samedi 25 mai 2013

Doctor owned hospitals provide better quality care

I am not so surprised that physicians as private owners could beat large firms in managing quality of care in hospitals.

http://www.amednews.com/article/20130429/government/130429948/4/

Une trop longue liste!

Munich (1972),
Maalot (1974),
l’Ambassade américaine de Téhéran (1979),
l’Achiles Lauro (1985),
Lockerbie (1984),
Le World Trade Center (1993, le premier),
Louxor (1997),
USS Cole (2000),
Dolphinarium de Tel Aviv (2001),
Pizza Sbarro (2001),
World Trade Center (2001, le second),
Bali, 2002,
Madrid, 2004,
Beslan, 2004,
Londres, 2005,
Mumbai, 2008,
les enfants Fogel, 2011,
Toulouse, 2012
Banghazi, 2012
Boston (2013)
Londres (2013)

The future of "SSR" clinics in France is bright...

Obviously a lot of patients wait for an exit in a bed of highly specialised hospitals. That's because general practitioners are unable to take care of them even with the availability of different providers of home care.
There is a gap between acute care and home which is more clear since hospital stays are shorter and patients are older and sicker.

In France there are "Soins de Suite et Réadaptation" clinics which are devoted to this transitional care between highly technical establishments of acute care and home.

This network is continuously improving and deliver both excellent hotel accomodations and very up to date post acute care. Improvments of rooms and meals are the results of tremendous investmenst to rebuild old clinics which were precedently devoted to tuberculosis and or rehabilitation after injury.
Improvments of care are based on e-medicine and EHR. Those clinics frequently smaller than hospitals are better managed at the medical, pharmaceutical and nursing level.









http://www.medpagetoday.com/HospitalBasedMedicine/Hospitalists/39401?xid=nl_mpt_DHE_2013-05-25&utm_content=&utm_medium=email&utm_campaign=DailyHeadlines&utm_source=WC&eun=g432148d0r&userid=432148&email=guyandrepelouze@gmail.com&mu_id=5529932

Il faudra s'en rappeler...

 "Je pense que multiplier les manifestations au risque d'avoir des dérapages comme ily en a eu au cours des précédentes ce n'est pas très opportun. C'est pourquoi je ne conseille pas de manifester."
A Juppé Mai 2013


"Maintenant, la loi est votée, le Conseil constitutionnel l'a validée, il n'est pas question pour moi de défiler derrière des banderoles qui appellent soit à la désobéissance civile, soit à une récupération politique qui ne peut profiter qu'à l'extrême-droite", justifie l'ancien ministre de l'Économie. Il n'entend pas non plus revenir sur le texte, si l'opposition revenait au pouvoir.
F Baroin Mai 2013
http://www.sudouest.fr/2013/05/23/voila-pourquoi-je-n-irai-pas-manifester-1061359-710.php

Baroin, Juppé, Riester, NKM, sont des progressistes étatistes pour qui l'UMP est un parti de pouvoir à leur service

Il est intéressant de comprendre comment certains à l'UMP voient la politique.
Un fond d'idées et de lois que la gauche fait voter avec un cliquet de non retour!

Retraite à 60 ans, 35 heures, AME, toutes ces lois fort coûteuses en OAT achetées par les étrangers à 70% (donc avec des intérêts versés aux fond de pension étrangers pour 70%...), mais aussi les lois sociétales ne peuvent être selon eux ni abrogées (crime antirépublicain) ni réécrites.
Pour mrs Baroin et Juppé le rôle de l'opposition revenue au pouvoir (avec eux aux manettes comme il se doit...) sera de faire quelques annotations dans la marge pour nous expliquer pourquoi il vaut mieux conserver ces lois car leur abrogation risquerait de faire élire Marine Le Pen.
Le ridicule à l'UMP n'a jamais tué, mais on sait depuis l'élection de 1981 que la trahison non plus. 



