samedi 27 juillet 2019

La dette hors bilan ou la certitude que l’etat Ne tiendra pas ses engagements !

    C’est un sujet très intéressant car il s’agit tout bonnement de la certitude que l’État français ne tiendra pas ses engagements vis-à-vis de ses citoyens. Il aura du mal à tenir ses engagements vis-à-vis des détenteurs de la dette en OAT et il fera sans états dame un haïr cut sur les engagements notamment des retraites ce qui a déjà commencé et qui va s’amplifier .         




Alerte maximale sur la dette publique hors bilan
Les 4.000 milliards d'euros d'engagements financiers pris par l’État, mais non inscrits dans son bilan comptable, pèsent deux fois plus lourd que la dette publique. Pour l'économiste Jean-Yves Archer, cette dette masquée, et totalement hors de contrôle, est périlleuse pour les finances publiques.

Les engagements hors bilan de la France s'accroissent chaque année de plus de 360 milliards.

Par Jean-Yves Archer (économiste)
Publié le 19/07/2019. Les Échos.

L'actualité rapporte que les citoyens ne sont pas toujours informés des contours de la dépense publique. Une pesante discrétion entoure ainsi les engagements hors bilan.  La dette hors bilan, qualifiée de « dette implicite », regroupe une myriade de postes d'engagements, dont un, pleinement légitime, est la provision visant à honorer les futures retraites des agents publics pour un montant de 2.400 milliards d'euros.

Au total, ces engagements s'élèvent à plus de 4.000 milliards d'euros et s'accroissent chaque année de plus de 360 milliards, soit plus de trois fois le montant prévu pour 2019 du déficit budgétaire, déjà estimé au niveau de 100 milliards. C'est très préoccupant et rend stupéfiant cet attelage masqué.

Le Parlement n'a aucun contrôle sur cette dérive qui dure depuis des décennies. Les députés Gilles Carrez (Les Républicains) et Charles de Courson (Les Centristes) ont, à maintes reprises, tenté de promouvoir un débat législatif sur ce thème. En vain. Idem pour André Boulloche (1915-1978) qui fut un grand praticien budgétaire socialiste des années 1970.

Autrement dit, nous sommes dans un pays où Bercy hisse le grand pavois du fait des 9 milliards d'économies dont le pays va profiter du fait des taux d'intérêt particulièrement bas affectant sa dette explicite, flirtant avec 100 % du PIB, mais demeure bien discret sur le dérapage annuel de la dette hors bilan. A titre d'exemple, le poste relatif aux « subventions aux régimes de retraite et subventions d'équilibre aux régimes spéciaux » a crû de 75 milliards entre 2015 et 2016, à comparer aux 270 milliards d'évolution du poste des retraites de l'ensemble des fonctionnaires.

La France vit au-dessus de ses moyens et le débat public se focalise sur moins de 10 milliards d'économies budgétaires, là où la dynamique haussière des deux natures de dette atteint des sommes facteur 10. C'est bien l'arbre de la palabre qui cache la réalité de la forêt du débiteur qu'est hélas, chaque mois davantage, notre pays.
Dette boule de neige

Au demeurant, c'est une convention de confort intellectuel que de rapporter la dette au PIB. La dette c'est l'hypothèque sur le travail futur des citoyens, c'est le montant des impôts de demain. Au stade où nous en sommes, pour revenir à la barre de 60 % du PIB que nous imposent les traités budgétaires, il faudrait contracter la dette de près de 40 points de PIB, soit près de 900 milliards. C'est un défi qui plombe l'horizon.

Dès lors, toute politique publique est d'autant plus délicate à engager que jamais, en temps de paix, les ressources n'ont été aussi rares. Alors que l'ancien chef économiste du Fonds monétaire international (FMI), Olivier Blanchard, a récemment soutenu que les taux négatifs permettaient de creuser la dette pour soi-disant mieux investir, gardons en mémoire les propos de Jacques de Larosière, ancien gouverneur de la Banque de France et ancien directeur général du FMI, qui considère qu'un tel niveau de dette publique porte atteinte à l'indépendance nationale. Au surplus, la signature de la France serait déjà clairement écornée si l'épargne des Français ne représentait pas près de 5.300 milliards. Nous sommes tous, à notre corps défendant, les cautions de la dette publique.

