A blog for humans in the universe, to understand what we know now and to imagine what we don't know. To bridge the gap between the real world, its image in our brain and the ideas generated by.
samedi 12 novembre 2016
L'intelligentsia française est dynamitée par l'accès à la connaissance et l'innovation
J'affectionne par inclinaison professionnelle le concept de retard cognitif.
En effet l'enfermement intellectuel dans lequel se trouve la soi-disant Intelligentsia française conduit en dépit de toutes les sources d'information dont non disposons à un retard cognitif. C'est-à-dire au niveau de l'individu la conviction inébranlable que ses grilles d'analyse sont éternelles et immuables et bien sûr les meilleures; de la part du groupe qui a le pouvoir à la mise en bocal avec étiquette des individus pour ne s'en servir qu'à des fins précises de temps en temps et sans que cette utilisation ne modifie d'un iota le politiquement correct installé et verrouillé par les médias, les partis politiques en place c'est à dire les 600 000 élus et les 6 millions de fonctionnaires.
Voilà pourquoi l'intelligentsia françaises a disparue.
En France ce système n'a subi aucune disruption depuis la fin de Pompidou.
Et au risque de décevoir je n'en vois aucune à l'horizon.
En effet l'enfermement intellectuel dans lequel se trouve la soi-disant Intelligentsia française conduit en dépit de toutes les sources d'information dont non disposons à un retard cognitif. C'est-à-dire au niveau de l'individu la conviction inébranlable que ses grilles d'analyse sont éternelles et immuables et bien sûr les meilleures; de la part du groupe qui a le pouvoir à la mise en bocal avec étiquette des individus pour ne s'en servir qu'à des fins précises de temps en temps et sans que cette utilisation ne modifie d'un iota le politiquement correct installé et verrouillé par les médias, les partis politiques en place c'est à dire les 600 000 élus et les 6 millions de fonctionnaires.
Voilà pourquoi l'intelligentsia françaises a disparue.
En France ce système n'a subi aucune disruption depuis la fin de Pompidou.
Et au risque de décevoir je n'en vois aucune à l'horizon.
vendredi 11 novembre 2016
jeudi 10 novembre 2016
Les fausses sciences ne dominent pas le monde
http://www.slate.fr/story/126602/pourquoi-fausses-sciences-gouvernent-monde
La question posée est un postulat non démontré.
Il y a la science et elle n'est pas la propriété des scientifiques. En revanche la science est expérimentale. Nul ne peut se dérober À l'expérience Elle est la source Des faits observable qu'il s'agisse de l'expérience vécue spontanée ou bien d'une expérience programmée dont la réalisation est inspiré par un but.
Dès lors que des opinions s'expriment sur des sujets scientifiques sans faire référence à des faits observables ou à des résultats expérimentaux, il ne s'agit pas de fausses sciences il s'agit d'une opinion sans preuve.
En résumé concéder le mot science même en le précédent d'un adjectif qu'il voudrait le contredire c'est déjà une défaite de la pensée scientifique. C'est aussi une volonté implicite de remettre en cause toute opinions libre. Les individus qui pensent que les OGM tuent des humains ont le droit de le penser. Simplement ils sont dans l'incapacité de le prouver. Il ne faut pas tenter de les défaire en interdisant leur opinion il faut simplement leur répéter inlassablement de la prouver.
Il n'y a donc aucune croisade à entreprendre. L'histoire a prouvé qu'il n'est pas rationnel de vouloir interdire les opinions libres. En revanche il faut être intraitable sur les bases du raisonnement scientifique. Il faut d'abord expliquer la nature incertaine des actions humaines, l'extrême complexité inhérente au processus biologique, le paradigme poppérien des théories scientifiques.
Ce que la science permet de faire À partir des faits c'est de tirer des conclusions avec une incertitude faible dans certains cas et dans tous les cas de mesurer l'incertitude avec laquelle nous pouvons affirmer un certain nombre de déductions.
Ce que la science nous apprend c'est que la nature est d'une Infinie complexité. Réaliser une expérience dans un laboratoire avec des rats présente peu de sens quant à la comparaison avec des humains. Déduire d'une expérience Qu'un phénomène biologique est unifactoriel est très hautement improbable.
