, alors ce n'est plus un parquet national financier, mais un parquet national politique.
Cette saisine est d'autant moins compréhensible que, pour les affaires apparues à la même époque, la soirée à Las Vegas d'Emmanuel Macron organisée par Business France qui était dirigée par Muriel Penicaud, l'affaire des assistants parlementaires du Modem de François Bayrou, l'affaire mettant en cause Richard Ferrand, le parquet national financier ne s'est pas saisi, alors même que les deux premières sont plus complexes que le cas de Penelope Fillon.

Ce n'est plus un parquet national financier, mais un parquet national politique.

Il n'y a pas d'explication officielle satisfaisante à ce mystère. Interrogé par La Voix du Nord, le procureur de la République financier a répondu: «je n'ai pas de sens politique».
François Fillon n'a-t-il pas lui-même commis un certain nombre d'erreurs? À commencer par se mettre entre les mains des juges…
Il est évidemment plus facile de commenter après coup, que d'agir dans la tourmente. Mais il est certain que François Fillon a sous-estimé la virulence de l'offensive judiciaire dont il faisait l'objet. Pour qui avait analysé les conditions de la création du parquet national financier et la fermeté de son action dans les affaires mettant en cause la droite, en particulier Nicolas Sarkozy et son entourage, il était évident que ce parquet créé par François Hollande ne se saisissait pas de cette affaire avec une extrême rapidité dans le but de blanchir François Fillon avant l'élection présidentielle. En proclamant dans un premier temps qu'il lui faisait confiance, François Fillon a fait preuve de naïveté.
Il en a été de même lorsqu'il a déclaré qu'il se retirerait de l'élection présidentielle s'il était mis en examen, parce qu'il était convaincu, à tort, que ce n'était techniquement pas possible. On pourrait dire qu'il a alors donné le mode d'emploi à ses adversaires judiciaires.
Après avoir sous-estimé l'offensive judiciaire, François Fillon a surjoué, tardivement, l'indignation en criant au complot et au cabinet noir. Ce n'était plus audible, après ce qu'il avait précédemment dit.
L'ancien Premier ministre a évoqué un cabinet noir. Croyez-vous à cette théorie du complot?
Il n'y a pas de cabinet noir, et pas de complot. Les choses sont plus subtiles que cela. Il y a une chaîne de magistrats, dont la plupart ont été nommés par François Hollande et Christiane Taubira, dont plusieurs ont été aux cabinets de Lionel Jospin ou de Ségolène Royal, dont certains ont été militants ou sont proches du Syndicat de la magistrature. Évidemment, ces magistrats n'ont pas une sensibilité proche de François Fillon ou de Sens commun. Ils ont agi selon leur conscience et leurs convictions.
Comment le juge d'instruction est-il nommé?
Lorsque le juge Tournaire a été désigné comme juge d'instruction principal, la presse a dit: c'est «le juge de fer, François Fillon va passer un sale moment». Mais personne ne s'est interrogé sur la raison pour laquelle c'est ce juge qui s'est trouvé en charge de l'affaire Fillon. Le juge d'instruction n'est pas tiré au sort, il est désigné par le président du tribunal de grande instance. Évidemment, la désignation ne se fait pas au hasard ; elle ne se fait pas non plus sur des critères objectifs et pré-établis. Elle résulte d'un choix non justifié et non motivé.
Il doit donc être constaté qu'a été choisi pour l'affaire mettant en cause le candidat de l'opposition à l'élection présidentielle un juge qui est réputé pour traiter les politiques comme les délinquants de droit commun, qui était déjà en charge d'affaires mettant en cause Nicolas Sarkozy, qu'il a mis sur écoutes téléphoniques pendant huit mois et qu'il vient alors de renvoyer devant le tribunal correctionnel pour l'affaire Bygmalion contre l'avis de son collègue co-saisi. Le même juge qui mettra en garde à vue Nicolas Sarkozy, ancien président de la République, en mars dernier, puis Vincent Bolloré en avril. Ici encore, faut-il croire que le choix a été fait en l'absence de tout «sens politique»?
Diriez-vous comme Napoléon Ier que «le juge d'instruction est l'homme le plus puissant de France»?
La procédure d'instruction est archaïque. Elle est très lourde, très lente, et dépend entièrement de la qualité du juge d'instruction saisi.

Le mis en examen est juridiquement présumé innocent, il est médiatiquement et socialement présumé coupable.