“There are some ideas so stupid that only an intellectual could believe them” (George Orwell)

Ces personnes sont dangereuses, elles empêchent la France de sortir du socialisme d'état caractérisé par un état providence insoutenable qui est leur ADN celui du PS et aussi celui du FN...
La société civile, ses acteurs, ses actions sont en train de bouleverser la politique et peut être de sauver le pays.
Tout ce que ces Cassandre déclarent est tellement décalé par rapport à ce que les français vivent tous les jours que le résultat de ces déclarations amplifiées par la presse gauchiste est bien de faire fuir les électeurs de l'UMP.

vendredi 24 mai 2013

Mais comment se débarrasser de l'état providence si injuste et inefficace?

Les bases conceptuelles alléguées de l'état providence à la française sont toutes erronées. Petit florilège.

Si la dépense publique était le carburant de la croissance nous serions en tête en Europe, voire dans le monde.
Si la réduction du temps de travail créait des emplois nous aurions moins de 5% de chômeurs et surpasserions tous les autres pays.
Si la retraite précoce favorisait l'embauche des jeunes nous aurions un plein emploi des moins de 25 ans.
Si le remboursement des soins faisait la santé des populations nous aurions la meilleure santé d'Europe.
Si la longue indemnisation du chômage faisait le retour à l'emploi nous aurions le plus faible taux de chômeurs de longue durée.

En réalité cette dépense sociale la plus élevée au monde est un achat électoral.

Si toutes ces assertions sont fausses ce qui est maintenant vérifié par l'histoire, elles ont été créées dans un but: acheter des voix et augmenter le poids direct ou indirect de l'état dans l'économie. Cet achat de voix est le propre des deux partis au pouvoir depuis 1974.
Dès lors ce poids est progressivement devenu insupportable par l'économie productive. Il interdit une sortie de crise car les seules "politiques" conduites par l'état français consistent à retarder la destruction créatrice des activités économiques du passé en amplifiant l'état providence et/ou subventionnant directement les activités marchandes qui échouent dans la concurrence y compris avec des compétiteurs européens.

Quelle est la sortie de crise pour une économie aussi handicapée?

Tout simplement la déflation. Une déflation longue qui ramène les avantages sociaux au niveau de la richesse produite. De quoi s'agit il?
Des 35 heures payées 35, de la baisse des retraites pour compenser les années de cotisation non effectuées, de la double peine en matière d'assurance maladie, cotiser selon ses besoins et être remboursé selon ses revenus, de l'augmentation de la pression fiscale globale.
Ces orientations sont fortement déflationnistes et comme elles se combinent à une augmentation de la dépense publique et de la pression fiscale les ménages ont une réaction ricardienne qui consiste à épargner.
Par ailleurs l'absence de croissance du produit intérieur brut marchand maintient les chômeurs dans une trappe d’assistanat.

Le résultat des politiques publiques actuelles est la persistance de l'état providence avec une orientation de celui ci vers les très pauvres ou les étrangers (cas de l'AME), entrainant un rejet des classes moyennes

Ces dernières vont être très paupérisées voyant le différentiel de revenus s'effondrer à cause de la crise mais aussi en raison de la baisse des allocations familiales des aides diverses ou des avantages fiscaux des emplois à domicile. Cette orientation est aussi politique. Elle consiste à acheter les voix des personnes les plus défavorisées qui sont empêchées de revenir vers l'emploi par ces politiques d'assistanat. C'est le choix des politiques et des syndicats contre l'emploi pour le RSA qui se résume dans le leit motiv de la lutte contre les emplois "précaires". Ce qui est précaire c'est le RSA!
Il dépouille l'individu de sa dignité car gagner de l'argent par soi même et faire partie d'une entreprise s'est s'inscrire dans la société et avoir l'espoir d'améliorer son sort.

La baisse de la dépense publique d'environ deux points de PIB par an sur 5 ans 

Si l'on examine attentivement les évolutions récentes des autres pays européens la baisse drastique de la dépense publique  combinée à une baisse modérée des avantages sociaux permettrait de sortir de la crise sans casser les mécanismes d'aide sociale. Au lieu de cette politique courageuse les politiciens français attendent un incident budgétaire (cas présent avec le délai de deux ans accordé par la Commission) ou de crédit (altération de la confiance dans la signature française) pour pouvoir se livrer à leur numéro habituel d'accusation d'un bouc émissaire européen ou financier.