Ceux que la science nous apprend en matière de théories scientifiques c'est l'importance de la falsifiabilité et du fait que la science n'avance que par la contradiction.
Après avoir assimilé celle de rationalité fondamentale on comprend user manque il n'y a pas de fausses sciences, qu'il n'y a pas de mur étanche entre la vérité et les voir, que ce que nous connaissons aujourd'hui n'est qu'une petite partie deux OK la réalité infini du monde, et que finalement il faut avancer par essais et erreurs.
Cette approche épistémologique peut-être utilisé pour tous les grands sujets actuels, OGM, pesticides, statine, réchauffement climatique, cause des maladies...
In short, Freedom of speech is essential but a mandatory rationality of proof characterises science.
La question posée est un postulat non démontré.
Il y a la science et elle n'est pas la propriété des scientifiques. En revanche la science est expérimentale. Nul ne peut se dérober À l'expérience Elle est la source Des faits observable qu'il s'agisse de l'expérience vécue spontanée ou bien d'une expérience programmée dont la réalisation est inspiré par un but.
Dès lors que des opinions s'expriment sur des sujets scientifiques sans faire référence à des faits observables ou à des résultats expérimentaux, il ne s'agit pas de fausses sciences il s'agit d'une opinion sans preuve.
En résumé concéder le mot science même en le précédent d'un adjectif qu'il voudrait le contredire c'est déjà une défaite de la pensée scientifique. C'est aussi une volonté implicite de remettre en cause toute opinions libre. Les individus qui pensent que les OGM tuent des humains ont le droit de le penser. Simplement ils sont dans l'incapacité de le prouver. Il ne faut pas tenter de les défaire en interdisant leur opinion il faut simplement leur répéter inlassablement de la prouver.
Il n'y a donc aucune croisade à entreprendre. L'histoire a prouvé qu'il n'est pas rationnel de vouloir interdire les opinions libres. En revanche il faut être intraitable sur les bases du raisonnement scientifique. Il faut d'abord expliquer la nature incertaine des actions humaines, l'extrême complexité inhérente au processus biologique, le paradigme poppérien des théories scientifiques.
Ce que la science permet de faire À partir des faits c'est de tirer des conclusions avec une incertitude faible dans certains cas et dans tous les cas de mesurer l'incertitude avec laquelle nous pouvons affirmer un certain nombre de déductions.
Ce que la science nous apprend c'est que la nature est d'une Infinie complexité. Réaliser une expérience dans un laboratoire avec des rats présente peu de sens quant à la comparaison avec des humains. Déduire d'une expérience Qu'un phénomène biologique est unifactoriel est très hautement improbable.
Ceux que la science nous apprend en matière de théories scientifiques c'est l'importance de la falsifiabilité et du fait que la science n'avance que par la contradiction.
Après avoir assimilé celle de rationalité fondamentale on comprend user manque il n'y a pas de fausses sciences, qu'il n'y a pas de mur étanche entre la vérité et les voir, que ce que nous connaissons aujourd'hui n'est qu'une petite partie deux OK la réalité infini du monde, et que finalement il faut avancer par essais et erreurs.
Cette approche épistémologique peut-être utilisé pour tous les grands sujets actuels, OGM, pesticides, statine, réchauffement climatique, cause des maladies...
In short, Freedom of speech is essential but a mandatory rationality of proof characterises science.
mercredi 9 novembre 2016
mardi 8 novembre 2016
A turning point in US workforce
http://cnsnews.com/news/article/terence-p-jeffrey/government-workers-now-outnumber-manufacturing-workers-9977000
Interesting hypothesis
Intraplaque hemorrhage, a potential consequence of periodontal bacteria gathering in human carotid atherothrombosis.
