Affirmer que l’antispécisme se base sur la biologie est une contre-vérité qui résulte probablement d’une méconnaissance de la biologie et des connaissances élémentaires sur le système nerveux.
L’antispécisme est tout sauf scientifique et il n’y aucune base expérimentale à la classification qu’invente les antispécistes. Leur approche est au contraire inspirée par des a priori sur la transmission des informations nociceptives par le système nerveux et par une sensiblerie plaintive qui est liée à notre époque.
L’animal reçoit des informations vitales par son système nerveux pour survivre y compris les informations nociceptives.
La douleur est autre chose et la souffrance encore autre chose.
Cet article est confus et n’apporte rien au lecteur à part de participer à la surestimation de ce groupe d’individus violents et sectaires.
L’éthique de notre époque au moins dans les pays civilisés à permis de réduire la période où l’animal d’élevage est menacé ou blessé avant de mourir. Ce qui ne se produit jamais dans la « gentille » nature .
http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2018/11/01/31003-20181101ARTFIG00068-derriere-le-militantisme-vegan-la-puissante-ideologie-antispeciste.php
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/m/pubmed/21533715/
http://www.socrethics.com/Folder2/Biology.htm
http://m.nautil.us/issue/56/perspective/antonio-damasio-tells-us-why-pain-is-necessary
https://www.painscience.com/articles/why-does-pain-hurt-so-much.php
https://www.sciencedaily.com/releases/2014/01/140107215355.htm
C'est exact c'est un peu compliqué surtout quand on est anthropocentré, anthropomorphe ou atteint de sensiblerie. Le signal véhiculé par le système nerveux pour éviter un danger peut être visuel olfactif ou ... nociceptif. La plante utilise des messagers dont certains sont les mêmes que les nôtres pour ce faire alors qu'elle est dépourvue de sytème nerveux... L'animal réagit à un stimulus nociceptif par un comportement adapté. La douleur est déjà autre chose car elle suppose une interprétation contextuelle, et la souffrance est un autre stade où la conscience est indispensable.
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