Nos grands voisins, l'Allemagne et l'Italie, y ont renoncé ; la plupart des pays démocratiques n'ont pas de juge d'instruction et ont un système clair dans lequel, entre le procureur qui enquête et accuse et la défense, il y a un juge qui ne fait que juger. Comme le dit Robert Badinter, le juge d'instruction est mi-Maigret mi-Salomon, mi-policier mi-juge. C'est une fonction schizophrénique.
La commission Delmas-Marty, mise en place par François Mitterrand et la commission Léger, désignée par Nicolas Sarkozy, de sensibilités différentes et à vingt ans d'écart, sont arrivées à la même conclusion: il faut abandonner la procédure d'instruction. Mais c'est un tabou: dès qu'un projet voit le jour, les conservatismes, notamment syndicaux, crient à la mort de la démocratie et le projet est enterré pour vingt ans. Le prétexte est que le parquet n'est pas indépendant et qu'il pourrait manipuler les affaires politiques. Pour 1 % des affaires, dites politiquement sensibles, on maintient un système qui marche mal pour les autres 99 %. Surtout, il est possible de mettre en place des garde-fous pour les affaires politiques. Et on voit avec l'affaire Fillon que l'existence du juge d'instruction n'est pas une garantie contre des dérives dans les affaires politiques.
Si l'on maintient la procédure d'instruction, il faut à tout le moins supprimer la mise en examen qui est un fléau judiciaire. Le mis en examen est juridiquement présumé innocent, il est médiatiquement et socialement présumé coupable. Chaque année, environ dix mille personnes mises en examen sont finalement déclarées innocentes, mais restent aux yeux de tous suspectes parce que le sceau d'infamie de la mise en examen est indélébile. Techniquement, la mise en examen n'est pas nécessaire ; pour les mis en examen qui seront reconnus innocents des années plus tard, elle produit des effets catastrophiques.
Dans votre livre, vous rappelez que le syndicat de magistrature, à l'origine du mur des cons, est né en 1968 et que son texte fondateur est la harangue de Baudot: que cela signifie-t-il?
Oui, c'est cette harangue en effet, qui proclame: «Soyez partiaux… Ayez un préjugé favorable pour la femme contre le mari, pour l'enfant contre le père, pour le débiteur contre le créancier, pour l'ouvrier contre le patron, pour l'écrasé contre la compagnie d'assurances de l'écraseur, pour le malade contre la sécurité sociale, pour le voleur contre la police, pour le plaideur contre la justice».
«Soyez partiaux», c'est une injonction terrible parce que c'est l'opposé même de la notion de justice, le contraire du droit à un tribunal impartial affirmé par la Convention européenne des droits de l'homme. Lorsque l'on entend dire que la harangue de Baudot est un texte ancien, qui remonte à plus de quarante ans et serait «prescrit», on doit bien constater qu'il a gardé un écho chez certains magistrats, heureusement fort minoritaires. Qui trouvait-on sur le mur des cons affiché crânement au siège du Syndicat de la magistrature et «enrichi» au fur et à mesure par les magistrats qui s'y rendaient? Des politiciens de droite, bien sûr, mais aussi deux pères de jeunes filles violées et assassinées. Les cons, ce sont les victimes!

L'immense majorité des magistrats sont impartiaux et insensibles aux influences politiques. Une minorité reste dans l'esprit de la harangue de Baudot. Il vaut mieux ne pas passer devant eux quand on est un politicien de droite ou un chef d'entreprise.



Pour maintenir la balance entre le fort et le faible, le riche et le pauvre, soyez partiaux ! ...

par Oswald Baudot, substitut du procureur de la République de Marseille, en 1974.



Vous voilà installés et chapitrés. Permettez-moi de vous haranguer à mon tour, afin de corriger quelques-unes des choses qui vous ont été dites et de vous en faire entendre d’inédites.

En entrant dans la magistrature, vous êtes devenus des fonctionnaires d’un rang modeste. Gardez-vous de vous griser de l’honneur, feint ou réel, qu’on vous témoigne. Ne vous haussez pas du col. Ne vous gargarisez pas des mots de " troisième pouvoir "de " peuple français ", de " gardien des libertés publiques ", etc. On vous a dotés d’un pouvoir médiocre : celui de mettre en prison. On ne vous le donne que parce qu’il est généralement inoffensif. Quand vous infligerez cinq ans de prison au voleur de bicyclette, vous ne dérangerez personne. Evitez d’abuser de ce pouvoir.

Ne croyez pas que vous serez d’autant plus considérables que vous serez plus terribles. Ne croyez pas que vous allez, nouveaux saints Georges, vaincre l’hydre de la délinquance par une répression impitoyable. Si la répression était efficace, il y a longtemps qu’elle aurait réussi. Si elle est inutile, comme je crois, n’entreprenez pas de faire carrière en vous payant la tête des autres. Ne comptez pas la prison par années ni par mois, mais par minutes et par secondes, tout comme si vous deviez la subir vous-mêmes.

Il est vrai que vous entrez dans une profession où l’on vous demandera souvent d’avoir du caractère mais où l’on entend seulement par là que vous soyez impitoyables aux misérables. Lâches envers leurs supérieurs, intransigeants envers leurs inférieurs, telle est l’ordinaire conduite des hommes. Tâchez d’éviter cet écueil. On rend la justice impunément : n’en abusez pas.

Dans vos fonctions, ne faites pas un cas exagéré de la loi et méprisez généralement les coutumes, les circulaires, les décrets et la jurisprudence. Il vous appartient d’être plus sages que la Cour de cassation, si l’occasion s’en présente. La justice n’est pas une vérité arrêtée en 1810. C’est une création perpétuelle. Elle sera ce que vous la ferez. N’attendez pas le feu vert du ministre ou du législateur ou des réformes, toujours envisagées. Réformez vous-mêmes. Consultez le bon sens, l’équité, l’amour du prochain plutôt que l’autorité ou la tradition.

La loi s’interprète. Elle dira ce que vous voulez qu’elle dise. Sans y changer un iota, on peut, avec les plus solides " attendus " du monde, donner raison à l’un ou à l’autre, acquitter ou condamner au maximum de la peine. Par conséquent, que la loi ne vous serve pas d’alibi.

D’ailleurs vous constaterez qu’au rebours des principes qu’elle affiche, la justice applique extensivement les lois répressives et restrictivement les lois libérales. Agissez tout au contraire. Respectez la règle du jeu lorsqu’elle vous bride. Soyez beaux joueurs, soyez généreux : ce sera une nouveauté !

