samedi 20 mai 2017

Let us unblock our french healthcare system through the free choice of an insurer and a contract




"At the end of breath", it is the leitmotiv of the actors of the care. But the system is not dormant. The state and its health insurance monopoly are more powerful than ever. Both decision-makers have large financial resources up to 12% of GDP. But what is not working? What is the diagnosis?
From the scissors effect between the scarcity of the medical supply and the infinite demand, free of charge, from galloping bureaucratization to numerical inorganization, from expenditure authorized by the state by a goal rarely respected to the deficit, one understands the contradictions Which affect the efficiency of our health care system. Two central questions arise.
Who is at the origin of the structural changes that led to this chaos?
Who is the unique actor of this adrift system?
It is easy to answer the first question but it is a taboo that forbids us to think. All these decisions are made by successive governments and their administration. An emblematic example of the number of students admitted to medicine; Not only since 1971 year of the first numerus clausus the state never doubted but one continues to believe, persevere diabolicum. Does this mean our officials are bad? Of course not, no more in any case than those outside the Rhine or elsewhere Léman.
Do not bite off more than you can chew. The French state wants to decide everything from Paris in an egalitarian Manicheism that loses and destroys the fabric of care. The treatment is simple: a more intelligent state. The health care system is in some ways exceptional, but it relates to the content of its mission and not to the exemption from the basic economic rules. The treatment of this hyper-regulation which feeds a self-employment bureaucracy is autonomy, massive deregulation, and financial responsibility. Fewer administrative structures, fewer non-nursing hospital jobs and a high level of management demand that begin with balancing accounts and tariff convergence. For outpatient medicine, the contract is sufficient to regulate activities and demand. These contracts that the state will have framed by the law but which will replace advantageously a single convention.

The answer to the second question is equally taboo. It is the administration of social security that false nose of the state called paritarianism without financial responsibility which is alone to the levers (262 billion in 2015). It must assume its responsibility in a triple failure to several billion: "vital" card reduced to a debit card without debit, an electronic medical record not shared because nonexistent and telemedicine reduced to video conferences. The treatment, here too, is simple is a certain amount of competition. The security sector needs organizational innovation to converge existing resources and demand. According to his political leanings, one can resort to the competition of the caisses or to the opening of the health insurance to all the qualified actors because the innovation feeds on the differences. There is another advantage to competition, insurers in both cases will offer baskets of care. The insured will finally know what he is paying and what is the content of the contract. He will have to insure himself for the major risk, but he can choose to save the part of the premium that reimburses thermal cures, transport, daily allowances excluding an accident or serious illness, non-exhaustive list. Thus the reduction in social security contributions will not lead to an increase in public indebtedness but to an increase in purchasing power. There will be clarification where today there is connivance to the detriment of the insured due to the complexity of repayment rules and premium inflation.
Electoral debates speak so little about this, while the unblocking of our healthcare system is at hand like other countries in Europe.

vendredi 19 mai 2017

French conservatives: what are the basis of reconquista?

There are both inside and outside issues.
Inside issues 
They are numerous but one of them is above the others, ideology and let me put it in the more simple way: economic basis of France. Either the pursuit of socialism through a huge state or a totally new economic order with a smart state and a big private economy.
Outside issues.
The first step is media, without media no way to reach the people. Could you imagine Trump without http://www.breitbart.com/?

La "droite" a un programme ...
C'est le même que Macron mais il est écrit de droite à gauche.



21 trisomy

http://blogs.plos.org/biologue/2015/02/24/chromosome-biology-youve-come-a-long-way-baby/

http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0149763416301567

Highlights

Down syndrome (DS) is the commonest genetic cause of mental disability.
Epigenetic modifications are implicated in neurocognitive dysfunction in DS.
These epigenetic modifications are suitable therapeutic targets, but current therapies may have unwanted side effects.
CRISPR-Cas9 is a precise genome editing technology that could be used to target epigenomic abnormalities in DS.
A number of barriers − both technical and ethical − will need to be overcome for clinical translation.


https://www.nature.com/news/should-you-edit-your-children-s-genes-1.19432

Le Maire et le rôle de l'état dans l'économie

Le Maire rapidement confronté à son ambiguité. Il ne peut y avoir de rôle de l'état en dehors de la libération des contraintes qui pèsent sur l'entreprise. Le reste est une gesticulation habituelle.

