Physician time: what does it worth in €?

La semaine écoulée a été studieuse pour le médecin que je suis : je viens de passer quatre intenses journées de formation continue, à plein temps.
En dépit des affirmations de certains politiciens en mal d’images de fermeté « crédible », et de celles relayées par d’autres détracteurs de mon métier, je ne deviendrai jamais riche, je le sais. Je l’ai d’ailleurs toujours su : un médecin généraliste est juste quelqu’un qui place sa vision de l’être humain, ses intérêts et son énergie quotidienne en convergence avec les attentes de ses patients. Des patients qui, au fil du temps, finissent par lui faire totale confiance en étant absolument certains qu’ils seront toujours aidés et jamais trahis.
Cette confiance s’obtient sur un fond de compétences qu’il faut acquérir et sans cesse renouveler. Les patients ne sont pas dupes ; ils savent ce dont ils ont besoin, même si certains tentent de les convaincre que « leurs besoins » deviennent de plus en plus démesurés. Peut-être qu’il y a du vrai. Mais lorsque les patients demandent disponibilité, écoute et compétences, ils ne se trompent pas ; ils sont juste en train de réclamer la même chose que réclamaient déjà leurs parents, leurs grands-parents, leurs arrière-grands-parents même. Rien n’a fondamentalement changé, car l’homme et ses besoins demeurent immuables au fil du temps.
Mais si les qualités de disponibilité et d’écoute se portent « en soi », comme des attributs essentiels de notre métier, les compétences s’acquièrent. Et tout ce qui s’acquiert prend du temps et le temps, comme le dit le célèbre adage « c’est de l’argent ».
Déjà durant les études de médecine, on nous explique que l’on coûte cher. C’est exact, car le coût de la formation d’un médecin a été estimé à 500 000 Frs environ. Pourtant, il ne viendrait à l’idée de personne de proposer de former des médecins au rabais, a minima, pour épargner quelques millions. Mais, méfions-nous car il serait « tentant » d’imaginer qu’on pourrait faire tout aussi bien avec des médecins formés ailleurs, sans distinction ni du lieu ni du curriculum, qui n’ont pas coûté un sous au contribuable local. Voilà une piste à approfondir pour nos politiciens et les assureurs : prenez une assurance « médecin formé à l’étranger » qui sera moins chère, car les 500 000 Frs épargnés par la Confédération pour chaque médecin non formé en Suisse, seront versés pour alimenter la caisse et réduire les primes ! A étudier…
Oui, le temps nécessaire pour construire l’édifice d’une solide formation médicale et pour garder cet édifice stable à travers le temps, est absolument inséparable des investissements financiers requis pour y parvenir. C’est long et c’est cher, c’est certain.
Depuis leur entrée à l’Ecole de médecine, le rapport que les docteurs entretiennent avec « le temps » est très particulier et touche à l’essence même de leur métier. Les études médicales sont les plus longues qui soient ; l’acquisition d’une spécialité est longue… voire très longue ; maîtriser davantage les compétences de cette spécialité rajoute encore du temps aux années passées à peaufiner ce « savoir-faire » dont profiteront les patients. Car, du plus simple au plus malade, du plus riche au plus pauvre, tous s’attendent à bénéficier de cette « compétence », patiemment acquise, qui leur revient de droit. Le « savoir » de leur docteur se greffe ainsi, et devient inséparable, de l’attention, la disponibilité et l’écoute qu’il partage avec ses patients.
Mais qui doit reconnaître et valoriser ce temps « précieux », patiemment consacré à construire cette formation, ce savoir ? Ce temps, sans lequel rien n’est possible ? Ce temps qui, dans notre pratique médicale, devient aujourd’hui la clef de tous les enjeux ?
Cette semaine studieuse a également été pour moi l’occasion de faire (refaire ?) un certain nombre de constats. D’abord, et une fois de plus, celui qui ne cesse de me surprendre toujours autant : quatre jours d’absence du cabinet qui représentent une perte de gain conséquente que je ne peux récupérer sous aucune forme. Le temps que j’ai donc consciencieusement consacré à ma formation n’a, manifestement, aucune valeur reconnue.
