samedi 18 janvier 2020

Progressive policies do not help minorities

"black America got “caught up in the symbolism of the Obama presidency” but saw its economic fortunes decline under his administration. Indeed, it turns out that, for the most part, progressive politics do not especially help minorities."

"Evaluating factors like income differentials, homeownership, business ownership, migration, and educational achievement, a study by the Center for Opportunity Urbanism (where I’m executive director) found that, ironically, 13 of the 15 best regions for African-Americans are today located in the old Confederacy, while the other two—Washington and Baltimore—were in border states. The worst performers were Democratic strongholds like Boston, Milwaukee, San Francisco, Minneapolis, and Los Angeles. Blue-state policies—including environmental regulations and higher taxes—also drive out blue-collar businesses that tend to hire minorities and raise housing and other costs. The biggest gap between minority and white homeownership rates—a critical component of the persistent divergence in wealth by race—can be found in left-leaning states like Rhode Island, New York, Massachusetts, and Connecticut. "

https://www.city-journal.org/tribalism-racialism?fbclid=IwAR2ewyTJx05s3ZX6M8D1qwvjju2kFVBVzZXl3h6RrGNSI-ucHuaROGehLPQ#.XiHSmOweEa8.facebook

vendredi 17 janvier 2020

jeudi 16 janvier 2020

Xénophobie d'une part éklégophobie et économophobie d'autre part: les deux mamelles du RN et d'autres perdus de la politique

Xénophobie, Éklegophobie ou Économophobie (je n'utilise pas agoraphobie car le mot a déjà été pris par la psychiatrie) sont aux antipodes du conservatisme.


"Avant il n'y avait pas tous ces étrangers."

Faux il y avait une grande faune et pas seulement autochtone. De tout temps mais l'état de droit était dur avec les délinquants.

"Avant il y avait des valeurs et la marchandisation et le confort matériel ont détruit la nation"

Faux l'absence de guerre, de famine, d'épidémies et autres malheurs cela ne s'appelle pas le confort matériel c'est 30 années de vie.

Je perçois deux dystopies dans cette vision qui sont terriblement caricaturales!
1/ l'étranger n'est pas entré sans permission ni laissez faire. il a choisi en fonction du risque et des avantages. C'est l'état et son exécutif "démocratiquement élu" qui les lui a concédés au détriment des autochtones et/ou des finances publiques. L'état lui a donné l'allocation de subsistance, le toit et les droits aux soins. Blâmer l'étranger est équivalent à lancer un boomerang qui vous revient en pleine face. ce n'est pas la faute des autres c'est le choix itératif des politiques que vous avez élus.
2/ En réalité le monde marchand est vilipendé et c'est une deuxième dystopie. Le monde marchand n'empêche pas la nation, la foi ni la vertu. Le monde marchand est un monde d'échanges non forcés. L'économophobie et l'éklégophobie mènent droit au collectivisme. La ressource est rare et le choix des citoyens est la meilleure façon de faire fonctionner une société. Vouloir diminuer les choix, restreindre l'offre et confier la richesse aux hommes de l'état c'est le système actuel: un collectivisme avec un état prédateur. Ce n'est pas la faute des autres, les mondialistes ou les grands capitalistes c'est l'ignorance de l'économie de marché et le totalitarisme de l'état Léviathan qui choisit pour vous.

En pointant à deux reprises la faute des autres, ce raisonnement enferme les citoyens dans l'irresponsabilité.

Et tout cela démontre que le conservatisme est bien différent de cette politique sans queue ni tête qui n'a jusqu'à présent réussi qu'une seule chose: faire élire les socialistes de droite et les socialistes de gauche sans interruption depuis la libération par les Alliés.

Sarah Halimi: La responsabilité de l'assassin et celle du chef qui interdit à ses subordonnés d'intervenir.




Deux responsabilités distinctes 
(1)
L'assassin est un individu violent consommateur habituel de drogues. il n'a pas de maladie mentale caractérisée connue. Il est pleinement responsable de ses actes et en particulier celui de prendre des drogues pour augmenter sa violence ce qu'il a déjà dû faire dans le passé. Il n'y a pas de question isolée du discernement sinon pour disculper tout individu ayant fumé du cannabis, bu de l'alcool, s'étant injecté de l'héroïne etc. Ce qui n'est pas juste. Le discernement c'est de se rendre compte qu'étant violent la consommation de certaines substances augmente ma violence comportementale. À partir de ce discernement deux comportements: j'utilise cette consommation pour assouvir ma soif de violence ou bien je l'évite car je ne veux pas être précipité dans une spirale. Ce choix est parfaitement conscient car préalable à la prise de substances.
(2)
L'autre responsabilité irréfragable est celle du chef qui interdit à ses subordonnés d'intervenir (leur raison d'être) alors que la vie d'un citoyen est en jeu. Cette dernière relève de l'enquête car elle peut avoir permis à l'assassin d'ôter la vie à sa victime. Je suis surpris que le lien évident n'ai pas conduit à l'ouverture d'abord d'une enquête interne à la police. Je rappelle que nous sommes en plein Paris me semble-t-il et que si ces fonctionnaires étaient insuffisamment préparés pour une telle intervention il a des unités spécialisées qui peuvent être sur place rapidement. Il n'est pas possible de ne pas évoquer le Bataclan.
Donc deux responsabilités qui ne sont pas liées. Attention aux amalgames. La justice et les experts (à la différence de la génétique ou de la bactériologie, en psychiatrie criminelle l'expertise est au mieux une opinion...) n'ont ni base scientifique ni antécédents médicaux pour supprimer la responsabilité pénale de l'assassin. La police et l'état n'ont, à ma connaissance, pas apporté d'éclaircissements sur les ordres donnés aux policiers présents ce qui constitue une reconnaissance de responsabilité.