Macron au Mali: le djihadisme vu comme conséquence du sous développement économique

Le Mali 5 ans presque après l'intervention décidée par Hollande. Elle était annoncée pour quelques mois... Un Afghanistan au coeur de l'Afrique. Macron dévoile son idéologie: "les terroristes prospèrent sur la misère". Évacuer la question de l'Islam est devenu un grand classique qui va conduire à l'inefficacité.
Plusieurs questions se posent:
1/ qui arme les terroristes en Afrique?
2/ qui ouvre les bras aux africains qui fuient l'Afrique et affaiblissent leur pays d'origine?
3/ Nous devons sécuriser la France avnt de sécuriser l'Afrique. Il faut simplement un degré tolérable de violence
4/ Les ONG jouent un rôle extrêmement trouble et inconséquent en clamant qu'il y a trop de militaire et pas assez d'argent pour l'économie.

L'assurance maladie pourrait être en excédent sans aucune restriction aux soins

"La sécurité sociale coûte 6% en frais de gestion contre 26% pour les complémentaires mutuelles ou compagnies d'assurance"

Il est très étonnant que de telles affirmations soient encore assez fréquentes dans le discours politique en France. C'est en effet soit de la part de répétiteurs mal informés une grosse erreur soit de la part des indéfectibles défenseurs du système que personne d'autre n'a adopté un grossier mensonge. De quoi s'agit il?

Tout d'abord il faut pour comparer que les entités soient comparables. Et elles ne le sont pas du tout.


1/ les frais de gestion de la sécu sont particulièrement difficiles à évaluer s'agissant de la sécu assurance maladie. En effet aucune comparaison française n'est possible puisque personne ne peut faire de l'assurance au premier euro. D'autre part il existe de nombreuses situations particulières qui rendent les calculs incertains.
2/ Il faut ajouter les coûts de l'assurance maladie mais aussi des URSSAF qui prélèvent les cotisations du secteur privé.
3/ les fonctionnaires peuvent être gérés par leur mutuelle (exemple de la MGEN ou de la MCF mais aussi d'autres fonctionnaires)
4/ la sécu assurance maladie ne contrôle pas sa dépense. Et c'est bien là la différence avec une assurance complémentaire ou une caisse régionale qui serait en concurrence. C'est une activité qui coûterait peu cher à l'assurance maladie (environ 5%) mais qui permettrait sans difficulté d'équilibrer ses comptes compte tenu des économies importantes possibles. Car il n'y a pas que la fraude.

Comment la sécu laisse déraper les dépenses, nolens volens.


-les remboursements aux hôpitaux et cliniques. C'est un poste qui pèse 46,7 % (2015). Actuellement par exemple les actes effectués dans les CHU et nécessitant de l'être représentent moins de 10% de leur activité, pourtant les 90% restant sont payés par la sécu à des tarifs bien plus élevés que dans les autres hôpitaux ou cliniques. Ceci comprend deux types d'actes, ceux qui relèvent de la convenance et ceux qui relèvent de la proximité. Il est évident que la sécu pourrait d'ores et déjà car elle peut tracer tout acte sur tout le territoire national et en DOM TOM facturer le surcout à l'assuré quand celui ci agit par convenance. et aller chercher la somme ce qui nécessite bien sur un recouvrement et une volonté politique. Mais il y a beaucoup plus, les contrôles de cotation des séjours hospitaliers sont tout simplement insuffisants;

- les dépenses qui ne sont pas des soins: les transports représentent 4,591 Milliards soit plus que toute la biologie médicale (!), les Indemnités Journalières hors fonction publique (13,606 Milliards ) car nous ne connaissons pas le montant des IJ de la fonction publique (http://www.assemblee-nationale.fr/14/rap-info/i0986.asp) , les cures thermales (0,392 Milliard) et autres avantages en nature et biens médicaux (Optique, orthèses, prothèses, VHP (véhicules pour handicapés physiques), aliments, matériels et pansements) 14,677 Milliards. Cette dépense est considérable alors que l'efficaité n'est aps au rendez vous pour de nombreux postes.

- la fraude. Sur ce point qui peut accepter que l'administration de la sécu se glorifie d'avoir rectifié 231,5 millions d'euros de fraude sur un budget de 194 567 millions d'euros? Une fraude de 1% c'est 1,9 milliard d'euros, or la fraude totale est estimée à 2,67% aux USA où le système est fortement administré ce qui représenterait  5,195 Milliards d'euros par an en France!