Ensuite, bien plus important, la découverte de nouvelles évidences, formulées par tous les conférenciers qui ont émis des sérieuses inquiétudes face à l’avenir. En effet, au-delà de la sophistication des technologies et des traitements savants, chacun s’est penché sur « le temps », celui nécessaire à comprendre le patient et ses proches, à identifier leurs attentes, à assurer la mise en application d’un plan de soins et à garantir un suivi médical structuré.
Les exemples pleuvent et contiennent, tous, un élément absolu de crédibilité qu’apporte « l’Evidence-based medicine » c’est-à-dire « la médecine fondée sur les preuves ». Ainsi, dans la dialyse chez la personne âgée, l’élément clef pour la prise de la bonne décision est « le temps » qu’on va devoir consacrer à comprendre, à expliquer et à convaincre de son bien-fondé. Dans la prise en charge d’un diabétique, d’un insuffisant cardiaque ou d’un insuffisant respiratoire, c’est « le temps » qu’on leur consacre qui fait toute la différence au niveau des résultats thérapeutiques. Le syndrome métabolique avec troubles nutritionnels, obésité, hypercholestérolémie et hypertension… seul « le temps » permet de tenter d’attendre les cibles thérapeutiques appropriées et, sans doute, d’éviter un certain nombre de traitements chirurgicaux lourds et coûteux. Le traitement des maladies sexuellement transmissibles qui redeviennent un grave problème, nécessite du « temps », beaucoup de temps, pour informer et éduquer. Puis, l’enfant malade qui pleure, avec ses parents qui veulent qu’on lui donne des antibiotiques, c’est « le temps » durant lequel on va leur expliquer les choses qui est la clef pour choisir la thérapie juste et obtenir leur adhésion au traitement. Les adolescents en mal de vivre qui finissent par confier leur souffrance à leur médecin, il n’y a que « le temps » qu’on leur consacre qui est le garant de la conviction qu’ils doivent acquérir sur le fait qu’ils ne seront pas abandonnés. Et je finirai cette liste, qui pourrait être interminable, en mentionnant les soins palliatifs à domicile, qui ne sont pas nécessairement des soins de fin de vie, qui deviendront absolument impraticables si on ne leur accorde pas « le temps ».
Mais, au-delà de ces considérations, évidences et mises en garde, il y a des gens qui sont aujourd’hui payés pour réfléchir et affirmer que les docteurs passent trop de temps avec leurs patients… et que cela, bien entendu, coûte trop cher. C’est un niveau de réflexion très bas de gamme et profondément erroné. Malheureusement, les décisions administratives et politiques qui en découleront, non seulement ne changeront rien aux coûts de la médecine, mais affecteront profondément et négativement sa qualité.
Il y a quelques jours, un cardiologue expérimenté que je connais bien, a été sollicité en urgence, chez lui, à deux heures du matin. Un patient était en train de faire un infarctus aigu du myocarde. Après une longue journée de travail, et dans l’attente de la suivante, il s’est levé à la hâte, conduit dans la nuit sur des routes de campagne gelées, arrivé avec un stress contenu à l’hôpital et foncé en salle de cathétérisme. Il a mis sur ses mains non seulement des gants stériles… mais, surtout, il les a « habillées » de tout son savoir-faire, patiemment acquis au fil du temps. Puis, avec une inégalable précision d’horloger, qui a non pas une montre mais une vie entre ses mains, il a effectué une coronarographie et placé un stent sur l’artère coronaire qui était en train de se boucher. Durée totale de la procédure : 20 minutes ; durée totale du temps consacré à résoudre un problème grave : 4 heures (sortie du lit – retour au lit). Le cardiologue a sauvé la vie du patient et pour ce geste vital, hautement spécialisé et à haut risque, son hôpital l’a rémunéré 280 Frs (l’équivalent de 20 minutes de travail, soit la durée de la coronarographie).
La veille, ma nièce est allée chez le coiffeur : teinture, coupe et brushing 245 Frs. Elle est restée 1h30 avec ses bigoudis, sous le sèche-cheveux. En parallèle, le coiffeur avait pu prendre en charge deux autres clientes, avec comme seul stress la crainte d’une panne d’électricité ! Cherchez l’erreur… !
Oui, vraiment, si les penseurs et les décideurs de notre société ne prennent pas le temps de revoir leur copie… alors je crois que « le temps », celui dont nous avons vraiment besoin pour exercer pleinement notre métier de médecin, ne vaudra bientôt, et définitivement, plus rien.