Ne vous contentez pas de faire votre métier. Vous verrez vite que pour être un peu utile, vous devez sortir des sentiers battus. Tout ce que vous ferez de bien, vous le ferez en plus. Qu’on le veuille ou non, vous avez un rôle social à jouer. Vous êtes des assistantes sociales. Vous ne décidez pas que sur le papier. Vous tranchez dans le vif. Ne fermez pas vos coeurs à la souffrance ni vos oreilles aux cris.

Ne soyez pas de ces juges soliveaux qui attendent que viennent à eux les petits procès. Ne soyez pas des arbitres indifférents au-dessus de la mêlée. Que votre porte soit ouverte à tous. Il y a des tâches plus utiles que de chasser ce papillon, la vérité, ou que de cultiver cette orchidée, la science juridique.

Ne soyez pas victime de vos préjugés de classe, religieux, politiques ou moraux. Ne croyez pas que la société soit intangible, l’inégalité et l’injustice inévitable, la raison et la volonté humaine incapables d’y rien changer.

Ne croyez pas qu’un homme soit coupable d’être ce qu’il est ni qu’il ne dépende que de lui d’être autrement. Autrement dit, ne le jugez pas. Ne condamnez pas l’alcoolique. L’alcoolisme, que la médecine ne sait pas guérir, n’est pas une excuse légale mais c’est une circonstance atténuante. Parce que vous êtes instruits, ne méprisez pas l’illettré. Ne jetez pas la pierre à la paresse, vous qui ne travaillez pas de vos mains. Soyez indulgents au reste des hommes. N’ajoutez pas à leurs souffrances. Ne soyez pas de ceux qui augmentent la somme des souffrances.

Soyez partiaux. Pour maintenir la balance entre le fort et le faible, le riche et le pauvre, qui ne pèsent pas d’un même poids, il faut que vous la fassiez un peu pencher d’un côté. C’est la tradition capétienne. Examinez toujours où sont le fort et le faible, qui ne se confondent pas nécessairement avec le délinquant et sa victime. Ayez un préjugé favorable pour la femme contre le mari, pour l’enfant contre le père, pour le débiteur contre le créancier, pour l’ouvrier contre le patron, pour l’écrasé contre la compagnie d’assurance de l’écraseur, pour le malade contre la sécurité sociale, pour le voleur contre la police, pour le plaideur contre la justice.

Ayez un dernier mérite : pardonnez ce sermon sur la montagne à

votre collègue dévoué.

Oswald Baudot
[1]



Notes


[1] Oswald Baudot (1926 - 1994) a été une des figures du Syndicat de la magistrature.

Cet éternel révolté qui aimait bousculer l’institution judiciaire est resté dans l’histoire de la magistrature pour cette " harangue " rédigée en 1974, alors qu’il était substitut du procureur de la République de Marseille. Le garde des sceaux de l’époque, Jean Lecanuet, n’avait guère apprécié cette vision de la magistrature : accusé de manquement à l’obligation de réserve, Oswald Baudot avait comparu, le 28 janvier 1975, devant la commission de discipline du parquet, qui avait recommandé au ministre une réprimande avec inscription au dossier. Face à la mobilisation du Syndicat de la magistrature et au soutien de l’Union syndicale des magistrats, le garde des sceaux avait finalement renoncé à sanctionner l’impertinent.

From a former "islamist" and, above all, the son of an orthopaedic surgeon and a french teacher: a lesson of highly risky humanism in Islam

http://youtu.be/5EzG7kcDQhY


https://en.wikipedia.org/wiki/Tawfik_Hamid

https://www.youtube.com/watch?v=Gz0cyDB4dXc

"I am not afraid because I trust the Lord"

https://books.google.fr/books?id=jCVpCgAAQBAJ&printsec=frontcover&source=gbs_ge_summary_r&cad=0#v=onepage&q&f=false


For Islamists, concessions are a green light to do more crimes. He took the example of the US embassy in 1998 three years before the 9/11. Response to the former aggression was weak. We know the suite.

There is a common mistake in discussions: Islamists are nearer from Islamists and their religious appurtenance in not on the front line.
Let us give you some ties which are not very clear:
Friends of Hamas 
- Al Qaeda
- Hezbollah
- Boko Haram
- Al-Shabaab
- Abu Sayyaf
- Ansar al-Sharia
- Islamic Jihad (IJ)
- Moslem Brotherhood
- Jabhat al-Nusra (JN)
- Free Syrian Army (FSA)
- The Islamic State (IS)
- The Islamic Front (IF)
- Hizb ut-Tahrir al-Islami
- Islamic State of Iraq and Syria (ISIS)
- Islamic State of Iraq and the Levant (ISIL)
- Sawla al iraq al islamiyyah al-Dawlah al-ʾIslāmiyyah fī al-ʿIrāq wal-Shām (DAESH / DAASH)

vendredi 4 mai 2018

Reasoning on social networks

If I:
-came to a page with critical thinking and skepticism in its name.
-made a positive claim.
-refused to provide evidence, but admonished others to do so.
-was provided disconforming evidence.
-changed the subject rather than address the evidence.
-made fallacious claims and arguments.
-played the victim.
-compared the admin to their anathematic opposite.
-bailed on the post while blaming the page for the outcome.
That would be my fault, and my failure.