Abstract
Periodontal diseases are multifactorial inflammatory diseases, caused by a bacterial biofilm involving both innate and adaptative immunity, characterized by the destruction of tooth-supporting tissues. In the context of periodontitis, the spread of weak pathogenic bacteria into the bloodstream has been described. These bacteria will preferentially localize to existing clot within the circulation. Atherothrombosis of the carotid arteries is a local pathology and a common cause of cerebral infarction. Intraplaque hemorrhages render the lesion more prone to clinical complications such as stroke. The main objective of this study is to explore the biological relationship between carotid intraplaque hemorrhage and periodontal diseases. This study included consecutive patients with symptomatic or asymptomatic carotid stenosis, admitted for endarterectomy surgical procedure (n=41). In conditioned media of the carotid samples collected, markers of neutrophil activation (myeloperoxidase or MPO, DNA-MPO complexes) and hemoglobin were quantified. To investigate the presence of DNA from periodontal bacteria in atherosclerotic plaque, PCR analysis using specific primers was performed. Our preliminary results indicate an association between neutrophil activation and intraplaque hemorrhages, reflected by the release of MPO (p<0,01) and MPO-DNA complexes (p<0,05). Presence of DNA from periodontitis-associated bacteria was found in 32/41 (78%) atheromatous plaque samples. More specifically, DNA from Pg, Tf, Pi, Aa was found in 46%, 24%, 34% and 68% of the samples, respectively. Hemoglobin levels were higher in conditioned media in carotid samples where the bacteria were found, but this was not statistically significant. Our data confirm the relationship between intraplaque hemorrhage and neutrophil activation. In addition, the presence of periodontal bacteria DNA in carotid atheromatous plaque, may contribute to this activation. Further analysis is needed to fully explore the raw data and specimens.
Authors
Brun A, Rangé H, Prouvost B, Meilhac O, Mazighi M, Amarenco P, Lesèche G, Bouchard P, Michel JB
GMO, Round Up, Statins, anti-Alzheimer's drug, the saga of tribal opinions
http://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/alzheimer-les-medicaments-inefficaces_1881383.html
lundi 7 novembre 2016
dimanche 6 novembre 2016
Quand vous lisez humanisme, rappelez-vous de Soljenitsyne.
http://universite-liberte.blogspot.fr/2015/05/alexandre-soljenitsyne-et-lhumanisme_15.html?spref=fb&m=1
Discours bien ancré à droite de Yvan Rioufol, alors évidemment, on en a perdu l'habitude et certains trouveront cette tribune, au mieux réac, au pire à l'extrême droite! Le centrisme actuel de gauche fait des ravages...
Article dans son intégralité pour les non abonnés au Figaro
FIGAROVOX/CHRONIQUE - Aveuglés par leur foi en la religion des bons sentiments, les humanistes négligent la brutalité de la réalité vécue par les «petites gens».
Ils ne voient rien. Les immigrationnistes, enivrés de leur «humanisme», ne voient rien de ce qui devrait les révulser. Le nouvel antisémitisme, par exemple: importée par la culture musulmane, cette haine défigure l'Allemagne, une fois de plus, depuis qu'elle a reçu plus d'un million de «migrants» en 2015. Récemment, à Berlin, des drapeaux israéliens ont été brûlés par des jeunes turcs et arabes qui criaient «Mort à Israël!», après la décision de Donald Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale de l'État hébreu. En France, cela fait longtemps que les Juifs ont fui les cités islamisées
.
Le sexisme est une autre conséquence sur laquelle s'aveuglent les brocanteurs de bons sentiments. Les néoféministes, qui appellent à déboulonner le patriarcat, se taisent devant les injures machistes ou les agressions sexuelles commises par des hommes venus du Maghreb ou d'Afrique noire. L'insécurité est aussi le lot de certains quartiers et établissement scolaires. À Toulouse, les enseignants du lycée Joseph-Gallieni lancent un «appel au secours». Mais qui les plaindra?
«Donald Trump est-il (vraiment) fou?», s'est interrogée la chaîne C8, lundi soir, en proposant une enquête à charge. Des psychiatres y ont défendu l'urgence de destituer le malade mental, comme au bon vieux temps de l'URSS et de sa psychiatrie punitive. Mais qui est cinglé, sinon celui qui nie ce qu'il a sous le nez, au prétexte que cette réalité contredit ses croyances? Où sont les «fake news», sinon dans ces propagandes qui, en l'occurrence, taisent les succès économiques et diplomatiques du président américain? Hypocrite est cette générosité exhibée par les «humanistes» qui poussent la France à s'ouvrir à tous. Ces irresponsables se gardent, presque toujours, d'offrir une place dans leur propre maison. En 2017, la France a délivré 262 000 titres de séjour, tandis que les retours forcés n'ont été que de 14.859. Ce rythme est plus ou moins imposé à la nation depuis des décennies. Les gens disent n'en plus vouloir. Mais les «humanistes» s'en balancent.