La question de la retraite est cruciale pour l'économie




Retraites : et si les Suisses avaient raison ?drapeau suisse by Fabienne D.(CC BY-SA 2.0)

Les Suisses ne consacrent aujourd’hui pour leur retraite que 7,5 % de leur PIB (grâce notamment au recours à la capitalisation), mais malgré cette marge de manœuvre, ils préfèrent allonger encore leur durée de travail.
Un sondage (Smartvote) fait en Suisse, le 19 août, révèle que la majorité des candidats à la députation est en faveur d’un recul de l’âge de la retraite à… 67 ans. Impensable ici. Pourtant, s’il y a une chose à expliquer dans cette période de consultation sur la loi retraite, c’est comment peut-on s’en tirer, chez nous, sans bouger significativement l’âge de la retraite ni augmenter la durée de cotisation ?

SURCHARGE POUR LES ENTREPRISES

Rappelons quelques faits. Quand Mitterrand en 1983 a lancé l’idée de la retraite à 60 ans, il y avait quatre cotisants pour un retraité et l’espérance de vie était de 72 ans, soit 12 ans de retraite en moyenne. Aujourd’hui l’espérance de vie est de 84 ans, ce qui fait 22 ans de retraite. Et il n’y a plus que 1,7 cotisant par retraité. En 36 ans, la durée de retraite a été augmentée de 83 % et le pourcentage de ceux qui cotisent réduit de 57 %.
On en a remis une couche avec les 35 heures, qui reviennent à annihiler au moins quatre ans de cotisation. Pour faire simple, le ratio cotisants-retraités a été divisé par cinq. On a certes doublé la part du PIB consacrée aux retraites à 13,8 % (sous Mitterrand le ratio était d’environ 7 %), mais au prix d’une surcharge accrue pour nos entreprises. Il y a aussi eu des gains de productivité, mais la situation n’est absolument pas tenable.
Les Suisses ne consacrent aujourd’hui pour leur retraite que 7,5 % de leur PIB (grâce notamment au recours à la capitalisation), mais malgré cette marge de manœuvre, ils préfèrent allonger encore leur durée de travail. On dira : « Ils sont différents ! » Regardons alors nos autres voisins : le départ à la retraite se situe partout entre 65 et 67 ans. Si partir à 67 ans est un argument électoral de l’autre côté de la frontière, est-ce parce que le chocolat qu’ils consomment leur dérègle l’esprit ou parce que devant les faits ils sont, contrairement à nous, humbles et capables de se remettre en question ?

En réalité les Suisses ont un système équilibré
1/ La question de la répartition des risques et de la répartition de la mutualisation est fondamentale
2/ mutualisation totale au premier pilier
3/ moindre au deuxième et 
3/ nulle au 3ème 
avec chaque fois un avantage fiscal

https://www.contrepoints.org/2019/12/12/360146-diversifier-le-systeme-des-retraites-devrait-etre-le-veritable-enjeu-de-la-reforme

https://www.lemonde.fr/economie/article/2019/04/25/la-robotisation-devrait-engendrer-la-disparition-de-14-des-emplois-d-ici-20-ans-selon-l-ocde_5454666_3234.html

https://www.lemonde.fr/economie/article/2016/05/20/pour-l-ocde-9-des-emplois-sont-menaces-par-les-robots_4923165_3234.html

https://www.institutmolinari.org/2019/12/10/retraites-francaises-sortir-de-limpasse-preparer-lavenir/

https://www.institutmolinari.org/2019/12/11/lci-special-retraites/


https://www.lecourrierdesstrateges.fr/2019/12/13/retraites-les-enseignants-obtiennent-une-loi-de-programmation-immediate-a-10-milliards-deuros/?utm_source=mailpoet&utm_medium=email&utm_campaign=la-fin-de-l-impunite-pour-les-antifas-par-charles-weizmann_146&fbclid=IwAR320-9ZV2-SklVbpceWJH43VMRrjvHwbqJPY6tleR8ImBeuq4BNm6hTfIg