Le but de tout système d'assurance est bien évidemment que les sommes dépensées le soient pour soigner les assurés malades. 

Il faut au contraire que la sécu augmente la qualité d esa gestion ce qui se soldera par un effet ciseau augmentaion de ses frais et diminution des dépenses.
Au total on se trouve bien dans la foruchette de 12-15% de frais de gestion prudente de tout assureur maladie. Avec en prime des économies substantielles qui iraient au dlà des déficits actuels c'est à dire un excédent permettant de rembourser la dette CADES sans augmenter les prélèvemenst dont je rappelle qu'ils termineront au delaà de 44% du PIB à la fin de ce quinquennat ou bien d'investir dans les thérapies innovantes ou bien dans les les nouveaux modes d'utilisation des services de soins.

Finalement la question essentielle c'est de mettre les dépenses en équilibre avec les recettes et cela l'assurance maladie ne le fait pas depuis des décennies. 

Cette faillite de sa mission essentielle équilibrer les comptes pour assurer la continuité de sa mission est singulièrement considérée en France comme "normale". C'est pure folie et c'est une des raisons de notre addiction à la dette structurelle depuis 1974. pour cela il faut d'une part mettre une bonne dose de concurrence et ce quel que soit ses orientations politiques ce que cet article explique et de ce fait l'assurance maladie fera des économies telles que ses frais de gestion prudente seront parfaitement financés.

En conclusion il est faux de comparer les frais de gestion de la secu à ceux des assurances complémentaires car ces dernières ne pourraient supporter un déficit structurel de plusieurs décennies et disparaîtraient. La sécu assurance maladie doit mieux gérer les cotisations obligatoires et développer une gestion prudentielle qui ne peut être efficace sans un système de vérification total des prestations facturées. Cela a un coût mais aussi un effet de levier puissant sur la dépense inutile voire frauduleuse et sur la ré allocation d'une partie des économies sur les soins innovants. Ce n'est possible que dans une dynamique de concurrence.

France's debt is now in the hazard zone

http://quotes.wsj.com/bond/BX/TMUBMUSD10Y
Sweden outside the euro zone is borrowing at half the yield of France... And the yield gap between Germany and France is more than the double of Bund.

France's debt is riskier than the average EU bonds
https://www.six-swiss-exchange.com/services/yield_curves_en.html


Some bailouts can be a good deal



U.K.’s Lloyds Stake, a Remnant of the Financial Crisis, Is Finally Sold Off
Nearly a decade after bailout, British government sells its remaining shares in U.K.’s biggest retail bank
By
Francesco Guerrera and
Portia CroweUpdated May 17, 2017 6:28 a.m. ET


LONDON—The U.K. government has sold its last remaining stake in Lloyds Banking Group PLC, a watershed moment for the British lender almost a decade after it was bailed out for more than £20 billion at the height of the financial crisis.

The bank said that, including dividends and share sales, the government has in total received £21.2 billion ($27.4 billion), £894 million more than it put in.

10 pays de la zone euro sont en excédent budgétaire primaire

La France fait moins bien que la Grèce...

Plus on distribue des revenus non gagnés plus on aggrave le déficit commercial

En France c'est évident.
L'excédent commercial de l'UE est pour moitié allemand, donc il y a des pays européens qui exportent et la France est très affectée par une baisse de compétitivité.

Gabor's principle: is it what Gabor said and thought?

https://books.google.fr/books?id=X0YmAQAAMAAJ&focus=searchwithinvolume&q=feasible


Although a quote circulates in the french literature about this so called Gabor's Principle the reference in Gabor's writings is lacking. One can suppose that it is a simplification of what he described in Inventing the future.

Do you have the precise reference of this principle?



http://www.bruno-jarrosson.com/la-loi-de-gabor/

http://www.unz.com/print/Encounter-1960may-00003/

Gov size, too much is detrimental

One more point of public expense leads in France to a decrease in GDP

Quand la "protection sociale" devient un suicide assisté

Sans ces montants on ne peut comprendre la France

Euro, ECB and our power of exchange: neither FN or leftists understood this graph

Printing Euro led to a fall in our purchase power i.e. our power of exchange