«Donald Trump est-il (vraiment) fou?», s'est interrogée la chaîne C8, lundi soir, en proposant une enquête à charge. Des psychiatres y ont défendu l'urgence de destituer le malade mental, comme au bon vieux temps de l'URSS et de sa psychiatrie punitive. Mais qui est cinglé, sinon celui qui nie ce qu'il a sous le nez, au prétexte que cette réalité contredit ses croyances? Où sont les «fake news», sinon dans ces propagandes qui, en l'occurrence, taisent les succès économiques et diplomatiques du président américain? Hypocrite est cette générosité exhibée par les «humanistes» qui poussent la France à s'ouvrir à tous. Ces irresponsables se gardent, presque toujours, d'offrir une place dans leur propre maison. En 2017, la France a délivré 262 000 titres de séjour, tandis que les retours forcés n'ont été que de 14.859. Ce rythme est plus ou moins imposé à la nation depuis des décennies. Les gens disent n'en plus vouloir. Mais les «humanistes» s'en balancent.
À entendre cette gauche universaliste, Emmanuel Macron serait une menace pour la tradition hospitalière. Il irait plus loin que la droite. En réalité, le président, qui a soutenu la démente politique d'immigration d'Angela Merkel et reste un opposant acharné du «populisme», est proche de ces foldingues. Une poignée d'intellectuels rappelle d'ailleurs sa filiation quand ils l'interpellent (Le Monde, mercredi): «Monsieur Macron, votre politique contredit l'humanisme que vous prônez!» Il ne viendra jamais à l'esprit de ces bons apôtres de s'interroger sur l'injustice de leur combat, qui préfère l'étranger à l'indigène. Entendre Macron déclarer l'autre jour: «Il faut se garder des faux bons sentiments» et appeler, mardi à Calais, les associations promigrants à la «responsabilité» laisse voir, en effet, une évolution personnelle. Ce changement de ton, né d'un impensé initial sur l'immigration, annonce-t-illa fermeté, sottement redoutée par les «humanistes»? À voir.
Référendum sur l'immigration
Ce ne sont pas aux associations humanitaires, aux groupes de pression moralisateurs, aux faux gentils de la politique et des médias, de décider encore et toujours de l'avenir de la nation. Selon un sondage publié mardi dans Le Figaro, la lutte contre l'immigration clandestine est classée au premier rang des priorités des Français, à égalité avec le renforcement des lois antiterroristes. Ces préoccupations identitaires et sécuritaires dépassent la seule expertise économique dont se prévaut le macronisme. Le chef de l'État a fait l'impasse sur les sujets sociétaux, qu'il voit comme des conséquences de situations sociales. L'immigration n'a été qu'effleurée par le candidat, converti à l'humanitarisme et à ses recettes vénusiennes. Ceux qui croient voir de la «fermeté» dans l'ouverture de Macron au réalisme risquent de se laisser abuser par un discours de façade se contentant pour l'instant d'aligner des mots. Seul un référendum sur la poursuite d'une immigration de peuplement permettrait aux «élites» d'atterrir enfin.
Mais la voix du peuple ne compte pas pour ces messieurs dames. En juin 2016, 55,17 % des habitants de la Loire-Atlantique ont approuvé le projet d'un aéroport à Notre-Dame-des-Landes. Macron, en avril 2017, avait déclaré: «Il y a eu un vote ; mon souhait, c'est de le respecter et donc de le faire.» Il avait répété: «Je fais ce que j'ai dit.» C'est pourtant lui qui a décidé, mercredi, d'annuler le projet, avalisé par 180 décisions de justice. La fermeté de «Jupiter» s'est effondrée devant la menace d'une centaine de «zadistes» prêts à en découdre pour défendre les terres qu'ils occupent illégalement. Non seulement le pouvoir a reculé devant une minorité agressive, mais il n'entend pas faire évacuer l'endroit dans l'immédiat. Les plus pacifistes pourraient même y demeurer, comme ils l'exigent. La débandade offre la victoire aux minorités violentes qui contestent l'État de droit. L'autoritarisme du président est une mascarade qui cache une pusillanimité.