Stemming the tumorous tide








Cancers grow from stem cells. That discovery should translate into better treatment for tumours of all types

STEM cells have a controversial reputation, but in truth they are what makes human life possible. Each tissue in the body grows from a particular sort of stem cell. When it divides, one of its daughters remains a stem cell while the other eventually turns into whatever tissue its mother was designed to produce—be it blood, muscle, nerve or whatever. That is how healthy tissues are renewed, and it is now looking likely that it is how unhealthy tissues are renewed, too. Indeed, many researchers think that the underlying cause of cancer is the brakes coming off the regulatory system that stops normal stem cells from reproducing too much. For one of the most important medical discoveries made in recent years is that cancers, too, have stem cells and that these appear to be the source of the rest of the tumour.
This helps to explain why cancers are so hard to deal with. Treatments that kill the bulk of a tumour, but leave the stem cells alive, are only buying time. On the other hand, if all of a tumour's stem cells could be killed then it would torpedo the old wisdom that no patient is ever cured of cancer, but merely goes into remission. True cures for cancer would be possible.
The cancer-stem-cell theory, though plausible, was based on animal experiments and its relevance to humans was untested. But a series of studies reported this week at a meeting of the American Association for Cancer Research, in San Diego, has changed that. They suggest both that cancer stem cells are very relevant indeed to survival, and that going after them is an excellent idea.
The relevance of cancer stem cells to survival was shown by William Matsui of the Johns Hopkins Sidney Kimmel Cancer Centre in Baltimore. He looked at samples from 268 people with pancreatic cancer and found that the pattern of stem cells in their tumours predicted how long they would live. Those whose tumours had stem cells at their edges (the “invasive margin” in the militaristic jargon of the cancer-warriors) lived on for an average of 14 months. Those who did not lived an average of 18 months. Not a huge difference, but confirmation that cancer stem cells have an impact on the outcome of disease.

Such stem cells, then, are as bad as theory suggests they should be. The question is, can they be eradicated?
Animal tests suggest this is hard. For reasons as yet unknown, stem cells are resistant to standard cancer chemotherapies. With this in mind, Jeffrey Rosen and his colleagues at Baylor College of Medicine in Houston, Texas, compared samples from breast-cancer patients taken before and after 12 weeks of chemotherapy. They reasoned that if stem cells were resistant in people as well as mice, then the proportion of stem cells within a tumour would increase as more vulnerable cells were killed off in disproportionate numbers.
And that is exactly what happened. Among women treated with old-fashioned chemotherapy, the share of stem cells within their tumours rose from 5% before treatment to 14% afterwards. Dr Rosen, however, went further. In a parallel experiment he looked at a group of women being treated with a new drug called lapatinib. In these people, the proportion of cancer stem cells decreased from 10% before therapy to 7.5% after they were treated.
Lapatinib is a product of the growing field of molecular medicine—the design of drugs to attack specific protein molecules associated with particular diseases. In this case the protein attacked is HER2, a molecule often found on the surface of breast-tumour cells. Ironically, however, it was not lapatinib's effect on HER2 that made it potent against stem cells. Lapatinib, it turns out, also inhibits the activity of a protein called the epidermal growth factor receptor, which has been found to be important for stem-cell proliferation. When its activity is blocked, a stem cell's daughters both lack stem-cell qualities and the chain of “stem-cellness” that the system depends on is broken. Hence the proportion of stem cells in the tumour falls.
It is too early to tell if Dr Rosen's discovery is a life-prolonging one. But Dr Matsui and his colleague, Carol Ann Huff, are thinking along similar lines.
Alongside Dr Matsui's pancreatic-cancer work, they have been looking at treating multiple myeloma, a type of blood cancer, with a combination of heavy artillery and guided missiles: high-dose cytotoxic chemotherapy to kill the bulk of the cancer cells and antibodies called rituximab. These bind to a protein called CD20 that sits on the surface of cancer stem cells. It was expected to kill them.
Not every experiment works, and this one did not. As expected, patients left with the fewest cancer stem cells after the therapy lived longest. But this was the luck of the draw, for the rituximab failed to kill the cancer stem cells. Indeed, Dr Huff and Dr Matsui could see stem cells coated with the antibodies alive and well in their samples.
The next step, Dr Huff and Dr Matsui agree, is to bring in even more powerful missiles. Another proprietary antibody that binds to CD20, called tositumomab, is radioactively labelled. If this coats the myeloma stem cells in the way that rituximab does, the radiation should kill them.
Researchers at the University of Michigan, where tositumomab was developed, have already begun such an experiment. Andrzej Jakubowiak, who is leading the trial, says four patients have been on the treatment long enough to be evaluated, and three of them have already been taken off other drugs and appear clinically stable—which for advanced myeloma is an unusually good success rate. The laboratory data also look promising. The radiological bombs seem to be destroying the cancerous stem cells in exactly the predicted manner—although Dr Jakubowiak rightly cautions that too few patients have been treated to allow firm conclusions.
The upshot of all this is that the stem-cell hypothesis of cancer growth looks a good one. It explains a lot of things, and allows biologists to look at tumours in a new way—almost akin to developing organs, albeit ones with no function and growth that is out of control. That insight, and a better understanding of stem-cell biology, may be the chink in cancer's armour that people have long been searching for. And that is a truly optimistic thought.