Pour l'heure, les taux bas sont bien installés et les disciples d'Olivier Blanchard ont le porte-voix bien en mains. Hélas, en cas d'inflexion, la charge de la dette pourrait s'élever jusqu'à 60 milliards par an, ce qui obligerait à une austérité toujours néfaste ou à des palliatifs tels que la négociation, selon les créanciers, de conventions d'anatocisme. Autrement dit, la France serait contrainte d'intégrer au capital dû les intérêts échus qu'elle ne pourrait honorer. La dette boule de neige n'est pas une hypothèse virtuelle.

vendredi 26 juillet 2019

Climat: le débat


1- Texte de la « pétition sur le réchauffement climatique anthropique »[1]
Les soussignés[2], citoyens et hommes de science, invitent cordialement les décideurs politiques à adopter des politiques de protection de l'environnement qui soient compatibles avec les connaissances scientifiques. En particulier, il est urgent de lutter contre la pollution là où elle se produit, comme l'indiquent les meilleures données scientifiques. A ce propos, il est regrettable que les connaissances mises à disposition par le monde de la recherche soient utilisées trop tard pour réduire les émissions anthropiques polluantes, très répandues dans les systèmes environnementaux tant continentaux que marins.
Cependant, nous devons être conscients que le dioxyde de carbone lui-même n'est pas un agent polluant. Au contraire, il est indispensable à la vie sur notre planète.
Au cours des dernières décennies, il y a eu une thèse largement répandue selon laquelle le réchauffement de la surface de la terre d'environ 0,9°C observé depuis 1850 serait anormal et causé exclusivement par les activités humaines, en particulier par l'émission dans l'atmosphère de CO2 provenant de l'utilisation des combustibles fossiles. Telle est la thèse du réchauffement climatique anthropique promu par le Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat (GIEC) des Nations Unies, dont les conséquences seraient des changements environnementaux si graves qu'ils feraient craindre des dommages énormes dans un avenir proche, à moins que des mesures d'atténuation drastiques et coûteuses ne soient adoptées immédiatement. A ce propos, de nombreuses nations dans le monde ont adhéré à des programmes de réduction des émissions de dioxyde de carbone et subissent une pression, y compris par une propagande de plus en plus martelante, pour adopter des programmes toujours plus exigeants, impliquant de lourdes dépenses pour les économies des États individuel, et la maîtrise du climat - et donc le "salut" de la planète -, dépendrait de leur mise en œuvre.
L'origine anthropique du réchauffement de la planète est cependant une conjecture non prouvée, déduite uniquement de certains modèles climatiques, c'est-à-dire de programmes informatiques complexes, appelés General Circulation Models. Au contraire, la littérature scientifique a de plus en plus mis en évidence l'existence d'une variabilité climatique naturelle que les modèles ne sont pas capables de reproduire. Cette variabilité naturelle explique une part importante du réchauffement climatique observé depuis 1850. La responsabilité anthropique du changement climatique observée au siècle dernier est donc exagérée de façon injustifiée et les prévisions catastrophiques ne sont pas réalistes.
Le climat est le système le plus complexe présent sur notre planète, nous devons donc l'aborder avec des méthodes appropriées et adaptées à son niveau de complexité. Les modèles de simulation climatique ne reproduisent pas la variabilité naturelle observée du climat et, en particulier, ne reconstituent pas les périodes chaudes des 10000 dernières années. Celles-ci se sont répétées à peu près tous les mille ans et incluent la bien connue Période Chaude Médiévale (Réchauffement climatique de l'an mil), la Période Chaude Romaine (Optimum climatique romain), et de manière générale, de grandes périodes chaudes pendant l'Optimum climatique de l'Holocène. Ces périodes du passé ont même été plus chaudes que la période actuelle, bien que la concentration de CO2 ait été inférieure à la concentration actuelle, alors qu'elles sont liées aux cycles millénaires de l'activité solaire. Ces effets ne sont pas reproduits par les modèles.
Rappelons que le réchauffement observé de 1900 à nos jours a en fait commencé en 1700, c'est-à-dire au plus bas du Petit Âge glaciaire, la période la plus froide des 10000 dernières années (correspondant au minimum millénaire de l'activité solaire que les astrophysiciens appellent le minimum solaire de Maunder). Depuis lors, l'activité solaire, suivant son cycle millénaire, a augmenté, réchauffant la surface de la terre. De plus, les modèles ne parviennent pas à reproduire les oscillations climatiques bien connues, d'une soixantaine d'années. Celles-ci ont été responsables, par exemple, d'une période de réchauffement (1850-1880) suivie d'une période de refroidissement (1880-1910), d'une période de réchauffement (1910-1940), d'une période de refroidissement (1940-70) et d'une nouvelle période de réchauffement (1970-2000) semblable à celle observée 60 ans auparavant. Les années suivantes (2000-2019) ont vu non pas l'augmentation prévue par les modèles d'environ 0,2°C par décennie, mais une stabilité climatique de fond, sporadiquement interrompue par les rapides oscillations naturelles de l'océan Pacifique équatorial, connues comme El Nino Southern Oscillations (ENSO), telles que celle qui a entraîné un réchauffement temporaire entre 2015 et 2016.