C'est au nom de l'«apaisement» que le pouvoir a accepté de se faire humilier par des groupuscules. Or l'enfer est pavé de bonnes intentions. La bienveillance sera toujours vue comme une faiblesse par ceux qui contestent la société. Les seuls bons sentiments sont un piège mortel pour l'autorité de l'État, qui semble vouloir renouer avec l'imperium jacobin. Il est peu de dire que Macron ne se donne pas les moyens de ses ambitions.
Discours bien ancré à droite de Yvan Rioufol, alors évidemment, on en a perdu l'habitude et certains trouveront cette tribune, au mieux réac, au pire à l'extrême droite! Le centrisme actuel de gauche fait des ravages...
Article dans son intégralité pour les non abonnés au Figaro
FIGAROVOX/CHRONIQUE - Aveuglés par leur foi en la religion des bons sentiments, les humanistes négligent la brutalité de la réalité vécue par les «petites gens».
Ils ne voient rien. Les immigrationnistes, enivrés de leur «humanisme», ne voient rien de ce qui devrait les révulser. Le nouvel antisémitisme, par exemple: importée par la culture musulmane, cette haine défigure l'Allemagne, une fois de plus, depuis qu'elle a reçu plus d'un million de «migrants» en 2015. Récemment, à Berlin, des drapeaux israéliens ont été brûlés par des jeunes turcs et arabes qui criaient «Mort à Israël!», après la décision de Donald Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale de l'État hébreu. En France, cela fait longtemps que les Juifs ont fui les cités islamisées
.
Le sexisme est une autre conséquence sur laquelle s'aveuglent les brocanteurs de bons sentiments. Les néoféministes, qui appellent à déboulonner le patriarcat, se taisent devant les injures machistes ou les agressions sexuelles commises par des hommes venus du Maghreb ou d'Afrique noire. L'insécurité est aussi le lot de certains quartiers et établissement scolaires. À Toulouse, les enseignants du lycée Joseph-Gallieni lancent un «appel au secours». Mais qui les plaindra?
«Donald Trump est-il (vraiment) fou?», s'est interrogée la chaîne C8, lundi soir, en proposant une enquête à charge. Des psychiatres y ont défendu l'urgence de destituer le malade mental, comme au bon vieux temps de l'URSS et de sa psychiatrie punitive. Mais qui est cinglé, sinon celui qui nie ce qu'il a sous le nez, au prétexte que cette réalité contredit ses croyances? Où sont les «fake news», sinon dans ces propagandes qui, en l'occurrence, taisent les succès économiques et diplomatiques du président américain? Hypocrite est cette générosité exhibée par les «humanistes» qui poussent la France à s'ouvrir à tous. Ces irresponsables se gardent, presque toujours, d'offrir une place dans leur propre maison. En 2017, la France a délivré 262 000 titres de séjour, tandis que les retours forcés n'ont été que de 14.859. Ce rythme est plus ou moins imposé à la nation depuis des décennies. Les gens disent n'en plus vouloir. Mais les «humanistes» s'en balancent.
«Donald Trump est-il (vraiment) fou?», s'est interrogée la chaîne C8, lundi soir, en proposant une enquête à charge. Des psychiatres y ont défendu l'urgence de destituer le malade mental, comme au bon vieux temps de l'URSS et de sa psychiatrie punitive. Mais qui est cinglé, sinon celui qui nie ce qu'il a sous le nez, au prétexte que cette réalité contredit ses croyances? Où sont les «fake news», sinon dans ces propagandes qui, en l'occurrence, taisent les succès économiques et diplomatiques du président américain? Hypocrite est cette générosité exhibée par les «humanistes» qui poussent la France à s'ouvrir à tous. Ces irresponsables se gardent, presque toujours, d'offrir une place dans leur propre maison. En 2017, la France a délivré 262 000 titres de séjour, tandis que les retours forcés n'ont été que de 14.859. Ce rythme est plus ou moins imposé à la nation depuis des décennies. Les gens disent n'en plus vouloir. Mais les «humanistes» s'en balancent.