Spinal manipulations: with this level of risk (uncertain but actual) such a practice should have been forbidden if prescribed as a drug

Manipulations de la colonne vertébrale: avec ce niveau de risque (incertain mais réel), une telle pratique aurait dû être interdite si elle était prescrite comme médicament.


https://systematicreviewsjournal.biomedcentral.com/articles/10.1186/s13643-017-0458-y

"Of 7,398 records identified in the electronic searches, 368 articles were eligible for inclusion in this review. Adverse events were reported in 140 (38.0%) articles. There was a significant increase in the reporting of adverse events post-CONSORT (p=.001). There were two major adverse events reported (0.3%). Only 22 articles (15.7%) reported on adverse events in the abstract. There were no differences in reporting of adverse events post-CONSORT for any of the chosen parameters."
https://www.thespinejournalonline.com/article/S1529-9430(16)30204-2/fulltext

vendredi 20 septembre 2019

Dette publique France

Un tiers de la dette française est détenue Un tiers de la dette française est détenue par la banque centrale européenne À travers le programme D'allégement quantitatif.

Greece: touring

Eubee Greece

There is a bridge between Greece and Eubee, L’Eubée est la deuxième des îles grecques après la Crète par la superficie : elle est longue de 180 km pour 4 167 km² et compte 218 032 habitants. Située en mer Égée en face de l’Attique et de la Béotie, elle en est séparée par le détroit de l’Euripe.


capitale près du pont restaurant voir le courant de mer qui remonte

Timi village

Mont Katafigio à partir  du village de Darfi

Kos l'île d'Hippocrates

Louer une voiture à Athènes

Suivi du plan santé de Macron: comme prévu, patatras

"Dans une dizaine de jours, la Sécurité sociale accusera le choc des mesures d'urgence économique et sociale votées fin décembre pour éteindre la crise des « gilets jaunes »."
Il faut oser l'écrire sans rappeler que l'état la sécu et l'état encore ce sont les mêmes.

https://www.lesechos.fr/economie-france/social/exclusif-securite-sociale-vers-une-rechute-du-deficit-a-plus-de-5-milliards-deuros-1133136?xtor=CS1-25&fbclid=IwAR0FWpIPMmh-xPkX76xEnE-zjjS3gHG2MR4SmhdxZomWTyx3WbWIpASo9BQ

La réalité de l'ed nat et du vivre ensemble dépasse de très loin ce que vous pouvez imaginer...

"Mon ancienne élève L., 22 ans, normalienne, fraîchement agrégée de lettres classiques, a été affectée en septembre au collège Lucie Aubrac de Villetaneuse, comme professeur de français et de latin auprès d'élèves de 4ème et 3ème.
Dès le premier cours, elle a un aperçu de l'enfer qu'elle va vivre. "on veut pas de cours avec une chinoise". La classe, initialement composée de 33 élèves, se réduit à 9 dès le deuxième cours. Elle propose une courte rédaction : "qu'est ce que vous aimez lire". Sur les neuf élèves, un seul rend sa copie. Elle se résume à deux phrases. "j'aime bien le foot. En français je aime rien" (sic).
Sermonés par la CPE, les élèves se présentent au troisième cours, mais posent une condition : se rendre à l'infirmerie pour accompagner une des élèves qui a mal au ventre. L. leur explique qu'il n'est pas nécessaire que toute la classe se rende à l'infirmerie pour accompagner une seule élève. Elle n'a pas le temps de finir sa phrase, tous sont déjà sortis.
L. ayant identifié deux "meneurs" particulièrement insolents, elle leur pose deux heures de colle avec ce devoir : "recopiez ce texte de Fénelon et expliquez pourquoi un élève doit respecter son professeur".
Les deux intéressés, qui se montrent incapables de lire la première phrase, sont pris de fou rire. "c'est une chinoise, elle donne du chinois".
Convoqués chez la CPE, ils se plaignent de la sévérité de leur professeur, non sans avoir dit à cette dernière "tu veux rien entendre, mon grand frère va t'expliquer."
La CPE enjoint L. De se montrer "plus patiente", et lui communique les numéros de téléphone des parents d'élèves, avec pour mission de les appeler pour faire le point sur leurs progénitures.
L., effondrée, se rend chez la Principale, qui lui dit "au début c'est toujours comme ça. Vous vous habituerez. Il faut tenir"."

