lundi 20 juillet 2015

Définir le mal et dimensionner la défense: les francais moins bien protégés que les maliens

Envoyer la police contre des guerriers suicidaires et haineux est une réponse inefficace et dangereuse pour les policiers et pour les civils français. Les exemples sont nombreux et il est significatif que l'expérience se reproduise sans que l'état ne hausse sa réponse au dessus du danger.


Comment les français ne peuvent ils pas se rendre compte du double jeu?

Mali, contre les djihadistes la Légion les paras et les commandos...
France contre les djihadistes les policiers avec leur pistolet face aux kalach...

France, avoir une arme pour sa légitime défense est interdit. En revanche faire du trafic de drogue et de biens volés et menacer avec une arme les français les policiers les gendarmes est pratiqué quotidiennement avec un taux de poursuites inconnu.

France, attaquer un commissariat une gendarmerie ou des véhicules privés pour les voler les saccager et les bruler c'est le quotidien, avec d'un côté des mortiers des cocktails molotov, des armes à feu, des jets d'objets dangereux et de l'autre des voitures de police non adaptées à la guérilla urbaine ou des policiers passifs car s'ils blessent un voyou ils vont en prison.

Au total les francais font l'expérience après Orange Mécanique baptisée vague d'incivilités par les médias, du Liban en guerre c'est à dire la destruction la plus violente de valeurs de biens et d'individus depuis la WWII. 


Nos grandes villes sont devenues des espaces tiers-mondistes où règne la loi de la mafia ou de la charia. La peur a changé radicalement de camp. Le quidam innocent doit baisser le regard, donner une clope même s'il n'est pas fumeur, filer 50 euros au pauvre drogué en manque, éviter d'approcher les bandes de djeuns, marcher en silence sans signe ostentatoire de judéochristianité ou de richesse, bref obtempérer.  Les français ont objectivement raison d'avoir peur d'être rackettés depuis longtemps mais depuis Mérah personne n'est à l'abri d'un sabre de décapitation ou d'une balle de kalach. Les policiers, les gendarmes sont maintenus à distance de ces espaces de non droit par l'état qui leur interdit toute action de contrôle et toute action préventive afin de ne pas risquer des émeutes. L'état a décidé de n'agir que quand l'irréparable a été commis et encore de manière très retenue et précautionneuse comme en témoigne les attentats récents. Les mosquées radicales sont connues, les caches d'armes sont connues, les stocks de drogue et d'objets volés sont entreposés dans des endroits connus. Les individus dangereux sont connus et présents partout, dans les banlieues, les entreprises, l'université, l'armée, la police. Ils ne sont pas inquiétés et circulent librement en Syrie, en Lybie, au Maghreb, ou comme migrants parmi les 400 000 personnes qui débarquent en France.

L'état failli à sa mission essentielle de sécurité mais prétend faire notre bien au sujet du climat...

On surveille, mais pas touche, c'est trop dangereux politiquement, les associations anti-racistes veillent, elles agissent préventivement en utilisant les subventions pour poursuivre les déviants devant les tribunaux de la pensée. Les syndicalistes donnent de la voix contre les zinégalités, le manque de moyens pour les "banlieues" idéalisées comme les nouveaux Billancourt.  Les politiciens les plus pleutres stigmatisent les plus rationnels en les accusant de racism, d'intolérans, de tentation fachiste. Les médias relaient en boucle les thèses zumanistes, le mythe de la société multiethnique, le risque du fachism, les propos "nauséabonds"... Et à chaque fois c'est le même scénario, isolés, loups solitaires, pauvres discriminés, orphelins traumatisés, instables psychologiquement, les explications marxistes ou psychanalytiques sont martelées pour éviter de parler de l'essentiel le djihad. Peu importe que les djihadistes soient plutôt instruits qu'ils aient un boulot et une connaissance plutôt pointue des arcanes administratives françaises pour obtenir toutes les aides, c'est dit, c'est pas leur faute, ils sont discriminés, c'est la faute des salops de français de "souche", des anciens colonialistes, des capitalistes, des blancs et de l'estrem douate.
Les tribunaux bloquent les actions de prévention, condamnent les actes d'autodéfense et libèrent les récidivistes. Les médias sont plus que jamais aux ordres pour minimiser l'impact des mauvaises nouvelles. On ment, on dissimule, on retarde, on lâche le morceau en plusieurs fois. Feu, incendie, malveillance, soupçons, origine criminelle, la suite au prochain communiqué dans longtemps le temps de masquer les choses. Ensuite on noie le poisson islamiste dans un flot de nouvelles mesures que l'état a pris pour notre bien et avec notre argent. Pollution, réchauffisme, illusion du tout pour tous gratuit, délire festif et interdiction du gaspillage alimentaire. Ces techniques sont bien connues des régimes totalitaires. En revanche la loi sur le renseignement votée par des députés complices permet une surveillance sans précédent des français innocents par exemple au motif qu'ils pourraient frauder...
Inexorablement les victimes innocentes se multiplient et les français font des marches blanches contre une armée intérieure qui les domine. Dans des situations similaires le réveil est en général brutal.

Mais il se peut que nous dépassions très prochainement  le point de non retour.






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