Phytonutriments et régulation métabolique

Tart Cherries May Reduce Factors Associated With Heart Disease And Diabetes

ScienceDaily (Apr. 10, 2008) — Tart cherries -- frequently sold dried, frozen or in juice -- may have more than just good taste and bright red color going for them, according to new animal research from the University of Michigan Cardiovascular Center.
Rats that received whole tart cherry powder mixed into a high-fat diet didn't gain as much weight or build up as much body fat as rats that didn't receive cherries. And their blood showed much lower levels of molecules that indicate the kind of inflammation that has been linked to heart disease and diabetes. In addition, they had significantly lower blood levels of cholesterol and triglycerides than the other rats.
The results, which were seen in both lean and obese rats that were bred to have a predisposition to obesity and insulin resistance, were presented Sunday at the Experimental Biology 2008 meeting in San Diego, CA by a team from the U-M Cardioprotection Research Laboratory.
In addition, the obese rats that received cherry powder were less likely to build up fat in their bellies -- another factor linked to cardiovascular disease. All the measures on which the two groups of animals differed are linked to cardiovascular disease and Type 2 diabetes.
The new findings build on results that were reported last year at the same meeting by the U-M team. Those data came from experiments involving lean rats that were prone to high blood pressure, high cholesterol and impaired glucose tolerance, but that received a low-fat diet with or without cherries. In that case, cherry-fed rats had lower total cholesterol, lower blood sugar, less fat storage in the liver and lower oxidative stress. However, it was unknown if these benefits would be observed in obesity-prone animals, or in animals fed a higher fat, western-style diet containing elevated saturated fat and cholesterol.
While it's still far too early to know whether tart cherries will have the same effect in humans, U-M researchers are preparing to launch a pilot-phase clinical trial later this spring. They note that if a human wanted to eat as many tart cherries as the rats in the new study did, they would have to consume 1.5 cups every day.
"These new findings are very encouraging, especially in light of what is becoming known about the interplay between inflammation, blood lipids, obesity and body composition in cardiovascular disease and diabetes," says Steven Bolling, M.D., a U-M cardiac surgeon and the laboratory's director. "The fact that these factors decreased despite the rats' predisposition to obesity, and despite their high-fat 'American-style' diet, is especially interesting."
The results were presented by E. Mitchell Seymour, M.S., a U-M research associate and the senior scientist on the project. "It was recently shown in humans that regular intake of darkly pigmented fruits like cherries is associated with reduced mortality from cardiovascular disease and coronary heart disease," says Seymour. "The heart-health benefits of these colorful fruits were sustained even when corrected for age and other health conditions. We're now invested in exploring the specific mechanisms of these benefits."
The experiments are funded by an unrestricted grant from the Cherry Marketing Institute, a trade association for the cherry industry. CMI has no influence on the design, conduct or analysis of any U-M research it funds.
The correlation between cherry intake and significant changes in cardiovascular risk factors suggests -- but does not directly demonstrate -- a positive effect from the high concentrations of antioxidant compounds called anthocyanins that are found in tart cherries. The anthocyanins are responsible for the color of these and of other darkly pigmented fruits.
The potential for protective effects from antioxidant-rich foods and food extracts is a promising area of research, says Bolling, who is the Gayle Halperin Kahn Professor of Integrative Medicine at U-M.
The team performed the study using 48 obesity-prone rats, half of which were obese, and a diet in which 45 percent of calories came from fat and 35 percent came from carbohydrates. All the rats were six weeks old when study began. For the next 90 days they were fed either a cherry-enriched diet in which cherries made up 1 percent by weight, or a diet that contained an equivalent number of carbohydrates and calories.
At the end of the study, the rats had blood tests for glucose, cholesterol and triglyceride levels, received DEXA scans to measure their body fat and to see where the fat had collected, and had tests for two plasma inflammation markers: TNF-alpha and interleukin-6.
These two molecules are related to the level of vascular inflammation, or immune-system reaction to blood-vessel walls, that is often seen in people and animals with cardiovascular disease. While inflammation is a normal process the body uses to fight off infection or injury, according to recent science, a chronic state of inflammation may increase the risk for a number of diseases.
The cherries were Montmorency tart cherries grown in Michigan, which is the nation's largest producer of tart cherries. They are different from the sweet Bing cherries that are often eaten fresh. Tart cherries have higher concentrations of antioxidant anthocyanins than sweet cherries.
By the end of the study, the rats that received the cherries had lower body weight, fat mass, total cholesterol, triglyceride, TNF-alpha and IL-6 than the rats that did not receive cherries. In all, TNF-alpha was reduced by 50 percent in the lean rats and 40 percent in the obese rats and IL-6 was lowered by 31 percent in the obese rats and 38 percent in the lean rats.
The obese rats that received cherries also had lower-weight retroperitoneal fat, a type of belly fat that has been associated with especially high cardiovascular risk and inflammation in humans.
In addition to Seymour and Bolling, the research team includes Daniel Urcuyo-Llanes, Ara Kirakosyan, Peter B. Kaufman, and Sarah K. Lewis of U-M, and Maurice Bennink of Michigan State University.
Even as the Cardioprotection Laboratory team continues its work in animals, U-M Integrative Medicine co-director Sara Warber, M.D., an assistant professor of family medicine at the U-M Medical School, is preparing to lead a pilot clinical trial of whole tart cherries in humans.

Pouvoir d'achat ou pouvoir de ne pas acheter?

"Pouvoir d'achat" or free choice to buy or not to buy?

La France s'offre en ce début de 2008 un débat sur le pouvoir d'achat. Normal l'inflation est partout dans le monde et si nous nous réveillons maintenant c'est parce que l'euro a joué un rôle de bouclier. Même si beaucoup l'accusent probablement à tort d'avoir été depuis 2000 le facteur principal de hausse des prix.

Seule riposte à ces hypers arnaqueurs, le boycott. Cela fait trois ans que nous n'avons pas mis les pieds dans un hypermarché. Nous achetons déjà moins cher des produits sans marque de bien meilleure qualité et comme nous n'avons pas de tentations inutiles en parcourant des rayons où tout serait disposé côte à côte, l'utile et l'inutile, à seule fin de tenter l'acheteur, nous sommes doublement gagnants.