À entendre cette gauche universaliste, Emmanuel Macron serait une menace pour la tradition hospitalière. Il irait plus loin que la droite. En réalité, le président, qui a soutenu la démente politique d'immigration d'Angela Merkel et reste un opposant acharné du «populisme», est proche de ces foldingues. Une poignée d'intellectuels rappelle d'ailleurs sa filiation quand ils l'interpellent (Le Monde, mercredi): «Monsieur Macron, votre politique contredit l'humanisme que vous prônez!» Il ne viendra jamais à l'esprit de ces bons apôtres de s'interroger sur l'injustice de leur combat, qui préfère l'étranger à l'indigène. Entendre Macron déclarer l'autre jour: «Il faut se garder des faux bons sentiments» et appeler, mardi à Calais, les associations promigrants à la «responsabilité» laisse voir, en effet, une évolution personnelle. Ce changement de ton, né d'un impensé initial sur l'immigration, annonce-t-illa fermeté, sottement redoutée par les «humanistes»? À voir.
Référendum sur l'immigration
Ce ne sont pas aux associations humanitaires, aux groupes de pression moralisateurs, aux faux gentils de la politique et des médias, de décider encore et toujours de l'avenir de la nation. Selon un sondage publié mardi dans Le Figaro, la lutte contre l'immigration clandestine est classée au premier rang des priorités des Français, à égalité avec le renforcement des lois antiterroristes. Ces préoccupations identitaires et sécuritaires dépassent la seule expertise économique dont se prévaut le macronisme. Le chef de l'État a fait l'impasse sur les sujets sociétaux, qu'il voit comme des conséquences de situations sociales. L'immigration n'a été qu'effleurée par le candidat, converti à l'humanitarisme et à ses recettes vénusiennes. Ceux qui croient voir de la «fermeté» dans l'ouverture de Macron au réalisme risquent de se laisser abuser par un discours de façade se contentant pour l'instant d'aligner des mots. Seul un référendum sur la poursuite d'une immigration de peuplement permettrait aux «élites» d'atterrir enfin.
Mais la voix du peuple ne compte pas pour ces messieurs dames. En juin 2016, 55,17 % des habitants de la Loire-Atlantique ont approuvé le projet d'un aéroport à Notre-Dame-des-Landes. Macron, en avril 2017, avait déclaré: «Il y a eu un vote ; mon souhait, c'est de le respecter et donc de le faire.» Il avait répété: «Je fais ce que j'ai dit.» C'est pourtant lui qui a décidé, mercredi, d'annuler le projet, avalisé par 180 décisions de justice. La fermeté de «Jupiter» s'est effondrée devant la menace d'une centaine de «zadistes» prêts à en découdre pour défendre les terres qu'ils occupent illégalement. Non seulement le pouvoir a reculé devant une minorité agressive, mais il n'entend pas faire évacuer l'endroit dans l'immédiat. Les plus pacifistes pourraient même y demeurer, comme ils l'exigent. La débandade offre la victoire aux minorités violentes qui contestent l'État de droit. L'autoritarisme du président est une mascarade qui cache une pusillanimité.
C'est au nom de l'«apaisement» que le pouvoir a accepté de se faire humilier par des groupuscules. Or l'enfer est pavé de bonnes intentions. La bienveillance sera toujours vue comme une faiblesse par ceux qui contestent la société. Les seuls bons sentiments sont un piège mortel pour l'autorité de l'État, qui semble vouloir renouer avec l'imperium jacobin. Il est peu de dire que Macron ne se donne pas les moyens de ses ambitions.
PCSK9 future questioned after Pfizer withdraw from the race
http://www.pfizer.com/news/press-release/press-release-detail/pfizer_discontinues_global_development_of_bococizumab_its_investigational_pcsk9_inhibitor
Pfizer failed with Torcetrapib and now with a monoclonal antigen.
https://en.wikipedia.org/wiki/Torcetrapib
Pfizer failed with Torcetrapib and now with a monoclonal antigen.
https://en.wikipedia.org/wiki/Torcetrapib