Les organes d'information affirment également que les événements extrêmes, tels que les ouragans et les cyclones, ont augmenté de façon inquiétante. Vice versa, ces événements, comme de nombreux systèmes climatiques, sont modulés par le cycle de 60 ans évoqué plus haut. Si l'on considère, par exemple, les données officielles depuis 1880 concernant les cyclones tropicaux atlantiques qui ont frappé l'Amérique du Nord, elles montrent une forte oscillation de 60 ans, corrélée à l'oscillation thermique de l'océan Atlantique appelée Atlantic Multidecadal Oscillation (Oscillation Multidécennale Atlantique). Les pics observés par décennie sont compatibles entre eux dans les années 1880-90, 1940-50 et 1995-2005. De 2005 à 2015, le nombre de cyclones a diminué à la suite du cycle mentionné ci-dessus. Ainsi, sur la période 1880-2015, il n'y a pas de corrélation entre le nombre de cyclones (qui oscille) et le CO2 (qui augmente de façon monotone).
Le système climatique n'est pas encore suffisamment compris. Même s'il est vrai que le CO2 est un gaz à effet de serre, selon le GIEC lui-même, la sensibilité du climat à son augmentation dans l'atmosphère est encore extrêmement incertaine. On estime qu'un doublement de la concentration atmosphérique de CO2, des 300 ppm (*) approximatifs d'avant l'ère industrielle à 600 ppm, pourrait augmenter la température moyenne de la planète d'un minimum de 1°C à un maximum de 5°C. Cette incertitude est énorme. Toutefois, de nombreuses études récentes basées sur des données expérimentales estiment que la sensibilité du climat au CO2 est nettement inférieure à celle estimée par les modèles du GIEC.
Il est alors scientifiquement irréaliste d'attribuer à l'homme la responsabilité du réchauffement observé du siècle dernier à nos jours. Les prédictions alarmistes avancées ne sont donc pas crédibles, puisqu'elles sont basées sur des modèles dont les résultats sont en contradiction avec les données expérimentales. Tout porte à croire que ces modèles surestiment la contribution anthropique et sous-estiment la variabilité climatique naturelle, en particulier celle induite par le soleil, la lune et les oscillations océaniques.
Enfin, les organes d'information font passer le message qu'en ce qui concerne la cause anthropique du changement climatique actuel, il y aurait un consensus quasi-unanime parmi les scientifiques et donc que le débat scientifique est clos. Toutefois, il convient avant tout d'être conscients que la méthode scientifique exige que ce soient les faits, et non le nombre d'adhérents, qui font de la conjecture une théorie scientifique consolidée.
Quoi qu'il en soit, ce prétendu consensus n'existe pas. En réalité, les opinions des spécialistes - climatologues, météorologues, géologues, géologues, géophysiciens, astrophysiciens - sont très variables et bon nombre d'entre eux reconnaissent une importante contribution naturelle au réchauffement planétaire observée depuis la période préindustrielle et même après la guerre jusqu'à aujourd'hui. Il y a même eu des pétitions signées par des milliers de scientifiques qui ont exprimé leur désaccord avec l'hypothèse du réchauffement climatique anthropique. Il s'agit notamment de celle promue en 2007 par le physicien F. Seitz, ancien président de l'American National Academy of Sciences, et celle promue par le Groupe d'experts international non gouvernemental sur l'évolution du climat (NIPCC), dont le rapport de 2009 conclut que «La nature, et non l'activité humaine, gouverne le climat».
 En conclusion, étant donné l'importance cruciale des combustibles fossiles pour l'approvisionnement énergétique de l'humanité, nous suggérons que l'on n'adhère pas à des politiques de réduction non critique des émissions de dioxyde de carbone dans l'atmosphère avec la prétention illusoire de gouverner le climat.
2- Éditorial de la Bussola
Le directeur de La Bussola, Riccardo Cascioli, a introduit le texte de la pétition avec l’éditorial suivant :
« Face au martellement de la propagande environnementaliste, plusieurs dizaines de scientifiques, dont beaucoup de géologues, géophysiciens, astrophysiciens, géophysiciens - c'est-à-dire compétents dans le domaine de la climatologie - ont ressenti comme leur devoir civique d'envoyer aux responsables politiques une Pétition niant la vulgate commune, diffusée par ceux qui contrôlent les médias, selon laquelle la communauté scientifique serait d'accord pour attribuer aux hommes la cause du réchauffement climatique. En fait, font observer les pétitionnaires, la conjecture de l'origine anthropique du réchauffement de la planète est fondée sur des modèles mathématiques qui se sont avérés incapables de reproduire le climat du passé et qui n'ont pas su prédire le climat des vingt dernières années. D'où l'appel à éviter des politiques illusoires de contrôle du climat, qui n'auraient pour seul effet que d'empêcher l'approvisionnement énergétique de l'humanité »