Qu'est ce qu'un traitement efficace en médecine?

What is efficiency in allopathic medicine?


Après l'étude de Kirsch sur les antidépresseurs dans Plos Medicine il faut se reposer la question.


Tout d'abord l'histoire naturelle de la maladie.
100 patients dépressifs: combien guérissent par eux mêmes, non pas spontanément mais par leur défenses naturelles. Il est difficile de répondre mais c'est d'après les médecins au delà de 50% et même 70%. Bigre! Un traitement est efficace s'il fait mieux cela parait évident. Sauf que c'est partiellement faux un traitement va guérir certains qui n'auraient pas guéri et aggraver certains qui auraient guéri seuls ou accélérer la guérison d'autres qui étaient sur la voie de la guérison. Cet imbroglio est à lui seul un argument de poids pour la réalisation d'essais cliniques. En effet la maladie est souvent décrite dans la médecine conventionnelle comme un état pathologique dont on ne peut sortir que par le iatros. Rien n'est moins vrai! Tout d'abord ce que l'on appelle symptome ou parfois maladie est tout bonnement un état physiologique de réponse et d'adaptation. Surtout dans les maladies chroniques dont la dépression . Le patient ne devient pas déprimé comme on bouche une artère!
"The Natural History of Depression
• Likelihood that a person will develop depression or dysthymia in his/her lifetime 6.1
• Likelihood that a person will suffer some depressive symptoms in his/her lifetime 23.1
• Average age of first/onset of major depression 18-29
• Average duration of depressive episodes 20 weeks
• Percent of patients who recover within a year after onset of symptoms 74%
• Likelihood of a second or more episode of major depression 80%
• Likelihood of a second or more episode of mild depression 100%
• Median number of major depressive episodes during a patient’s lifetime 4
• Percent of patients whose depression takes a chronic/unremitting course 12%
• Incidents of depression in women/men 3.62 vs 1.98 per 1,000 per year
• Rank of unipolar major depression in the world leading to disabling diseases in 1999 4
• Rank of unipolar major depression among disabling diseases in Westernized countries 2
• Rank of depression among disabling diseases the world wide projected in 2020 2"
D'une manière générale il est intéressant de se poser les questions suivantes:
-comment fonctionne la dépression au niveau du cerveau
-pourquoi la dépression survient ? Dans un système biologique aussi sophistiqué, résultat d'une évolution de plusieurs centaines de milliers d'années, la dépression a-t-elle une fonction, confère-t-elle dans certaines conditions un avantage de survie? C'est dans cette perspective que plusieurs auteurs ont mis en exergue le rôle positif de la dépression dans plusieurs situations. La première est celle d'objectifs difficiles ou impossibles à atteindre.
La première question est celle d ela physiopathologie du "désordre" ou du dysfonctionnement cérébral. Quels territoires sont activés, quels neuromédiateurs sont en cause. D'où la conception du manque du défaut et la réponse allopathique. mais il y a des paradoxes. dans un schéma expérimental où des rats sont précipités dans l'eau et obligés de nager jusqu'à l'épuisement et la noyade, certains prudents avant de s'épuiser se mettent au repos et flottent le nez au dessus de l'eau. En revanche les rats qui ont pris un antidépresseur vont nager à fond jusqu'à s'épuiser et se noyer...
La deuxième est celle de la compréhension de la dépression dans la phylogénie des êtres vivants et dans l'ontologie de l'individu en question.