Garmin Forerunner 910xt Hrm Pack Triathlon Gps Running: this one was stolen in Montpellier

Completely new, only 6 runnings done with it! 
This number is on the case


Pur délire techno: il ne faut sauver les urgences que des technocrates et c'est donc le sens inverse que l'état a choisi

12 mesures pour sauver les urgences

Le ministre de la Santé a présenté le 9 septembre un « pacte de refondation des urgences » qui comprend 12 mesures. La mesure phare est la mise en place d’un service à distance destiné à répondre à la demande de soins non programmés et à orienter les patients, service baptisé Service d’Accès aux Soins.


L'incertitude: ceux qui la nient sont des menteurs idéologues.

L'incertitude est irréductible en tous domaines. 

Face à l'incertitude de l'avenir il y a les idéologies des penseurs totalitaires qui nient l'incertitude et prétendent connaître l'avenir ou la vérité ex ante.

Les croyances des prophètes sont en général liées non pas aux faits mais à notre comportement moral dont le décalogue biblique du plus grand prophète Moïse.

Les scientifiques et certains rationalistes connaissent l'incertitude qui est une réalité fondamentale du cosmos et du même coup l'émergence de l'inconnu dans nos consciences. De tous temps l'intuition a consisté à faire des prédictions et à en tenir compte dans nos comportements. Aujourd'hui les scientifiques apprivoisent l'incertitude et développent des techniques expérimentales et de calcul pour la réduire et mesurer le niveau résiduel d'incertitude. Ainsi nos choix sont plus avisés c'est à dire ont plus de probabilité d'être gagnants dans la survie.

Effluents et externalités négatives

L'usage des hormones humaines sera un jour menacé par ce jeu de ricochet entre écolos et agriculteurs. Il faut savoir combien les estroprogestatifs sont difficiles à éliminer des effluents. Mais les AINS ou les opioïdes ou les ATB sont aussi concernés...Intéressant exemple d'économie circulaire?
Plus sérieusement il s'agit là d'un sujet crucial: celui des externalités négatives.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4912981/

https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0045653518318861

lundi 16 septembre 2019

Le CNRS toujours à la pointe (de la recherche) de l'action gauchiste et antisectaire uniquement à "droite"

Tout d'abord cette perle dans sudouest: le "juge" réécrit le droit, les lois et déclare sa partialité politique... Avec la complicité caution scientifique du CNRS...
Bien sûr tout est légitime à gauche et tout est facho à droite, à droite de Besancenot .


"L’ancienne ministre du Logement, Cécile Duflot, avait défendu lors de l’audience début septembre "un acte citoyen au sens le plus noble du terme" et un scientifique du CNRS avait exposé "l’indiscutable urgence climatique"."
https://www.sudouest.fr/2019/09/16/decrocher-un-portrait-d-emmanuel-macron-une-action-jugee-legitime-par-le-tribunal-de-lyon-6571499-4697.php


Ensuite on se rappelle que le CNRS est le temple païen du genre avec dans son journal une hagiographie de la grande découverte du département des SS: un nouveau genre oui, il va être déposé sous peu et on ne pas le divulguer... C'est le 74 ème.

Ensuite les PE, là aussi le CNRS est en pointe.
https://www.liberation.fr/france/2019/09/03/c-est-officiel-tous-les-francais-sont-contamines-aux-bisphenols-phtalates-ou-parabenes_1749046?fbclid=IwAR0wX42q1bRmyWOpuMjsyKX4D95qkct-bkIHdnw8qQR5nVeJ_0glgbMjwnQ


Et bien sur le CNRS organise des colloques tous empreints d'une diversité idéologique allant des stal du PCF (oui il en existe encore) à LO ou bien la LCR en incluant toutes les richesses de ce communisme radieux et de ce collectivisme enfin égalitaire. Quelques socio-traitres sont parfois admis mais il est urgent de s'en débarrasser en raison de leur trahison constante des idéaux communistes qui sont sans aucun doute l'avenir de tant de pays. 