jeudi 25 juillet 2019

Climate change


La fonte des glaciers et des glaces est une réalité. Ensuite il est établi que la température s’est élevée sur tout le globe depuis 1800. Entre 1 et 2 degrés.
Le CO2 a aussi augmenté dans l’atmosphère depuis la révolution industrielle et continue à augmenter.

Le climat est un système très complexe et il est modifié par des influences terrestres et extraterrestres.

S’agissant de la part due aux activités humaines c’est essentiellement l’utilisation des combustibles fossiles qui a remis dans l’atmosphère du carbone piégé dans le pétrole et autres hydrocarbures.

Après et au sujet de ces faits les scientifiques font des interprétations. Elles sont basées sur des calculs ce sont des modélisations climatiques, très complexes et donc des prédictions. Si l’on prend en compte les prédictions les plus pessimistes, l’augmentation de température va se poursuivre.

Nous en arrivons aux solutions.
Les solutions comme depuis le début de l’histoire de l’Humanité passent non pas par le suicide, non pas par la régression de notre notre mode de vie mais par l’innovation, la recherche, la technologie les sciences.

"Comme je le répète toujours, le problème est celui des externalités négatives. Ce n'est pas le prix des émissions de CO2 ou de GES en général qui est trop bas, ce sont les solutions pour la séquestration du CO2 qui sont trop inefficaces, voire inexistantes."

Rétablir la sécurité à l’hopital est inenvisageable pour ce gouvernement

Agnès Buzyn a affirmé qu'en revanche que tous le personnel qui travaille aux urgences "a, depuis le mois de juillet, une prime de risque de 100 euros net par mois, pour prendre en compte les risques et les incivilités auxquels ils sont soumis au quotidien". 

Grèce, ile d'Eubée, ile de Kos

Arrivée d'Athènes passer le pont et tourner à gauche sur le front de mer puis aller fair l'ascension du mont Dirfi et redescendre d el'autre côté pour se baigner dans la méditerrannée



https://www.filovent.com/magazine/ile-deubee-une-ile-meconnue-aux-allures-de-paradis
Le village de Timi
Le courant qui s'inverse dans une rivière
Volos et au Nord le mont Olympe

Pourquoi tait-on le nom de certains criminels?

Il y a deux phénomènes qui sont en concurrence dans les élites européennes.
Tout d’abord l’immigrationnisme , la religion du vivre ensemble de l’ouverture des frontières sans limite; c’est une religion elle est mortelle pour l’Europe.
Ensuite la peur, l’absence de courage, la soumission, l’abandon, le renoncement.C’est une réalité qui est parfois appelée la partition. Je n’aime pas ce substantif car il méconnaît la dynamique de l’extension du domaine du non-droit.
En réalité c’est une guerre.