Doctors, drugs and alternative therapies

By Michael Skapinker
When I was a child at summer camp, an epidemic of home-sickness broke out. Several campers presented themselves to the resident medic, who talked to them gently and asked who they were missing most. Those who were pining for their mothers got a pink-coated chocolate. Those missing their fathers (an apparently less virulent condition), received a blue one. From what I observed, the treatment was highly effective.
This was my introduction to the placebo effect. Last month, a team led by Irving Kirsch of Hull University reported that trial data submitted to the US Food and Drug Administration showed that antidepressants were, in most cases, only marginally more effective than placebos.
Now a new study shows expensive placebos are more effective than cheaper ones. Dan Ariely, a Duke University economist, and a team from the Massachusetts Institute of Technology, administered light electric shocks to the wrists of 82 volunteers before and after giving them what they said were painkillers but were really dummy pills.
Half the group were told the pills cost $2.50 each and half that they cost 10 cents each. Of those who took the more expensive placebos, 85 per cent reported feeling less pain, compared with 61 per cent in the 10-cent group.
What is striking is not just the difference between the two groups but how many people in both said the placebos worked.
As my colleague Clive Cookson pointed out on this page on March 1, this was also a notable feature of the Kirsch study, which did not show that anti-depressants were useless. They were not – it was just that placebos worked almost as well.
This has led to debate about whether doctors should prescribe placebos, with Stuart Derbyshire, a psychology researcher at Birmingham University, warning it “would undermine the trust between society and medicine”.
Less often noticed is how many doctors are already prescribing placebos. In her superb new book, Suckers: How Alternative Medicine Makes Fools of Us All, Rose Shapiro says 42 per cent of UK general practitioners prescribe homeopathic treatments or refer patients to homeopaths. Nearly half of Dutch family doctors prescribe homeopathy. In Belgium, 85 per cent do.
All these doctors must know that homeopathic remedies have performed no better than placebos in repeated clinical trials. Homeopathic medicines are so heavily diluted that there is in effect nothing left by the time they are administered.
Homeopaths contend the diluted medicines work because the water in which they are dissolved retains a memory of them. As Ms Shapiro says, water must then retain a memory of everything that has ever been dissolved in it. How, she asks, does water distinguish between homeopathic medicine and, say, the soap from Marilyn Monroe’s bath? “Can water have a selective memory?”
The dilemma for doctors is that people want homeopathy. In the US, where it had almost died out by the 1970s, at least 6m people now go to homeopaths. Boiron, the NYSE Euronext-listed homeopathic company, says 300m people worldwide use homeopathy.
The reasons are complex, but among them is a feeling that doctors do not give patients enough time.
In the UK, the average consultation with a family doctor lasts less than 10 minutes (six to eight minutes in London) and the patient speaks for 23 seconds before being interrupted. An initial homeopathic consultation takes an hour or more, giving patients the sense of being listened to and valued. Many doctors say they would love to do the same, but are under too much pressure to meet targets or clear backlogs of patients. Viewed that way, sending people to talk to homeopaths is a form of outsourcing.
Does it matter? While homeopathic remedies may not do any good, beyond the placebo effect, they do not do any harm either. That is in contrast to herbal medicines (which do have active ingredients and are occasionally effective) or conventional medicines, which can have side-effects that are not always disclosed. Last week, for example, the UK’s Medicine and Healthcare Products Regulatory Agency wrote a stiff letter to GlaxoSmithKline about the drugs group’s tardiness in reporting that children taking the anti-depressant Seroxat could experience suicidal feelings.
Yet, for all their occasional lapses, scientific medicine and the pharmaceutical industry have brought enormous benefits, from the disappearance of smallpox to better survival rates from heart attacks.
It cannot be right for doctors to undermine the scientific method that lies at the heart of their training and practice. The money that doctors are now sending to homeopaths would be better spent on in-house counsellors with time to talk. We could then study whether it is the hours of sympathetic chat that make the difference, or whether you have to prescribe a sugar-coated chocolate too.


La France sous le feu des Social and Race justice warriors

"Des antiracistes ont entrepris de porter plainte contre le drapeau corse, sur lequel figure une tête de Maure. À mon avis, ils ont soulevé là un très gros lièvre 
L'histoire est basée sur des faits. 

Ils ignorent apparemment à la suite de quels événements légendaires cette tête de Maure a été adoptée comme symbole de l’indépendance corse.
L’histoire légendaire remonte à l’époque où les Sarrasins occupaient l’Espagne. Le roi Mohamed détenait parmi ses esclaves une jeune fille corse, Diana, enlevée par des corsaires qui l’avaient vendue au roi. Son fiancé parvint à la délivrer et le roi Mohamed, très courroucé, chargea son lieutenant Mansour de lui ramener la jeune fille morte ou vive.
Une rude bataille s’ensuivit, à la fin de laquelle le fiancé de Diana trancha la tête de Mansour. Ce trophée sanglant fut promené de village en village, d'un bout à l'autre de l'île. La tradition a transmis de siècle en siècle le souvenir de cet événement. Et voilà pourquoi, cinq cents ans plus tard, dans une Consulte, il fut décidé que désormais une tête de Maure ornerait, comme un épouvantail, la bannière blanche autour de laquelle se ralliaient, dans les combats, les fils indomptés de la vieille Cyrnos."

Affaire à suivre. L'histoire est gênante pour les révisionnistes.

jeudi 3 mai 2018

Diallo R et le "racisme" allégué des pansements

Quelle obsession! Alors qu'il n'existe pas de pansements dans de nombreux pays d'Afrique! Et ce non en raison du soi-disant "racisme" mais de la corruption, l'inefficience des services publics et la fuite de ceux qui devraient être chez eux pour développer leur pays au lieu de faire du racisme anti-blanc bon marché en Europe.
https://twitter.com/RokhayaDiallo/status/991949587765170176




Le pansement qui dérange R Diallo








Hot topic about human ethics: use of CRISPR for humans

Editing DNA.
The story is about both genetic diseases (which is the aim of medicine, be that at it is) and genomic improvement a very risky assessment as we don't understand the biology of germline modifications.
This TV show is exceptional and worth the time you will spend to watch it.


https://www.cbsnews.com/news/crispr-the-gene-editing-tool-revolutionizing-biomedical-research/?utm_source=The+Medical+Futurist+Newsletter&utm_campaign=42ac7fdad8-EMAIL_CAMPAIGN_2018_04_23&utm_medium=email&utm_term=0_efd6a3cd08-42ac7fdad8-420575409


Huge hope for next decades, genetic diseases and ageing process... And at the core of this hope a very special program we did't invent but discovered a few years ago in the bacterial world. Indeed CRISPR this "biological enzymatic system of genome editing" is the result of bacterial evolution. It is fascinating that it could become the most potent transformational tool for medicine about genetic diseases which are thought as a bad lottery of life and which deteriorates the quality of life of both parents and children bearing and expressing the genetic modification.

Un immense espoir pour les prochaines décennies, les maladies génétiques et le processus de vieillissement ... Et au cœur de cet espoir, un programme très spécial que nous n'avons pas inventé mais découvert il y a quelques années dans le monde bactérien. En effet, CRISPR ce «système enzymatique biologique de l'édition du génome» est le résultat de l'évolution bactérienne. Il est fascinant qu'il puisse devenir l'outil transformationnel le plus puissant pour la médecine sur les maladies génétiques qui sont considérées comme une mauvaise loterie de la vie et qui détériorent la qualité de vie des parents et des enfants porteurs et exprimant la modification génétique.