#lecommunismeestàinventer
#lunionsoviétiquecestpaslecommunisme



Les coupeurs de feu en radiothérapie alors que  l'homéopathie est éliminée?

https://www.francetvinfo.fr/sante/les-coupeurs-de-feu-et-autres-guerisseurs-font-leur-entree-a-l-hopital_897713.html?fbclid=IwAR2jpmnAebJfvZeXDXJZ8z91BXX2mwF74VItyJDiN9WrUpPE1vnlTuSaJlA

Une autre pratique esotérosectaire

https://www.huffingtonpost.fr/entry/prendre-soin-sante-mentale-aussi-aller-bien-aller-chez-psy_fr_5d7bad92e4b00d6905978aa6?ncid=other_facebook_eucluwzme5k&utm_campaign=share_facebook&fbclid=IwAR1dscL_CjodNPi2oYMiXlYktT8ooR5QJGAPCrTt0Zu_cGmzs0Nmx2fIZ20


Libra the choice of a currency

L'objection de BLM à la crypto-monnaie n’est pas qu’elle menace l’utilisateur ou même «l’intérêt général» (qu’il dit être l’État chargé de protéger, sentiment aussi problématique que correct), mais plutôt qu’elle menace l’État. lui-même. Et comment fait-elle cela? Non pas en manquant de respect envers l'État ou en provoquant des violences à son égard, mais en donnant le choix à la population.

Draghi's stances on econ growth in the eurozone

First the bad news:
"This assessment is broadly reflected in the September 2019 ECB staff macroeconomic projections for the euro area. These projections foresee annual real GDP increasing by 1.1% in 2019, 1.2% in 2020 and 1.4% in 2021. Compared with the June 2019 staff macroeconomic projections, the outlook for real GDP growth has been revised down for 2019 and 2020."

In countries where the public expenses are so mechanical that salaries in the public sector will cost at least 1% of growth, this scenario is near a true recession.



Then some expectations:

"While labour cost pressures strengthened and broadened amid high levels of capacity utilisation and tightening labour markets, their pass-through to inflation is taking longer than previously anticipated. Over the medium-term underlying inflation is expected to increase, supported by our monetary policy measures, the ongoing economic expansion and robust wage growth."

"All countries should reinforce their efforts to achieve a more growth-friendly composition of public finances."


There is another wish:

"The implementation of structural policies in euro area countries needs to be substantially stepped up to boost euro area productivity and growth potential, reduce structural unemployment and increase resilience. The 2019 country-specific recommendations should serve as the relevant signpost."
Or this one
"Regarding fiscal policies, the mildly expansionary euro area fiscal stance is currently providing some support to economic activity. In view of the weakening economic outlook and the continued prominence of downside risks, governments with fiscal space should act in an effective and timely manner. In countries where public debt is high, governments need to pursue prudent policies that will create the conditions for automatic stabilisers to operate freely."
In summary, Mario Draghi, who is leaving the ECB presidency and reordering a new set of QE, is urging the governments of the eurozone to take their responsibilities in the pro-growth policies as monetary policies are touching the end of quantitative measures.

There are three pattern og governments:
- those with fiscal space, he provided the advice to spend efficiently and timely
- those with high debt, he urged them to let the "automatic stabilisers" to operate freely.
The issue is that in highly indebted countries France, Italy, the automatic stabilisers are not operating freely as governments tuned the rates of redistribution and of taxes continuously since the 2007 crisis (and before). They have distorted the market economy toward negative incentives to work and high-level incentives to live on social security subsidies.

All these years since the 2007 crisis the ECB put in the zone very powerful measures of monetary policy. Governments of France and Italy interpreted those measures even the most extreme as negative rates and large QE programs as a substitute for reforms, especially in the labour market. Despite the crisis is over for several years, those governments didn't move the set of social stabilizers according to Keynesian policies, id est by alleviating taxes and encouraging job creation. By their unwilling to do reforms they bought votes but stopped economic growth. 