Simpler than we think about it

Should we use CRISPR to prevent diseases or improve human traits?
"You are altering the human germline" "we shouldn't do it"

We have embarked in clinical studies with the first RCT about CRISPR in humans.

This history will be self-writing for the short and long-term future.
Cette histoire sera auto-écrit pour le futur à court et à long terme.




Nous entrons dans le dur de la pratique médicale: trouver des médecins qui soignent

https://mailchi.mp/gcscotentin/campagne-med-in-cherbourg?e=ce750b6842


En gros deux gagnants:

L'ARS qui n'aura pas à faire de restructuration mais simplement constater les dégats sans rien dire.

Les médecins non soignants qui sont à l'abri des patients y compris les patients criminels, de leur hiérarchie, des assurances, de l'URSSAF, de la CARMF, et du fisc.
Et vous voulez inverser la tendance?
Jamais. Nous irons jusqu'à la disruption du modèle sécu et de la reconstruction qui commencera le lendemain sans l'état.

mercredi 2 mai 2018

La CEDH dicte sa loi en UE: nous payons ces juges non élus

http://www.rtl.fr/actu/justice-faits-divers/jihad-une-quinzaine-de-revenants-ont-deja-ete-juges-et-liberes-7793241815

Si les Black Blocks sont inarrétables... Il y a des limites à la naiveté.

C'est un peu comme les terroristes. Evidemment que trois options se présentent:

-Casse de la propriété privée et publique... on voit après
-Casse des flics... on voit après 
-et ... Casse des casseurs, parution immédiate et mise hors d'état de nuire (en effet il y aura un jour un mort qui passait par là vu la violence des attaques avec armes).
Le choix a été fait.

Pour les terroristes fichés S et autres radicalisés sous les radars, idem.
-Meurtre des juifs et des forces de l'ordre, après on les prend vivants et on les juge
-Meurtre des innocents qui passent par là, après 
on les prend vivants et on les juge
-Autodéfense, défense des forces de l'ordre et mort précoce des terroristes, expulsion de tous les fichés S ou retention.



Je constate que le même choix a été fait qui défavorise les innocents.
Et "on" nous répète qu'on ne peut pas faire mieux. 
En réalité il y a un hic, nos gouvernemenst obéissent chaque seconde à la CEDH et ensuite, quand aucun cheveu des criminels n'a été effleuré, daignent s'occuper de la sécurité des français.



109 arrestations sur 1200 individus, ca fait quand même plus de 1000 mecs qui se sont encagoulés le matin, qui ont saccagé un quartier l'aprem, et qui ont pu boire une binouze tranquille devant Real Bayern le soir. Ce n'est pas l'idée que je me fais de l'autorité de l'Etat ni de la justice."
La devanture du business Justice. Le back office est terrifiant.
La France est une ZAD. Zone à défendre. Mais bien sur rien ne changera avant la grande faillite.
Gérer

Paris plus de réa

J'ai constaté depuis au moins 5 ans que la ZAD était le Paris intra muros (cf Bagnolet et maintenant république).

https://www.facebook.com/alain.destexhebis/videos/1533917280070966/

D'ailleurs le zèle des juges français pour gérer leur carrière est évident. Il faut donc s'assurer que les peines prononcées soient loin des réquisitions du parquet.

https://www.ledauphine.com/france-monde/2018/05/04/lyon-l-agresseur-de-marin-condamne-a-7-ans-et-demi-de-prison

Meritocracy as a derived factor of IQ drove the SES in post-communist era: do we need egalitarian social justice?

"Meritocracy or social justice? In closing, we wish to emphasize that we are not advocating meritocracy; these issues are more a matter of values than science. At first glance, meritocracy seems unquestionably good, but it could have unintended consequences such as creating social inequalities if societal rewards such as wealth are doled out on the basis of genetically driven abilities. The word meritocracy was coined by Michael Young, whose book, The Rise of the Meritocracy44, was meant as a cautionary tale about the dangers of meritocracy. The value system underlying meritocracy is that the point of education is to get better test scores in order to get better jobs and that the point of occupations is to achieve high status and make lots of money. A different way to look at education is as a time to learn basic skills but also to learn how to learn and to enjoy learning. It is a decade when children can find out what they like to do and what they are good at doing, finding their genetic selves. If education were universally good, there would be no need for selection, especially at the level of primary and second education, and thus there would be no need to apply meritocratic criteria. Similarly, with occupations, where selection cannot be avoided, we will end up with a lot of frustrated people if we only value high-status occupations that are highly remunerated. Society needs people who are good careworkers, nurses, plumbers, public servants and people in the service industry. To the extent that selection is necessary it should be meritocratic, but it is possible to imagine an occupational system that is not driven so much by monetary reward. For example, society could choose to reduce income inequality with a tax system that redistributes wealth. In his book, The Myth of Meritocracy, James Bloodworth45 argues that meritocracy leads to an inherent inequality of opportunity and reward based on genetic differences. He suggests that we need to replace meritocracy with what he calls a just society in which everyone could live well"

Genetic influence on social outcomes during and after the Soviet era in Estonia
Kaili Rimfeld 1 *, Eva Krapohl1 , Maciej Trzaskowski2 , Jonathan R. I. Coleman 1,3, Saskia Selzam1 , Philip S. Dale 4, Tonu Esko5 , Andres Metspalu5 and Robert Plomin1