D'abord la mauvaise nouvelle:

"Cette évaluation est largement reflétée dans les projections macroéconomiques des services de la BCE de septembre 2019 pour la zone euro. Ces projections tablent sur une augmentation annuelle du PIB réel de 1,1% en 2019, 1,2% en 2020 et 1,4% en 2021. Comparées aux projections macroéconomiques des effectifs de juin 2019 , les perspectives de croissance du PIB réel ont été révisées à la baisse pour 2019 et 2020. "



Dans les pays où les dépenses publiques sont si mécaniques que les salaires dans le secteur public coûteront au moins 1% de la croissance, ce scénario est proche d'une véritable récession.





Puis quelques attentes:

"Alors que les pressions sur les coûts de main-d'œuvre se sont intensifiées et amplifiées avec le taux d'utilisation élevé de la capacité et le resserrement des marchés du travail, leur répercussion sur l'inflation prend plus de temps que prévu. L'inflation sous-jacente devrait augmenter à moyen terme, grâce à nos mesures de politique monétaire , l’expansion économique en cours et la forte croissance des salaires ".



"Tous les pays doivent intensifier leurs efforts pour parvenir à une composition des finances publiques plus favorable à la croissance".



Il y a un autre souhait:

"La mise en œuvre des politiques structurelles dans les pays de la zone euro doit être considérablement accélérée afin de stimuler la productivité et le potentiel de croissance de la zone euro, de réduire le chômage structurel et de renforcer la résilience. Les recommandations par pays de 2019 devraient constituer un indicateur pertinent."

Ou celui-ci

"En ce qui concerne les politiques budgétaires, l'orientation budgétaire légèrement expansionniste de la zone euro apporte actuellement un certain soutien à l'activité économique. Compte tenu de l'affaiblissement des perspectives économiques et de la persistance des risques de dégradation, les gouvernements disposant d'une marge budgétaire devraient agir de manière efficace et rapide. Dans les pays où la dette publique est élevée, les gouvernements doivent mener des politiques prudentes qui créeront les conditions permettant aux stabilisateurs automatiques de fonctionner librement. "
En résumé, Mario Draghi, qui quitte la présidence de la BCE et réorganise un nouvel ensemble de QE, exhorte les gouvernements de la zone euro à prendre leurs responsabilités dans les politiques de croissance, alors que les politiques monétaires touchent à la fin des mesures quantitatives.

Il existe trois types de gouvernement:

- ceux qui ont une marge de manœuvre financière, il a conseillé de dépenser efficacement et en temps voulu


- ceux qui ont une dette élevée, il les a exhortés à laisser les "stabilisateurs automatiques" fonctionner librement.

Le problème est que, dans les pays très endettés que sont la France et l’Italie, les stabilisateurs automatiques ne fonctionnent pas librement, les gouvernements ajustant les taux de redistribution et d’impôts de manière continue depuis la crise de 2007 (et avant). Ils ont faussé l’économie de marché en créant des incitations négatives au travail et des incitations de haut niveau à vivre des subventions de la sécurité sociale.
Toutes ces années depuis la crise de 2007, la BCE a mis en place dans la zone des mesures très puissantes de la politique monétaire. Les gouvernements français et italien ont interprété ces mesures, même les plus extrêmes, comme des taux négatifs et d’importants programmes d’assouplissement quantitatif comme un substitut aux réformes, en particulier sur le marché du travail. Malgré la fin de la crise depuis plusieurs années, ces gouvernements n'ont pas modifié l'ensemble des stabilisateurs sociaux conformément aux politiques keynésiennes, en allégeant les impôts et en encourageant la création d'emplois. En refusant de faire des réformes, ils ont acheté des voix mais ont stoppé la croissance économique.

https://www.ecb.europa.eu/press/pressconf/2019/html/ecb.is190912~658eb51d68.en.html

https://www.investopedia.com/terms/a/automaticstabilizer.asp

https://www.ecb.europa.eu/press/tvservices/webcast/html/webcast_pc_youtube.en.html

Freud, Bourdieu sont des reliquats idéologiques infalsifiables

La psychanalyse freudienne est à la psychiatrie moléculaire ce que la sociologie est à la génétique des traits comportementaux.

Homo biologicus

Une longue histoire évolutionniste